mardi 28 février 2017

THE ZOMBIE DANDIES – Dandy’s little Monsters



The ZOMBIE DANDIES – Dandy’s little Monsters
5.5/10

C’est par le plus grand des hasards que j’ai reçu l’album de The Zombie Dandies avec quelques jours d’écart avec celui de The Black Zombie Procession.
Comme quoi la marche zombie est toujours en forme...

Pourtant les groupes sont dans deux démarches assez différentes car The Zombie Dandies évolue dans un registre bien plus garage.

La première chose à avouer est que je ne suis pas fan de la pochette, c’est même dommage de travailler les tenues de scène à la Kiss et de sortir un visuel comme ça…

Mais bon la musique est tout de même l’élément essentiel et TZD se fait plaisir avec 13 titres de garage punk rapide qu’on pourrait aussi qualifier de glam-garage si le terme pouvait exister. Les titres sont plaisants malgré un son loin d’être terrible ainsi j’aime bien les morceaux Killer Rabbit et Regenerate my dead Pet qui me font clairement penser à du Ramones avec un rythme effréné. Le titre Game Boy Horror est aussi assez rigolo avec des sonorités hommages à la console 8 bits et puis le meilleur à mon goût Brundlefly.

Au final je ne suis pas totalement convaincu par cet album, peut-être parce que je ne suis pas fan à la base du glam rock mais j’ai tout de même apprécié un certain nombre de morceaux et je pense qu’il peut être intéressant pour les amateurs du style de jeter une oreille (au sens figuré…) sur le trio normand.


Titre préféré :                        Brundlefly
J. NeWSovski






lundi 27 février 2017

samedi 25 février 2017

MENTAL DISTRESS – S/t (EP)



MENTAL DISTRESS – S/t (EP)
Crapoulet Rds / Dirty Guys Rock / Can I Say Rds / No Way Asso
4/5

Déjà entrevu sur un split avec les tourangeaux d’Ed Warner, Mental Distress vient de sortir son premier EP. Le moins qu’on puisse dire c’est que ça va vite avec un ratio minutes/chanson plutôt sympathique puisque les 5 titres sont avalés en 6 minutes et 17 secondes !! Avec cette donnée le mystère ne plane pas longtemps pour savoir s’il s’agit de psyché stoner ou de hardcore oldschool…

Le groupe de Metz envoie donc un hardcore très rapide façon Fast Times que je cite volontairement car les deux groupes ont aussi le point commun d’avoir tous les deux une chanteuse. La voix de Morgane est plus aigüe, un peu plus fluette (Ungifted) même si l’adjectif n’est peut-être pas très bien choisi mais est tout de même bien adaptée à célérité de la musique.
On notera au passage que le batteur envoie, par moments, la purée de façon très impressionnante. De bons morceaux comme Justice Blood ou Theft is rightful sur l’EP doivent être excellents sur scène où ce genre de groupe prend une dimension encore supérieure.
D’ailleurs c’est vraiment sur scène que je préfère ce genre de groupe, peut-être que ça vient aussi du fait que retourner le vinyle toutes les 3 minutes c’est tout un effort… A suivre donc les futures dates à suivre.

J. NeWSovski



vendredi 24 février 2017

Clip - Birds In Row

Un clip des lavalois de Birds In Row réalisé par Mr Fifi qui a changé de pseudo pour devenir  FifuSan

jeudi 23 février 2017

Interview - Noé Talbot

Noé Talbot, le "cousin du Québec" vient de sortir un EP super sympa à base de reprises francisées de groupes qu'on adore ici. On le connaît aussi parce qu'il joue et chante dans Fortune Cookie Club et qu'on l'a reçu l'année dernière dans A T'il Bon Goût ?




Tout d’abord doit-on t’appeler Ben ou Noé ?

mardi 21 février 2017

MADJIVE – Business first



MADJIVE – Business first
9/10

Madjive c’est le coup de cœur des Rêveries depuis de nombreuses années déjà et même sans jamais l’avoir vu sur scène j’ai toujours adoré le groupe, de par son style, son énergie, sa bonne humeur et tout simplement ce qu’il dégage par sa musique.

L’arrivée de ce nouvel album est donc un événement en soi et la chronique d’autant plus difficile à faire.

Tout commence par une belle intro (Ignition program) bien sympa agrémentée de nombreux samples d’annonces de passages radio, le résultat rend super bien et fait preuve d’originalité.

I Am Addicted démarre dans le style classique du groupe avec un punkrock très rock’n’roll garage qui donne dès les premières secondes l’envie de bouger la jambe ; sans être transcendant le titre fait le boulot et permet aussi de mettre en valeur Same Bone qui lui enchaîne le pas. Ce dernier est un titre qu’on connaissait déjà et qui dégage une grande énergie. Un futur classique du groupe à l'image de certains morceaux de A LA Royale ! comme Sloth ou You Say

A spooky Bargain est un peu différent avec une atmosphère sonore plus dense mais aussi plus en retenue, il s’énerve sur les refrains avec la petite touche de Seb au chant et son intonation particulière qui fait aussi le charme du groupe. Business First et We're clear sont aussi de futurs grands classiques et dépositaires quelque part de l'identité de Madjive avec un rock'n'roll sur-vitaminé emprunt de folie. Une folie que l'on retrouve sur le très bon Draft Sketch & outlines, excellent sur sa première partie et dont la seconde révèle le caractère fantasque et décalé du groupe, ce passage est sympa à la première écoute, peut-être un peu plus chiant aux suivantes.  

Mais le coté décalé du groupe se retrouve un partout sur ce Business First et je dois avouer que j'aime bien la variété proposée qui permet de goûter à du crooner rock avec le titre I can't complain et ses samples d'applaudissements qui en font un morceau vraiment singulier, puis se délecter ensuite d'un titre évoquant les grandes contrées de l'ouest et les westerns qui vont avec (desert peddler) avec son ambiance particulière tout en explorant la ballade sur la fin de l'album avec le très bon Another Guidance qui part en déluge punk.

 Au final ce sont ni plus ni moins que 12 morceaux accrocheurs tous variés énergiques avec comme point commun une folie propre au groupe qui ne peut laisser indifférent. Je le trouve supérieur à A La Royale sur plusieurs points : 
déjà sa pochette, certes sobre mais nettement au dessus, le son aussi qui est vraiment très bon notamment sur la guitare et le chant et puis, tout simplement, sur les compositions et leur grande variété si pertinente. On passe d'une atmosphère à une autre comme si on passait d'une pièce à une autre dans une maison.

A écouter, ré-écouter et déguster sans aucune modération. Madjive assoit définitivement son statut de groupe garage-punk déjanté complètement indispensable.

J. NeWSovski

Titre préféré :                        Same Bone



lundi 20 février 2017

samedi 18 février 2017

TARDIS – Garageband démos (démo)



TARDIS – Garageband démos (démo)
Autoproduction

Tardis est le side-project de Ben le chanteur de Sliver, ce groupe totalement fou qui sait mélanger tant de choses et en faire un ensemble si riche et cohérent. Pour ce nouveau projet commencé seul il s’est ensuite entouré de trois autres musiciens pour former un vrai groupe solide.

Tardis est donc un projet à coté, plus calme sans être intimiste il se révèle pourtant foisonnant de bonnes idées comme sur Hannibal Sherlock. Le groupe sait imposer des mélodies fortes comme sur Fortress Europe, douce mais dont le refrain s’imprègne dès la première écoute, c’est aussi à ça qu’on reconnait un bon songwriter. Banksy Lives est un hommage à l’artiste dont Sliver s’est souvent inspiré (dans la démarche mais aussi dans l’artwork), un titre doux et apaisant. Speak & sell se veut être le morceau plus rapide, du bon indie rock qui ravira les fans du genre ainsi que les nostalgiques de la dictée magique…

Certes le son n’est pas celui d’une production de studio, le chant par exemple mérite d’être mis plus en avant, les titres seront certainement amenés à évoluer dans le futur mais force est de reconnaître que le charme de Sliver se révèle aussi sur Tardis avec cette foisonnance d’idées qui forme une richesse sonore indéniable.

J. NeWSovski

https://www.facebook.com/tardistheband/


vendredi 17 février 2017

Clip - MALADROIT

Maladroit surfe sur l'actualité et nous pond un petit clip décalé comme il faut.

jeudi 16 février 2017

Clip - CAPITAL YOUTH

Capital Youth, mon coup de cœur Suisse de ce début d'année vient de sortir un clip de Where You Are issu de leur premier EP Lemonade.

mercredi 15 février 2017

CROSSING THE RUBICON – The elegance of blood



CROSSING THE RUBICON – The elegance of blood
Diskrete Music / Musical Bridge
7.5/10

Il y a 8 ans déboulait Crossing The Rubicon avec son premier album éponyme plein de rage. Véritable coup de foudre, cet album reste encore très proche de la platine sur laquelle il vient régulièrement faire quelques tours.

The Elegance Of Blood débarque après 3 ans de silence et un split avec les méconnus Broadcats sur lequel les parisiens avaient posé deux titres, le précédent album, definitely deaf, remonte tout de même à près de six ans. Entre temps le chanteur est parti et ce n’est jamais évident de rebondir, c’est d’ailleurs peut-être la raison de cette pause dans le temps.

Derrière cette mystérieuse pochette se cachent huit titres et le premier Half Tale Wizard envoie du gros rapidement avec un son lourd empli de rage et d’énergie. Le nouveau chanteur, Jey, fait le boulot, dans un style assez proche sur ce titre. Les riffs accrochent et le titre s’imprègne un peu plus à chaque écoute. Loaded Guns est hargneux aussi, un titre vindicatif où le chant part sur certains couplets dans des registres décalés.
Lands Slide se révèle plus difficile d’accès, malgré un rythmique puissante le morceau a du mal à m’accrocher et c’est en partie à cause du chant, peut-être trop original à mon goût. Il part par moments dans un coté théâtral qui peut passer chez des groupes comme At The Drive In mais qui a plus de mal ici. Je m’y perds et sa place sur le début de l’album surprend du coup je dois avouer que je la zappe assez rapidement.
Par contre les choses reprennent un cours plus traditionnel dans le style si particulier des parisiens qui mélange punkrock et gros rock, ainsi les très bons Orphan Ruins aux boucles vraiment très stoner ou Guru vs God font preuve de cette puissance et cette fougue si caractéristique. Difficile d’ailleurs de trouver un groupe que l’on pourrait rapprocher de Crossing The Rubicon, peut être Every Time I Die et HeadCharger dans des versions plus punk… ?

On doit parler aussi du son qui est certes puissant mais pas très bien équilibré, on pourrait imaginer qu’il pourrait être juste énorme avec une production plus conséquente.

Il est clair que The Elegance Of Blood est un album qui se travaille à force d’écoutes et si certains titres font mouche dès les premières écoutes il en faudra davantage pour pleinement apprécier l’intégralité des huit titres et notamment le chant si particulier. Il sera aussi intéressant de le découvrir sur scène où le groupe a toujours fait preuve de sincérité

Titre préféré :                        Half Tale Wizard
J. NeWSovski






mardi 14 février 2017

Clip - 70's Pornographik Men

Un clip de LA Super des sympathiques nantais de 70's Pornographik Men

La Loire Atlantique c'est super...

dimanche 12 février 2017

CAPITAL YOUTH – lemonade (EP)



CAPITAL YOUTH – lemonade (EP)
Roosevelt Records
4.5/5

Je suis tombé par le plus grand des hasards sur cet EP par le biais de liens que relaient des groupes que d’autres groupes relaient… Bref sans rien connaître de Capital Youth j’ai été charmé par l’écoute Lemonade.

En farfouillant plus sérieusement j’ai découvert que le groupe est Suisse, de Genève et est formé de 4 membres, il s’agit ici de leur première production. Je dois avouer que ça m’a surpris, j’aurais bien plus vu un groupe de Philadelphie avec un bon background derrière. 
Chinatown, qui a la lourde tâche de commencer l’EP, est un morceau explosif avec une rythmique hyper tonique. Le chant est assez singulier dans ses intonations et sa façon de se placer. Where you are sonne très The Hives de par sa rythmique et son son de guitare, aussi forcement à Randy peut être pour le côté mélodique du titre. In a Maze est aussi un très bon morceau, très rapide, un peu fou qui peut aussi faire par moments penser à The Strokes. Moving On est moins énergique et moins percutante mais met en avant des mélodies bien écrites, quant à Without you, le morceau qui conclut, il se révèle aussi très rythmé, simple mais efficace.

Jolie découverte que ce groupe Suisse. Un punkrock garage mélodique du plus effet dans son rythme et sa simplicité. Vivement la suite.
J. NeWSovski

samedi 11 février 2017

Clip - Tagada Jones

Pour faire plaisir à Magda, on va mettre le dernier clip des Rennais de TAGADA JONES et le titre la peste et le choléra.

jeudi 9 février 2017

RAINCHECK – True Love (EP)



RAINCHECK – True Love (EP)
KROD records, Bad Wolf Records, Inhumano, Bad Mood Asso, Joe Cool Records
5/5

Raincheck est un nouveau groupe de Lyon qui s’est formé en 2014 mais à l’écoute de ces 6 titres on sent une très grande maîtrise qui incite à jeter un coup d’œil au background des loustics. Chose intéressante puisque le groupe est formé d’ex membres de No Guts No Glory, Burst One’s Side, Guerilla Poubelle et Never Again soit une belle brochette de groupes qui ont tous sortis de super trucs ces dernières années. Cerise sur le gâteau, l’EP a été enregistré au Warmaudio qui n’a jamais raté une production. Et chantilly sur la cerise car la pochette est signée par Freak City (http://freakcitydesigns.com/) qui a encore fait un super boulot dans son style rapidement identifiable,  en plus j’adore Hulk Hogan et le catch des années 90.

Sans surprise Raincheck maitrise parfaitement ce 6 titres envoyant un punkrock ultra énergique qui n’oublie surtout pas de poser de belles mélodies. Work Less Chill Mass sur un peu plus de deux minutes rappelle au bon souvenir de The Explosion époque Flash Flash Flash, qui reste l’un de mes albums préférés en punkrock. D’ailleurs la voix de Jimmy Cliff Anger est proche de celle de Matt Hock de par ses intonations où la façon de se poser sur la musique, ça se ressent sur le superbe Fresh Start. Des relents de Wank For Peace aussi sur les titres plus rugueux comme Party Daze ou encore sur certaines parties du pourtant plus lent Overflow, avec la même capacité que les angevins à jouer des trucs rapides, accrocheurs, aux mélodies tueuses et non moins dénuées de testostérone. Je pense enfin à Lifetime sur le brulot Uncool qui en une minute pile fait une belle démonstration de puissance et d’énergie brute.

Raincheck, en étant très honnête, me semble bien parti pour écrire une belle page de la scène punkrock française. J’attends avec impatience la suite mais aussi et surtout la possibilité de pouvoir les voir jouer live. Un véritable coup de cœur que ce groupe.

J. NeWSovski





mercredi 8 février 2017

Clip - ALEA JACTA EST

Aujourd'hui c'est du lourd, et c'est peu de le dire avec Bullets Are Loud d'Alea Jacta Est

lundi 6 février 2017

Noé Talbot – reprises acoustiques



Noé Talbot – reprises acoustiques
autoproduction
4/5

Noé Talbot est le chanteur de Fortune Cookie Club, le guitariste aussi, et enfin le parolier et c’est aussi un mec d’une extrême gentillesse. Depuis quelques années il sort des trucs en solo et qui sont plutôt bons et d’une belle sensibilité.

Il s’attaque en ce début d’année à faire des reprises acoustiques, et cet EP 6 titres en est la concrétisation. Même si l’exercice est déjà sympa, Noé a, en plus, travaillé sur des versions francisées des morceaux. Les 6 titres choisis sont donc chantés en français avec le délicieux accent québécois qui lui sied à merveille. La pochette est un hommage à l’album acoustique de Joey Cape et Tony Sly, un clin d’œil sympa.

Ça commence par Substitute de Franck Turner, aïe un morceau que je ne connaissais pas, je me suis donc attaché à l’écouter aussi. Du coup le morceau original est superbe et la reprise est une excellente version qui met en avant le texte et de jolies intonations. Beautiful Things est un morceau de The Lawrence Arms, un titre à l’origine que je trouve sympa mais sans plus, difficile de le retrouver dans la reprise débranchée mais cette dernière permet, une nouvelle fois, de mettre en avant un texte très beau. Noé s’attaque aussi à For Fiona, un des monuments de No Use For A Name et c’est une nouvelle fois une réussite qui aurait certainement beaucoup plu à Tony Sly. La reprise de Millencolin (Vicious circle) est bien adaptée, le titre original était déjà sympa avec de superbes mélodies, ça facilite aussi les choses ! Celle de Daggers de The Flatliners est bien plus calme et posée que l’originale, difficile de reconnaître les textes et le fil du morceau tant le chanteur de The Flatliners a son style propre, j’ai un peu donc l’impression d’entendre un nouveau titre. L’EP s’achève sur Who we’ve become de Joey Cape, le grand spécialiste des reprises acoustiques, bien adaptée.

En parcourant cet album j’ai trouvé aussi beaucoup de plaisir à retrouver sur mon disque dur les versions originales et les comparer. La mise en français met en avant des textes très intéressants à coté desquels on passe trop souvent quand ils sont en anglais.

Un petit EP qui se révèle donc très agréable à écouter, superbement interprété et astucieusement adapté. Une vraie réussite !

J. NeWSovski








dimanche 5 février 2017

Clip - Fire At Will

Ok le clip n'est pas récent mais c'était aussi le moyen de parler des Toulousains et de leur tournée au Japon et au passage de mettre leur superbe affiche...



vendredi 3 février 2017

NINE ELEVEN – Sentinels



NINE ELEVEN – Sentinels
Bad Mood rcds, Désordre Ordonné, Dingleberry rcds, Don't Trust The Hype, Emergence rcds, Epidemic rcds, Grain of Sand rcds, Guerilla Asso, Hardcore 4 Losers, I Corrupt, I For Us, Sieve & Sand rcds, Trivel rcds, Ugly & Proud rcds, Unlock Yourself rcds, World Appreciated Kitsch rcds & Nine Eleven Conspiracy 
9 /10

Nine Eleven est juste un groupe hors norme, un groupe énorme par sa générosité et son ouverture qui en 10 ans a exploré et innové. Durant tout ce temps il a su conserver une ligne de conduite des plus remarquables et ce malgré de nombreux changements de line up.

Et voilà la bête de retour fin 2016 avec un album concept d’un seul morceau de plus de 33 minutes. Principe original (on se souvient aussi de The Decline de NoFX) mais aussi casse-gueule, le groupe n’en est pas à son coup d’essai car 24 years le précédent album, qui remonte à plus de 3 ans et qui portait déjà aussi la signature originale du duo Nine Eleven / Amaury Sauvé, était inspiré de la pièce de théâtre Faust de Goethe.

Sentinels se révèle en très peu de temps d’une richesse impressionnante, l’apport de violons par exemple qui subliment certains passages de cet album ; il sent aussi fortement la patte d’une très grande pointure : Amaury Sauvé et son Apiary Studio.

Clairement la scène française, dans ce registre, est créative et talentueuse, ainsi on rapprochera les manceaux de Birds In Row mais aussi Past pour cette expression d’une musique lourde, puissante et pénétrante.

Il n’y a pas grand-chose à reprocher à Sentinels, peut-être quelques passages difficiles d’accès et les contraintes du concept qui fait qu’il n’y a qu’un seul titre ce qui fait qu’on le commence toujours au début et qu’on part pour une expérience d’une demi-heure. Mais quelle claque !
Au-delà de tout ça, le groupe s’implique aussi politiquement puisque les bénéfices vont vers un groupe autonome français d’aide pour ceux qui s’engagent dans des luttes.  La grande classe quoi !

J. NeWSovski

A classer entre Birds In Row et Aussitôt Mort





mercredi 1 février 2017

Jordan de KROD records A T'Il Bon Goût ?

Jordan, Big Boss du label toulousain KROD Records (Keine Rose ohne Dornen),  déniche depuis plus de deux ans de super talents et possède déjà en très peu de temps un catalogue aussi varié que riche de talents (Fire AT Will, Colour Me Wednesday, Quitters, Earl Grey...)
Il a bon goût ça se sent déjà mais apprenons-en tout de même plus sur lui !






Ton groupe culte ?