mercredi 31 janvier 2018

FOGGY BOTTOM – Sur le fil (EP)



FOGGY BOTTOM – Sur le fil (EP)
Autoproduction
3/5

Portant le nom du plus vieux quartier de Washington, Foggy Bottom est un groupe de Thionville qui joue un rock teinté de punkrock léger et de mélodies pop. Le groupe existe depuis 1997 et malgré de nombreuse premières parties et sorties diverse je ne découvre ce trio qu’avec cet EP.

Je dois avouer que je suis à moitié convaincu par le groupe, il y a des morceaux que j’apprécie particulièrement notamment No One Else qui sonne un peu à la manière des groupes du début des années 90, les Pixies et les Thugs en tête. Les mélodies sont belles et le chant accompagne parfaitement. Je suis cependant plus réservé sur les titres en français qui pêchent dans le rythme, cherchant la rime au détriment de la sonorité. Pour moi le choix de la langue serait vite fait car ici il ne met par forcément en valeur certaines compos, Si Seulement par exemple, chanté en anglais aurait, je pense, une plus grande dimension, avec un esprit Thugs derrière et ce goût des mélodies étirées. C’est le même cas aussi avec Sur Le Fil un bon morceau powerpop.


A écouter pour se faire son propre avis.
J. NeWSovski



https://www.facebook.com/lesfoggybottom/


mardi 30 janvier 2018

Clip - A Vulture Wake

J'attends la sortie de cet album avec impatience, toujours est-il que pour faire patienter, le super groupe (formé de membres de Good Riddance, Authority zero, LagWagon, RKL, Drag The River, All) nous balance une vidéo de Running Back Home.

lundi 29 janvier 2018

Clip - #GOALS

#Goals c'est un groupe avec un ancien mec de Bad Religion et des anciens Circle Jerks.

dimanche 28 janvier 2018

Interview - Guerilla Poubelle

La nausée, le quatrième album de Guerilla Poubelle, est sorti il y a un peu plus d'un mois. Un album direct et revendicatif. Petite interview bien riche avec Till, chanteur et guitariste.



samedi 27 janvier 2018

vendredi 26 janvier 2018

Clip - The Rocket

The Rocket est un groupe belge de pop punk qui me fait pas mal pense à Ozma et The anniversary. Voici Chain Reaction issu de leur prochain album.

jeudi 25 janvier 2018

DAVEY DYNAMITE – Holy Shit



DAVEY DYNAMITE – Holy Shit
DyingScene Records / Don't panic records
9/10

Dying Scene, le webzine référence de la scène punk, mine d’infos et vecteur des tendances actuelles est aussi un label depuis quelques années déjà sous le nom de Dying Scene Records. Ils sortent peu d’albums mais avec une constance de qualité en accord avec leur vision du punkrock. Je m’y retrouve dans leur ligne et c’est ainsi que la sortie de ce nouvel album de Davey Dynamite, artiste de Chicago, méritait toute l’attention qu’on lui devait.


Je découvre Davey Dynamite qui a déjà fait 4 albums et deux splits auparavant. Un artiste qui jouait en solo avec sa guitare et qui est passé en configuration groupe et distorsion.


Holy Shit annonce la couleur avec un morceau calme mais d’où se dégage une certaine tension, le ton est irrévérencieux et quelle énergie quand il monte dans les tours ! Sur la forme il me rappelle Saving The World de Diesel Boy sur l’album Cock Rock

Rock’n’roll sent l’urgence et part rapidement à plein gaz, ce morceau est aussi plein d’énergie et reste ancré en tête notamment son refrain rageur Let’s make this fucking matter. 380 Times est du même acabit, brutal avec un chant totalement libéré. Davey est un sacré chanteur qui module bien sa voix et qui sait faire passer autant sa rage que sa mélancolie ainsi j’adore Transitions, super bien chanté et dont le texte est vraiment sympa. Sur ce point je regrette de ne pas être plus doué en anglais pour bien percevoir toutes les subtilités de ses textes mais résonnent encore les premières strophes qui retentiront pour tous ceux qui connaissent le titre  :

I got acne, my hair is thinning, at the same time
and I’m slowly, learning, that I don’t mind
cuz my body don’t know, whether to stay young or grow old

and at least that means we got something in common

La comparaison souvent faîte avec Against Me! n’est pas usurpée car on retrouve le même genre de construction des morceaux, le groove et encore une fois cette énergie communicative. Après seulement quelques écoutes les riffs sont ancrés en tête et on a q'une envie c'est de l'écouter en boucle.

Holy Shit est un très bon album d’un artiste trop méconnu par chez nous. Je conseille vivement son écoute notamment aux fans d’Against Me et de Hot Water Music qui retrouveront chez Davey Dynamite la créativité et le grain de ces derniers.



J. NeWSovski

Morceau préféré :                                   Transitions







mercredi 24 janvier 2018

Clip - The Amsterdam Red-Light District

Je n'avais jamais entendu parler des Lyonnais The Amsterdam Red-Light District aant de tomber sur ce clip. Comme une impression de Sna-Fu, Refused.. A suivre !

lundi 22 janvier 2018

NIGHTWATCHERS – Who’s to blame



NIGHTWATCHERS – Who’s to blame
4/5

Les toulousains ont sorti l’an passé cette cassette de 6 titres, elle est aussi disponible en numérique sur leur bandcamp à prix libre.
Les Nightwatchers ont leur style rapidement reconnaissable : punk et terriblement rock’n’roll. Toujours aussi plaisant à écouter. L’écoute de ces morceaux renvoie directement à des souvenirs de concerts où le groupe est aussi très intéressant à voir jouer. Captivants dans leurs uniformes noirs.
Sans se pencher sur les paroles on pourrait passer à côté du fond, et des propos du groupe toulousain. En effet celui-ci base ses textes sur la police mais du côté flic avec un sens de la mesure qui leur est propre. On ne parle pas la police des polars mais celle d’en bas qu’on aime à dénoncer. Qu’on soit pour ou contre le point de vue est intéressant à prendre en compte. Je citerai donc quelques répliques bien senties comme ce foutage de gueule : One letter at a time / I type with only one finger
I take my time… / Wait, where's that letter ? / How do you spell it / Wait, I guess I mispelled it / Erase, repeat 
sur Deposition

Au-delà des saillies verbales The Nightwatchers on retrouve de très bons titres, notamment Guilt is subjective qui sent bon le Clash avec ses chœurs et sa batterie lascive. Et force est de constater que Deposition est du même acabit. Un style vieux de 40 ans peut toujours autant matcher. En tout cas les Toulousains maîtrisent parfaitement le style et ça colle parfaitement.

Quelques envolées musicales sur You have the right to remain silent et son chant plus aérien et new wave puis sur Empathy & me aussi dans la vague post punk qui a suivi 77. Un morceau atypique mais non dénué de charme que j’aime écouter et réécouter.


Nightwatchers confirme donc son premier EP Good Kids Obey. Les 16 minutes de ce who’s to blame passent à une vitesse terrifiante et nous font passer un excellent moment. 


J. NeWSovski




dimanche 21 janvier 2018

Clip - Rise Against

Grosse pointure avec Rise Against et le titre House on fire issu de l'album Wolves.

samedi 20 janvier 2018

vendredi 19 janvier 2018

24 HOUR PUNKS - Why we fight



24 HOUR PUNKS - Why we fight
4.5/5

Intéressante découverte lors des bilans de fin d’année, ce court EP de 3 titres dégage un goût de trop peu que certains appellent aussi un goût de « Reviens-y ».

Trois morceaux qui accrochent dès les premiers accords, bien rythmés par une batterie bien sèche qui claque parfaitement. Le mélange chant masculin et féminin marche à merveille et l’ensemble est nerveux comme il faut. Certes il n’y a rien de nouveau, c’est du streetpunk classique, bien balancé, parfois mélodique (stand) mais c’est efficace et sans fioritures. Peut-être, et c’est paradoxal avec la longueur, les morceaux auraient mérité d’être plus courts pour rendre l’ensemble encore plus efficace. Il n’en demeure pas moins que l’ensemble est fichtrement bon.

Je reste cependant sur ma faim et devrai prendre mon mal en patience pour attendre un EP plus long ou un véritable album qui sera du même calibre je l’espère.


J. NeWSovski


jeudi 18 janvier 2018

Clip - MADJIVE

On parle jamais assez de Madjive, heureusement voici le tout nouveau clip de A Spooky Bargain

mercredi 17 janvier 2018

mardi 16 janvier 2018

THE ATTENDANTS – Monsters Chronicles



THE ATTENDANTS – Monsters Chronicles
Can I say records
9/10

Pour moi The Attendants c’était un peu l’inconnu avant de les voir sur scène lors du Still Hungry Fest. J’étais passé à côté de leurs albums précédents ainsi que leurs EPs et splits. Je ne connaissais pas le lien avec Justine, le fait qu'Olivier y joue de la guitare et que Arnaud n'est autre que le frère d’Alex (de Justine). J’ai même appris la présence de ce dernier au chant que récemment, sur les premiers albums tout du moins car il n'y est plus depuis 4 ou 5 ans. Bref ce concert c’était l’occasion de vraiment écouter le groupe au-delà d’une ou deux écoutes sur l’ordi et malgré une ambiance très molle devant eux on ressentait des compos vraiment enthousiasmantes.

Et cet album, sorti fin 2017 dans l’anonymat je trouve, est pourtant une sacrée bonne surprise. Première chose j’adore l’artwork très joli avec son bestiaire de créatures et de monstres qui sert aussi de fil conducteur à l’album. C’est Fanny DX (Mon Autre Groupe) qui l’a réalisé, je ne lui connaissais pas ce talent mais c’est une vraie réussite.

Mais c’est surtout musicalement que Monsters Chronicles est une drôle de surprise et j’oserai le comparer à un cocktail. Le genre de cocktail plein de bons ingrédients dont le mélange offre une explosion en bouche. Dans cet album je retrouve du Burning Heads, du Daria, du Propagandhi et du At The Drive In. Ni plus, ni moins.

Le premier morceau Carnival annonce déjà de belles choses dans un style proche des Burning il met en avant un chant ultra efficace avec un timbre assez proche de celui de Pierre. Ça ne bourrine pas à fond préférant de loin les mélodies et l’inventivité. C’est d’ailleurs cette inventivité que j’aime dans cet album qui, même s’il rappelle de nombreux groupes, est assez innovant et synthétise beaucoup de choses que j’aime dans le vaste monde du punkrock. Become A light est mon titre préféré, il me fait penser à un croisement entre Daria et Propagandhi dont le chant atypique semble s’inspirer. Un morceau en mid tempo juste magique qui brûle d’intensité.

The Attendants ne cherchent jamais la facilité et tous les titres accrochent, surtout ils sont variés et jamais on ne sent de redondance. Millenium, par exemple, autre morceau en mid-tempo (oui j’adore ça), rappelle quelques titres des Burning sur Taranto, magnifiquement joué avec une basse envoutante. Plus rythmé Problem est un joli morceau à chanter en chœur et Tales of the ordinary madness est efficace comme il faut. Et puis il y a General Motor’s World, Elephant man ou Leviathan qui ont un arrière-goût d’At The Drive In. En fait il n’y a pas de titres chiants sur cet album, c’est aussi simple que ça. Par contre il est addictif.

Le son est propre et bien équilibré, c’est une nouvelle fois Fab au Chipolata Framboise studio qui s’y est collé. En tant que voisins, The attendants viennent de Treillières, il aurait été dommage de s’en priver. Au passage on peut féliciter le travail du studio et son producteur qui depuis quelques années sortent des albums d’excellente facture.

Gros coup de cœur de ce début d’année, ce nouvel Attendants est un condensé de titres accrocheurs, inventifs et superbement composés. Une véritable surprise pour laquelle je conseille vivement une écoute attentive. Il n’est pas prêt de s’arrêter de tourner à la maison en tous cas.

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Become A Light





lundi 15 janvier 2018

Morceau - The Dead Mantra

The Dead Mantra vont, après 10 ans, arrêter l'aventure. Mais avant cela un nouvel album doit sortir le 23 février. Je ne Dormirai Jamais est le premier morceau issu de Saudade Forever.

dimanche 14 janvier 2018

Clip - Lame Shot!

Lame Shot! sort un nouvel album en avril, voici Home Alone qui en est extrait.


samedi 13 janvier 2018

Mr GODSON / ROCK’N’ROLL TELEVISION – split



Mr GODSON / ROCK’N’ROLL TELEVISION – split
PCT Musique
4/5

PCT musique est un label québécois qui lance une série de splits mélangeant groupes français et québécois. Une bonne idée qui va nous permettre de connaître davantage de groupes d’une scène très active outre-Atlantique.

Mr Godson [will be the last one to survive] commence le split et pose 4 titres dans le style qu’on leur connait à savoir un punkrock un peu barré et plein de surprises. Le chant apporte son lot de folie (Joy’s rage). Le son est très bon et met bien le groupe en valeur. Les titres sont accrocheurs (Farewell, We are the last ones to survive) et montrent que le groupe est bel et bien sur une ligne de progression intéressante.
Rock’n’roll Television enchaîne avec aussi 4 titres. Where’s EJ amène de la fraîcheur avec un rock’n’roll garage qui rappelle aussi bien les Ramones que les Teen Idols. La recette est connue mais c’est un style toujours aussi plaisant à écouter surtout lorsqu’il est bien fait. Il y a un côté « à la cool » agréble qui me fait penser aussi aux Riverdales. Découverte sympa.

J’aime aussi beaucoup la pochette avec la représentation de l’identité des deux groupes à travers la borne d’arcade et la télévision.
Beau travail pour ce premier split qui laisse envisager de futures collaborations intéressantes.

J. NeWSovski







vendredi 12 janvier 2018

Clip - Rasta Mitsouko

Je poste rarement des groupes ska, on fera une exception avec les Rasta Mitsouko dont le nom perpétue une longue tradition...


mercredi 10 janvier 2018

Interview - THE SONS OF FAOW VERNY

The Sons Of FAOW Verny avait marqué l'actualité musicale l'année dernière avec un premier album remarqué pour l'atmosphère qu'il dégage.

Rencontre avec Julien pour en savoir plus sur ce mystérieux groupe.





D’où vient le nom bien mystérieux de votre groupe ?

Julien : Ça ne va pas chercher super loin en fait : quand on a démarré le groupe répétait chez Bertrand, qui habitait un petit village à côté de Dijon, Fauverney. On a modifié l’orthographe pour préserver son intimité mais surtout pour évoquer un lieu inconnu dont l’orthographe ne permet pas de dire où il pourrait se situer dans le monde. Un petit côté mystérieux justement, qui nous convenait bien. « The Sons of », car quand on a démarré le groupe à trois avec Mike et Bertrand, on avait par moment l’impression de faire de la country de cow-boys. Du coup ça sonnait pas mal.


mardi 9 janvier 2018

lundi 8 janvier 2018

THE FOLK MACHINE 2017



THE FOLK MACHINE 2017
Productions 386

The Folk Machine c’est cette formidable tournée qui a réuni Forest Pooky, Seth Anderson et Spike McGuire durant un mois en cette année 2017. Un concept lancé par Forest dès 2015 lorsqu’il était parti sur les routes aux Etats-Unis avec Yotam Ben Horin et Six Mile Station.
Et ce petit album numérique de 7 titres, sorti juste avant, est l’occasion de voir ce que les trois artistes peuvent donner sur scène mais aussi et surtout, pour moi, de découvrir McGuire et Anderson et de connaître leurs compos.

Forest Pooky commence avec un titre qu’il a écrit avec Supermunk : Ouh, my darling. Evidemment ce titre fonctionne à merveille en acoustique. Il enchaîne avec The Voice of silence qui amène de l’intensité.

Seth Anderson balance vient poser deux titres Life without a fight et Meteor empleins de mélancolie. Il y a un côté New Amsterdams chez le canadien assez plaisant. Il sort un album chez Joey Cape dans son concept One Week dont on avait parlé il y a quelques mois. Le résultat devrait très intéressant.

Spike McGuire vient ensuite conclure de belle manière ce petit split avec une voix qui a davantage de caractère, je trouve, et surtout de grain. Les titres sont aussi plus rythmés et plus blues.

Mention spéciale au dernier morceau It’s the end of the world, une reprise de R.E.M. interprétée par Spike McGuire épaulé sur les refrains et les chœurs par Forest. Une reprise géniale à écouter absolument.

Le but fonctionne donc à merveille puisque ce split donne envie de découvrir ceux qu’on ne connait pas. Quant à la tournée elle est désormais passée mais elle a dû être un superbe moment pour ceux qui ont pu assister à l’un des concerts.


J. NeWSovski








dimanche 7 janvier 2018

Clip - SHOB

Aujourd'hui on met l'ami Shob en avant avec ce superbe titre différent de ce que l'on a l'habitude de poster mais très intéressant.


samedi 6 janvier 2018

Video - The Flatliners

Indoors repris en acoustique c'est juste beau. Et voilà aussi pourquoi on retrouve cet album dans le top 2017.

vendredi 5 janvier 2018

BEN & FIST – Au pire on se sera bien marré



BEN & FIST – Au pire on se sera bien marré
Autoproduction
8/10

Avec un artwork qui rappelle aussi bien fail forward de Wank For Peace que le split La Fête entre Maladroit et Charly Fiasco, ce deuxième album de Ben & Fist se révèle être une petite surprise bien sympa.


Au pire on se sera bien marré a été enregistré par Fab au Chipolata Framboise studio de Treillières. Le son est très bon et le chant aussi, les errances des premiers albums issus du studio semblent être corrigées. Maintenant tout ce qui sort est de très bonne facture.


Les toulousains me rappellent fortement Intenable par le style certes, l’écriture aussi mais aussi la voix principale qui n’est pas très éloignée de celle de Kévin. C’est cependant sympa que le chant soit partagé. Il y a un petit paquet de morceaux accrocheurs : Gin To, au message déjà entendu mais bien efficace, j’aime sa basse qui déroule à fond. Néant est aussi un bon titre, plus calme qui met en avant les paroles. C’est l’un des points forts de Ben & Fist d’écrire de bons textes, on ne le ressent dans Pas de frère ou pour nos sourires.


L’autre point fort c’est l’énergie qui s’associe à une bonne humeur communicative, Ultrafestif donne la pêche à l’instar de Velib or die.


Ce deuxième album du trio toulousain est une vraie réussite. On espère que ce titre d’album n’annonce pas une fin prochaine après 10 ans d’existence tant on a envie de les voir perdurer, tourner et nous sortir d’autres morceaux.

J. NeWSovski


Morceau préféré :                                    Gin To






jeudi 4 janvier 2018

STONED DIPLODOCUS – Ante Mortem



STONED DIPLODOCUS – Ante Mortem
L’Etourneur / Big Owl Records
8/10

Stoned Diplodocus m’avait fait une belle impression lors de son premier album l’année passée. Le trio caennais revient aujourd’hui aux affaires et annonce clairement la couleur avec seulement 4 titres pour 60 minutes. Des statistiques à la Godspeed You ! Black Emperor.


La mise en place est longue sur Sun Song mais ce titre révèle un côté très stoner mais aussi shaman donc psyché si je peux oser le raccourci. Encore une fois on se laisse porter par les rythme et l’ambiance. Modus Operandi a aussi un côté hypnotique avant que Bad Pills, plus lent et mélancolique sur sa première moitié ne tourne à l’orage avec une vraie rage et un chant hurlé. Il est aussi intéressant de voir une chanson fantôme comme on pouvait en retrouver il y a une vingtaine d’année, je vous laisse aller au bout pour découvrir cette étonnante reprise.



Aérien, barré et pas facile d’accès Ante Mortem permet à Stoned Diplodocus d’assoir un peu plus son statut de groupe psyché / stoner de haut rang. J’ai bien apprécié son écoute malgré sa longueur, l’expérience doit être encore plus prenante lorsque le groupe joue en live.

Au passage il est à prix libre sur leur bandcamp...

J. NeWSovski







lundi 1 janvier 2018

Les gars d'HATEFUL MONDAY ont-ils bon goût ?

Commençons cette nouvelle année avec un groupe exotique qui sent bon le soleil... des montagnes suisses. Le groupe fêtera cette année ses 20 ans l'occasion de savoir si Seb et Igor ont bon goût. Pour Jean Rem, dernier venu, on l'avait déjà questionné il y a quelques mois/années lorsqu'il officiait dans The Rebel Assholes.




Votre groupe culte ?