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mercredi 10 janvier 2018

Interview - THE SONS OF FAOW VERNY

The Sons Of FAOW Verny avait marqué l'actualité musicale l'année dernière avec un premier album remarqué pour l'atmosphère qu'il dégage.

Rencontre avec Julien pour en savoir plus sur ce mystérieux groupe.





D’où vient le nom bien mystérieux de votre groupe ?

Julien : Ça ne va pas chercher super loin en fait : quand on a démarré le groupe répétait chez Bertrand, qui habitait un petit village à côté de Dijon, Fauverney. On a modifié l’orthographe pour préserver son intimité mais surtout pour évoquer un lieu inconnu dont l’orthographe ne permet pas de dire où il pourrait se situer dans le monde. Un petit côté mystérieux justement, qui nous convenait bien. « The Sons of », car quand on a démarré le groupe à trois avec Mike et Bertrand, on avait par moment l’impression de faire de la country de cow-boys. Du coup ça sonnait pas mal.


samedi 14 octobre 2017

THE SONS OF FAOW VERNY



THE SONS OF FAOW VERNY – A thunderous light to beckon me
7.5/10

Les gars de Sons Of Faow Verny ne sont pas d’illustres inconnus car on a pu croiser certains dans After Taste, the Tan Case ou Never Again. Le groupe vient de Dijon possède deux chanteurs dont l’un, celui que l’on entend le plus souvent, me fait beaucoup penser à Ben de Sliver.

Il y a quelque chose chez ce groupe qui le rend spécial et, malgré quelques défauts, il a cette capacité qui fait que l’on revient vers lui avec grand plaisir.

J’aime beaucoup l’ambiance que dégagent les deux premiers titres, j’adore A Better Guy, son atmosphère, ses sonorités si riches. Ce mélange de mélodies, de mélancolie et d’intensité me rappelle vraiment un Sliver qui se serait apaisé. Pourtant ce titre vient pointer un défaut du groupe à savoir l’accent anglais du premier chanteur qui intervient. Il me pique l’oreille et sur un premier morceau ça freine un peu, c’est dommage.

Each Night poursuit avec une intensité aussi soutenue et toujours autant de sons intéressants (toujours ce xylophone…). Malgré des ambiances qui surprennent sur sa deuxième partie, Tender Titan, me paraît un peu en retrait par rapport aux titres précédents. Même constat pour No Lucky Star, un bon titre mais moins fort que les deux premiers. La fin de l’album nous entraîne vers de la folk astucieuse (Lost in this world) et du post machin chose plutôt intéressant sur la complémentarité des voix (Naked Snake).

Un joli album qui impose une douce atmosphère quelque part entre Sliver et Mohawk. Un album qui doit être d’autant plus impressionnant sur scène.


J. NeWSovski