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mardi 22 octobre 2024

ESCAPE – Screams Of Anger

 


ESCAPE – Screams Of Anger

Katacomb Records / Chanmax Records

 

Cet été j’ai fait la route des vins d’Alsace durant les vacances et je suis maintenant capable de situer toutes ces communes aux noms aussi compliqués que des codes wifi : Turkheim, Eguisheim, Unawhihr, Riquewhir… Une région magnifique, merveilleusement conservée au milieu de laquelle prône Colmar, petit joyau. Hélas je n’ai pas eu le temps d’aller à un concert ni d’y trouver un disquaire pour écouter des groupes locaux mais quelques semaines après mon retour j’ai eu la surprise de faire la connaissance d’ESCAPE qui vient justement de Colmar !

 

Escape est un groupe créé en 2001 qui a sorti quatre albums sur des labels aussi sympas que Chanmax Records, José Rec et Blackout Prod, a aussi un split avec The Boring, ainsi qu’un EP 3 titres et un morceau sur la compile hommage aux Flying Donuts. Un joli CV.

 

J’aime beaucoup la pochette qui me rappelle un peu le style de Jacob Bannon sur le Jane Doe de Converge. Musicalement le groupe balance un punkrock rapide avec des mélodies assez incisives (easy to say) et propose quelques riffs sympas comme sur Purchase of Death qui font penser à Propagandhi. Le groupe peut rappeler aussi les Burning Heads (MFS ; Leave They Alone), qui fait partie de leurs influences. Le chant est assez marqué dans la façon dont il est scandé, plutôt intéressant sur la première partie de l’album, il peut se révéler répétitif sur l’ensemble des neuf morceaux. Mais pour contrebalancer, les Colmariens cassent un peu le rythme, c’est le cas sur le superbe Fight For Nothing aux faux airs d’Hot Water Music ou sur un morceau plus lent à la Sixpack : Lost Friend.

 

Escape, c’est un nom qui pourrait porter à confusion parce que l’Alsace mérite au contraire qu’on la découvre, Escape, ancré à Colmar qui est une ville qui ne semble pas portée sur le punkrock au premier regard, se veut être un groupe efficace, dynamique et talentueux.

 

J. NeWSovski

 

 

https://escape-punkhc.bandcamp.com/

https://www.facebook.com/escape.punkhardcore

 

vendredi 12 novembre 2021

UNLOGISTIC – Still (EP)

 




UNLOGISTIC – Still (EP)

Rejuvenation Records / emergence records / Chanmax Records / Metro Beach / KBV records / Creepozoïde / Gestalt

 

Fleuron de notre scène underground hexagonale à la fin des années 90 et dans les années 2000, Unlogistic a sorti bon nombre d’EPs, de splits et d’albums sans jamais être exposé et obtenir la notoriété que le groupe méritait. En 2011 le groupe stoppait l’aventure avec une compilation sobrement intitulée Allez tous vous faire enculer et contenant pas moins de 53 titres, soit quasiment la totalité de ceux enregistrés sur leur période où ils ont utilisé leur boîte à rythme.

 

Grosse surprise donc avec la sortie cet été de cet EP de 9 titres en collaboration avec pas moins de 7 labels. Les morceaux du disque sont tous présents sur la face A tandis que la face B se voit illustrer d’une gravure un peu psyché.

Côté musique le groupe envoie toujours dans le même style : mélange de punk ultra énergique et de hardcore complètement déjanté. Certains morceaux sont expéditifs (K-Vain ; SXE ; Right in your mouth ; dmt) alors que l’on retrouve les mélodies qui faisaient le charme du groupe (Cœur de cochon). 

Poor Reality et son intro dépressive à souhait part dans un hardcore oldschool superbement exécuté. Autre moment sympa avec I don’t wanna see who you are même si le mixage est perturbant.

 

Unlogistic avec Still fait son grand retour. Un groupe hors norme avec une sortie qui l’est aussi puisque le vinyle est sorti 2 mois avant la version numérique.

 

J. NeWSovski

https://emergencerecords.bandcamp.com/album/still

 



jeudi 11 avril 2019

MONDE DE MERDE – The Mess




MONDE DE MERDE – The Mess
Opposite Prod / Don’t Trust the Hype / Mass Prod / No Way Asso / Chanmax / Guerilla / Ebruitez
9/10

J’avoue m’être intéressé à Monde de Merde lorsque j’ai appris que Pierre des Burning Heads en était le guitariste, l’annonce de son départ du groupe mythique pour se consacrer à Monde de Merde et son job de tatoueur n’a fait qu’augmenter ma curiosité et ce second album The Mess tombe à point nommé pour attiser ma curiosité.
Cependant réduire Monde de Merde à Pierre des Burning est trop réducteur car on retrouve aussi des membres de Gravity Slaves (un des tous premiers suivis par les Rêveries avec leur split avec Dacÿco) et de Speed Jesus.

La première chose frappante c’est que je m’attendais à un chant en français, c’est d’ailleurs toujours surprenant d’avoir un nom français et chanter en anglais et l’inverse est vrai aussi. La seconde chose qui m’a surpris c’est le chant féminin, je n’étais clairement pas au courant qu’il y avait une chanteuse à la tête de monde de merde et cette surprise est vraiment sympa. Par contre il me sera difficile de ne pas faire un parallèle avec Mon Autre Groupe, formé aussi de membres prestigieux d’autres groupes (GxP, Traverse, Homeboys…) et d’une chanteuse énergique.

Car Monde de Merde joue vite et joue fort, un punk hardcore dans l’urgence qui envoie de l’énergie par palettes de 10 (It Was Never Enough). No Means No, le morceau d’ouverture, pourrait d’ailleurs servir de résumé car, à l’image des 10 titres en 17 minutes, il expédie une telle fougue qu’on ne peut que rester scotché. Lucette chante et gueule à se briser la voix, un nouveau parallèle avec Fanny DX de MAG. Et pourtant il y a quelques variations plutôt plaisantes parmi ce déchaînement et cela commence par le morceau Awareness plus punkrock dont le chant se veut plus apaisé ou le très bon Soto qui, si l’on excepte le chant, sonne très Gravity Slaves avec ses chœurs diaboliques. Le dernier morceau à dénoter est le très bon The Gift avec plus de 3 minutes au compteur et une longue intro enivrante avant de virer dans la colère.

Monde de Merde est une belle surprise et j’adore ces groupes qui envoient un punkrock brut aux accents hardcore. Le chant apporte aussi beaucoup d’énergie. Vivement recommandé.

J. NeWSovski
Morceau préféré :                                    Soto






samedi 1 décembre 2018

Brice de Nothing More A-t'il bon goût ?


NOTHING MORE que je classe dans les dinosaures français du punkrock vient de sortir un nouvel album encore bien bétonné il y a quelques mois. L'occasion de reprendre la série des A T'Il Bon Goût avec Brice, batteur du groupe.







mercredi 12 septembre 2018

NOTHING MORE – Game of Truth




NOTHING MORE – Game of Truth
Chanmax records
8/10

Il n’en reste presque plus des dinosaures dans notre scène punkrock nationale, je parle de la scène punkrockmélo dite à roulettes qui a brillé dans les années 90. Qui est encore actif ? Les Burning Heads bien sûr mais les orléanais sont increvables, Dead End qui est toujours au top sur son dernier album et puis qui ? Et bien Nothing More bien entendu, planqué dans l’ombre, un peu dans son coin mais toujours là. Le groupe n’est pas très populaire, il ne l’a jamais été mais cela ne l’empêche pas de toujours envoyer de super titres et de supers albums.

Enregistré au studio Pôle Nord par Fred Gramage, là où les Burning, Seven Hate et toute la clique enregistraient, Game Of Truth n’est finalement que le 3ème album du groupe de Maisons-Alfort. La pochette est belle et ce digipack est clinquant dommage qu’une version vinyle ne soit pas prévue.

Nothing More, sur ce nouvel album, fait donc ce qu’il sait faire de mieux et dans son registre j’aime beaucoup All And Nothing et Sensations deux morceaux très mélodiques qui pour moi sortent du lot.
Généreux, Nothing More offre pas moins de 16 titres sur cet album, avec des morceaux rapides qui me rappellent les toulousains de Greedy Guts (Shade as dark) ou encore Sleazy Arse (Two of the whole). J’aime bien Hey ! plus lent, avec de superbes lignes de basse, d'ailleurs sur tous les titres elle est énorme, il amène un esprit différent à l'album. Je trouve cependant que certains se révèlent plus difficiles d’accès notamment Insane bien barré ou that we lay down.
Sympathique aussi de retrouver une petite intro à l’ancienne avec une réplique bien sentie.

Au final c’est un bon album, curieusement je le trouve un peu long, il aurait été davantage tranchant en étant plus court. Mais Nothing More étant un groupe qui se fait rare on ne va tout de même pas cracher sur le fait qu’ils viennent de nous envoyer 16 titres d’un coup. Vive les dinosaures !!

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                   Sensations




lundi 3 juillet 2017

GRAUSS BOUTIQUE - S/t



GRAUSS BOUTIQUE - "Grauss Boutique"
Chanmax - A tant rêver du roi
8 sur 10

GRAUSS BOUTIQUE est d'abord le side project de membres éminents d'Ez3kiel, Ultra Panda et Quatuor Oban. Le groupe déjà auteur d'un EP en 2015 distille un rock instrumental puissant et tonique, qui à certains égards, fait un peu écho à TOTORRO : le même enthousiasme communicatif. Le trio ratisse encore plus large musicalement parlant et transgresse nombre de genres : math rock, noise, métal, fusion, structures jazzy, tout y passe et l'alchimie opère. La maitrise technique du trio guitare / basse / batterie est le principal élément explicatif de la réussite de cet LP.

GRAUSS BOUTIQUE maitrise l'art du changement de rythme, de la rupture, de la fausse piste. Les cinq premiers morceaux, assez speed, laissent peu de répit à l'auditeur. Le titre d'ouverture "Safari Tanzanie", savant mélange de riffs métal et de math rock à la BATTLES, montre à quel point le groupe fait fi des codes et courants musicaux. Sur "Humeur toute folle", GRAUSS BOUTIQUE se fait plus punk hardcore. Par la suite, l'album ralenti (un peu) la cadence, laissant la place à quelques intros légèrement funky sur "Echine of Doom" ou post rock "Lazy fingers", avant que la puissance de feu du trio frappe fort. Changement de décor sur "Anthem" qui nous replonge dans du bon vieux heavy métal 80/90's et un son très guitar héro à la SATRIANI. "Sound of Fathoms", titre le plus long, montre un versant plus planant avant de prendre une direction plus stoner.

Au final, sur les 11 morceaux que constituent le LP, GRAUSS BOUTIQUE n'ennuie jamais.  Le plaisir que prennent les trois musiciens est rafraichissant pour l'auditeur et donne envie d'aller les découvrir en live, tant la musique de GRAUSS BOUTIQUE semble être taillée pour la scène.

Une chronique de Mr Caribou


Morceau préféré :                         Déchire ton ciel




mercredi 22 mars 2017

BURIED OPTION - Share Once More (EP)



BURIED OPTION  - Share Once More (EP)
Opposite Prod / Chanmax records / Urgence Disk Records / Blackout Prod / Frisbee Records / Temple Garden Records
3.5/5

Cela fait désormais plus de 4 ans que Buried Option s’est formé et, petit à petit, pas après pas, le groupe grandit et propose un punkrock indie de plus en plus inspiré et personnel.

Ce nouvel EP, leur 3ème, vient confirmer cette tendance avec trois titres qui rappellent des pointures telles que Sexypop, Shaggy Hound, ou plus directement les grands frères de Gravity Slaves et Baxters d’Orléans aussi, je pense notamment à l’excellent morceau Snack Toys dont on avait pu découvrir le clip il y a quelques semaines. Les mélodies y sont poussées, on prend le temps de les développer, le chant se pose dessus subtilement, c’est le cas aussi sur la superbe Don’t mess with Michigan.

Les Orléanais s’attaquent aussi au monument Fugazi en reprenant I’m so tired issu de Instrument. Même si le son manque de pêche et paraît parfois étouffé il n’en demeure pas moins que les morceaux sont bons et accrocheurs, en tant que fan de ce courant depuis les illustres Keneda et autres Shaggy Hound je ne peux qu’apprécier la progression de Buried Option.

Vivement la suite.

J. NeWSovski





vendredi 9 octobre 2015

Nothing More - The good, the bad, the one (ep)



Nothing More - The good, the bad, the one (ep)
Chanmax records

Je suis heureux de voir que vingt années après Nothing More est toujours là. Sans avoir jamais été un groupe ni médiatisé ni adulé, il poursuit son bonhomme de chemin, disséminant son punkrock comme la bonne nouvelle, toujours la même flamme au fond du cœur. Nothing More fait partie de ces groupes comme les Greedy Guts ou Dead End qui ont sortis de super albums, que la vague Epitaph californienne a certainement porté jusqu'à la fin des 90's mais qui n'ont jamais vraiment connu la renommée publique contrairement aux Burning Heads, Seven Hate ou Uncommonmenfrommars, même si, certes, elle reste toutefois confinée toute proportion gardée.
Mais si je peux oser une comparaison footballistique (et je peux c'est quand mon zine, merde !) je me souviens du grand FC Nantes de 95 de Loko Pedros Oudec Karembeu Makélélé mais moins du défenseur central. On se souvient très bien des Burning peut être moins des Homeboys et autres Sleazy Arse...
Toujours est-il que Nothing More est toujours debout et que les parisiens se font plaisir balançant des ep par-ci des splits par-là et un album entre les deux. Ils se font plaisir et c'est ça la musique.
4 Titres, je me répète, c'est court mais c'est suffisant pour garder en mémoire un groupe. Nothing More a toujours son sens de la mélodie, ce qu'ils jouent est très bon et ça l'a toujours été. Parfait aussi la petite reprise de No Means No.


Et rien que parce que j'aime ce groupe et que j'aime le fait qu'il sorte encore des titres, et bientôt un album, je ne peux que vous encourager à jeter une oreille sur cet EP. Peut être un son meilleur aurait-il pu lui apporter une meilleure qualité, toujours a-t'il le mérite d'exister.




mercredi 9 avril 2014

Flying Donuts – still Active


Flying Donuts – still Active
José records / kicking records / chanmax rds
8.5/10
18 ans que le trio écume les routes de France et d’Europe, les vieux se rappelleront des concerts de l’époque Last Straight Line avec les Second Rate et les Homeboys. Les Flying Donuts représentent  maintenant bien plus qu’un groupe de punkrock, ils sont aussi l’un des emblèmes de notre scène indé nationale. Totalement impliqué dans le mouvement DIY le groupe s’est même vu être le sujet d’un livre : ma petite entreprise punk.

Still Active est seulement le 4ème album, et son nom annonce la couleur. Pour ceux qui auraient pu penser le groupe enterré, il faudra toujours compter sur eux ! Et il est en forme, la flamme, en emblème sur la pochette, brûle toujours et brûlera encore longtemps je pense.
Comme pour les albums précédents il m’aura fallu plusieurs écoutes pour appréhender totalement cet opus, c’est d’ailleurs l’un des rares groupes de punkrock qui me fait ça. J’ai l’impression que les albums des spinaliens ne se livrent pas si facilement que ça, qu’il faut les travailler pour en profiter.
Tout commence donc par All Or Nothing, un bon morceau d’entame qui bourrine un peu et met surtout en appétit. Still active, dans la continuité de Until The Morning Comes, se veut un fin mélange de rock lourd et de belles mélodies. L’enchaînement From InsideGreat Powers Of Adaptation est d’ailleurs totalement révélateur des deux faces du groupe. From Inside se veut être le titre le plus mélodique et le plus pop de l’album et peut être même de la discographie du groupe avec son refrain tout gentillet. Mais moi j’aime bien et ça passe à la perfection comme une bonne friandise. Great Powers, curieusement long pour un morceau de ce style, balance dans le hardrock punk à grosses guitares comme il sait si bien le faire. Puis sur Shadows il vient flirter sur les traces de Black Zombie Procession et des Hellbats. Puis quelques titres partent dans un registre plus mélodique avec de belles envolées come Remain Alone ou l’art de manier le mid tempo.

Enregistré au studio Pole Nord par Fred Gramage et masterisé par Jason Livermore au Blasting Room, du classique désormais mais toujours efficace. Still Active se veut un album qui explore plusieurs cotés du groupe mais qui allie parfaitement les envolées mélodiques et le rock dur avec mur de guitare en prime. Et à n'en pas douter comme un bon vin il va vieillir et se bonifier avec le temps.

Mon titre préféré: from inside





FLYING DONUTS : still active (teaser) from Brice Beillant on Vimeo.

mercredi 20 novembre 2013

Cafzic is (still) burning ! – punk covers





Cafzic is (still) burning ! – punk covers
Quelle belle initiative et bonne idée de la part de CAFZIC de sortir un numéro spécial sur le festival de Mont De Marsan qui a eu lieu en… 76 et 77 !
Ce festival, j’en ai entendu parler il y a une bonne quinzaine d’années, un festival légendaire dont les souvenirs se romancent plus le temps avance. On m’a parlé du plus grand rassemblement de l’histoire du punk, des Clash, des Sex Pistols, des Damned… le tout en plein pendant la grande vague de 77. Mont de Marsan, (petite) ville des Landes fut le centre du mouvement punk anglais.

Cafzic, qui est de Mont de Marsan, a trouvé des gars qui y étaient et encore mieux : qui y ont écrit un fanzine. L’objet, jamais publié, est ressorti d’un fond de tiroir et voici, en novembre 2013, 35 ans après l’écho des sauvages qui arrive enfin ! Bon on va pas parler de vintage ou autre mot à la mode puisque c’est d’époque tout court. La mise en page est un peu brouillonne, le texte fait à la machine à écrire… ça rappelle pas mal de souvenirs et ça donne même envie de sortir un Rêveries Old School.

Cafzic nous régale encore plus en s’associant avec Kicking Records, Slow Death, Smalltones, Dirty Witch, Chanmax et encore bien d’autres (notamment un financement participatif) pour sortir une compile de reprises de groupes de l’époque. Ça donne du Dead End qui reprend the Saints en ouverture, et je suis heureux de voir que le groupe de Wattie soit toujours sur le devant de la scène. Ce groupe le mérite vraiment. Et puis les groupes s’enchaînent et les bons titres aussi : SONS OF BUDDHA, Simon Chainsaw, MSL JAX, ATOMIC GARDEN, DEAD POP CLUB… Avec des reprises intéressantes souvent retouchées, réajustées, francisées parfois.
Bon après je ne cache pas qu’il y a des morceaux avec lesquels je n’ai pas accroché mais reste que l’esprit de rendre hommage à une période précise est bien fidèle et qu’il ravira forcément les vieux de la vieille mais aussi les plus jeunes, qui aiment bien le retour aux sources.

Je me répète mais c’est une belle idée et une belle compile que vient de sortir Cafzic. Bravo et merci.





Mon titre préféré: DEAD END "International Robots" (THE SAINTS)