Votre nouvel album Goodnight
Memories vient tout juste de sortir dans quelles conditions a-t-il été composé
?
vendredi 16 juin 2017
Interview - Quitters
Le groupe de Montpellier vient de sortir un premier album plein de charme qui s'impose comme un des albums de l'année. Ce sera tout comme intro car tout ce qui est intéressant est après...
jeudi 15 juin 2017
Video - UNDECLINABLE AMBUSCADE
Alors que je n'avais pas remarqué qu'Undeclinable Ambuscade était encore debout , voilà cette petite vidéo de leur passage au Groezrock 2017 filmé par Effervescence records.
L'occasion de voir que Jasper a pris un peu de volume en 15 ans...
mercredi 14 juin 2017
TEN FOOT POLE – Setlist
TEN FOOT POLE – Setlist
Cyber Tracks
6.5/10
C’est amusant et en même
temps une bonne chose que de voir Ten
Foot Pole encore en vie. J’ai longtemps considéré, comme bon nombre de fans
de punkrock ricain je pense, le groupe comme évoluant en deuxième division loin
derrière les cadors du style.
Sans grande innovation ni
album marquant, le groupe a toujours fait le boulot de façon efficace et très
proprement. Le départ du chanteur Scott
Radinsky pour poursuivre sa carrière de Baseballeur professionnel puis
chanteur dans Pulley a aussi ralenti
l’ascension du groupe puis accéléré son départ d’Epitaph pour Victory
dans un premier temps et d’autres labels moins prestigieux par la suite.
13 titres qui mettent fin
à un silence de 13 années. Et sans casser le suspense il n’y a pas vraiment de
grosse surprise, ni bonne, ni mauvaise car il y a 11 vieux titre ré-enregistrés ainsi que deux nouveaux. Ce qui donne du punkrock mélodique incisif avec
quelques riffs et quelques sons de guitares à la Strung Out. Ça joue vite dans l’ensemble avec cependant des
morceaux assez longs (pour le style) qui dépassent très souvent les 3 minutes.
Je retiens My Wall
un peu déjanté par moments, le mid tempo I don’t want to
go ou les classiques Never Look Back
et Closer to grey, assez accrocheur. Quelques
titres appréciables mais qui ne bouleverseront pas non plus notre existence.
Ten Foot pole se fait plaisir avec ce retour et signe
un album compilation qui devrait ouvrir la porte à de nouveaux titres. Les
nostalgiques apprécieront son écoute, mais avec les sorties qu’il y a en ce
moment il restera assez anecdotique.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Scars
mardi 13 juin 2017
lundi 12 juin 2017
THE DECLINE ! – Heroes on empty streets
THE DECLINE ! – Heroes on empty streets
Guerilla Asso / Kicking Records / Abracadaboum / Rural
Muzik / Zone Onze
9/10
The Decline
est devenu un groupe incontournable sur la scène française de par la qualité de
ses compos mais aussi par son style qui se glisse dans une petite niche où peu
de groupes évoluent en France.
Heroes on empty streets est le troisième album du groupe après un premier et
génial Broken Hymns for beaten hearts en 2011 et 12A Calvary Road
qui comportait de très beaux titres mais souffrait de quelques défauts majeurs.
The Decline ! est donc de retour et le premier titre Along
The red Brick walls rappelle comme il est bon d’entendre les
Rennais, la voix éraillée de Kévin, les guitares accrocheuses et la rythmique
tout en retenue.
J’entends parler ici et là
de musique celtique pour définir le groupe, je trouve ça surprenant car les
Rennais se cantonnent à une structure classique, toutefois on ne peut lui
cacher des atomes crochus avec les Dropick
Murphys, le même registre vestimentaire (polos Fred Perry, casquettes…)
mais aussi le même goût pour des chansons fédératrices (we
love ours cars) qui se reprennent poing levé avec les chœurs derrière. The
Decline ! ressemble davantage à de la musique de pub embrumé d’Ecosse
ou des quartiers ouvriers de Liverpool qu’à du punk aux influences Irlandaises.
J’aime dans ce groupe
cette qualité à écrire des chansons percutantes qui restent ancrées, Heroes on empty streets en est
gavé de Outsiders, à faithless gospels
ou la magique Someday Somehow.
Ce dernier titre aurait très bien pu se placer sur un futur album du Slim Wild Boar dans lequel évolue Kévin
avec son compère Forsaken Shadow,
une magnifique balade envoûtante comme on en entend peu, tout du moins dans ce
registre.
House of Mirrors
est aussi un superbe titre, immersif et aux sonorités bien plus larges que les
autres morceaux. Faithless Gospels est aussi une superbe chanson qui
représente l’identité singulière du groupe.
Il est à noter que le son
est bien meilleur que sur le précédent opus, ici la voix est bien mieux mise en
valeur et les guitares sont présentes. Je ne pourrai reprocher à Heroes on Empty Streets que l’accent
perfectible notamment sur certains passages (we
love ours
scars ou heroes
on empty
streets) qui peut se montrer gênant mais
peut être aussi pour les tournées à l’étranger.
Mais force est de constater que The Decline !
vient de sortir un bien bel album, plein de compositions fortes, de titres
majeurs qui raviront les fans autant dans leur salon que dans les salles qui
risquent rapidement d’être surchauffées.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Someday Somehow
dimanche 11 juin 2017
Clip - Dream Nails
Fraichement arrivé sur Krod Records, l'occasion pour nous de découvrir Dream Nails par ce clip.
samedi 10 juin 2017
BARE TEETH – First the town, then the world (EP)
BARE TEETH – First the town, then the world (EP)
Street Machine Records /
Don't Trust The Hype / All Styles Editions / Morning wood
4/5
Déjà de retour après une
première démo remarquée en 2015, le groupe Lillois livre ici à nouveau 7 titres
auxquels s’ajoute une reprise acoustique.
Cet EP vient me rappeler
que notre bonne vieille scène punkrock nationale est tout de même sacrément
bien fournie dans une époque où clairement le punkrock n’a pas vraiment le vent
en poupe. Et encore plus, cette scène est aussi riche en qualité et en toute
honnêteté je prends plus de plaisir à écouter ce Bare Teeth, le dernier Decline !
ou Quitters aux derniers Ten Foot Pole et Frenzal Rhomb.
Même si musicalement, il y
a peu de surprises Bare Teeth a tout
de même cette énorme capacité à balancer du punkrock rapide et efficace. J’ai
parfois l’impression d’entendre des références à Millencolin sur Parted
Ways qui me rappelle des titres de Pennybridge Pioneers, mais le
chant se durcit montrant une face plus brutale et plus hardcore. Les guitares
balancent à fond et quand le groupe s’énerve vraiment ça sonne méchamment bien
comme sur These Towns
Need Guns
qui voit le featuring de Steve Rawles
de Belvedere.
Behind the
wall est aussi un des morceaux forts de l’EP
avec des mélodies entêtantes, ça joue vite mais avec toutes les recettes d’un
tube punkrock : mélodies, chœurs, breaks… Et quand le groupe le reprend en
acoustique c’est tout aussi réussi.
La pochette est aussi
superbe, un travail de Pierre Philippe qui donne aussi une identité à ce
séduisant EP.
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