Je poste rarement des groupes ska, on fera une exception avec les Rasta Mitsouko dont le nom perpétue une longue tradition...
vendredi 12 janvier 2018
mercredi 10 janvier 2018
Interview - THE SONS OF FAOW VERNY
The Sons Of FAOW Verny avait marqué l'actualité musicale l'année dernière avec un premier album remarqué pour l'atmosphère qu'il dégage.
Rencontre avec Julien pour en savoir plus sur ce mystérieux groupe.
D’où vient le nom bien mystérieux de votre groupe ?
Rencontre avec Julien pour en savoir plus sur ce mystérieux groupe.
D’où vient le nom bien mystérieux de votre groupe ?
Julien : Ça ne va pas chercher super loin en
fait : quand on a démarré le groupe répétait chez Bertrand, qui habitait
un petit village à côté de Dijon, Fauverney.
On a modifié l’orthographe pour préserver son intimité mais surtout pour
évoquer un lieu inconnu dont l’orthographe ne permet pas de dire où il pourrait
se situer dans le monde. Un petit côté mystérieux justement, qui nous convenait
bien. « The Sons of », car quand on a démarré le groupe à
trois avec Mike et Bertrand, on avait par moment l’impression de faire de la
country de cow-boys. Du coup ça sonnait pas mal.
mardi 9 janvier 2018
lundi 8 janvier 2018
THE FOLK MACHINE 2017
THE FOLK MACHINE 2017
Productions 386
The Folk Machine c’est cette formidable tournée qui a
réuni Forest Pooky, Seth Anderson et Spike McGuire durant un mois en cette année
2017. Un concept lancé par Forest
dès 2015 lorsqu’il était parti sur les routes aux Etats-Unis avec Yotam Ben Horin et Six Mile Station.
Et ce petit
album numérique de 7 titres, sorti juste avant, est l’occasion de voir ce que les
trois artistes peuvent donner sur scène mais aussi et surtout, pour moi, de
découvrir McGuire et Anderson et de connaître leurs compos.
Forest Pooky
commence avec un titre qu’il a écrit avec Supermunk :
Ouh, my darling. Evidemment ce titre
fonctionne à merveille en acoustique. Il enchaîne avec The
Voice of
silence qui amène de l’intensité.
Seth Anderson balance vient poser deux titres Life without
a fight et Meteor
empleins de mélancolie. Il y a un côté New
Amsterdams chez le canadien assez plaisant. Il sort un album chez Joey Cape dans son concept One Week dont on avait parlé il y a
quelques mois. Le résultat devrait très intéressant.
Spike McGuire vient ensuite conclure de belle
manière ce petit split avec une voix qui a davantage de caractère, je trouve, et
surtout de grain. Les titres sont aussi plus rythmés et plus blues.
Mention
spéciale au dernier morceau It’s the end of
the world, une reprise de R.E.M.
interprétée par Spike McGuire épaulé
sur les refrains et les chœurs par Forest.
Une reprise géniale à écouter absolument.
Le but fonctionne donc à merveille
puisque ce split donne envie de découvrir ceux qu’on ne connait pas. Quant à la
tournée elle est désormais passée mais elle a dû être un superbe moment pour
ceux qui ont pu assister à l’un des concerts.
J. NeWSovski
dimanche 7 janvier 2018
Clip - SHOB
Aujourd'hui on met l'ami Shob en avant avec ce superbe titre différent de ce que l'on a l'habitude de poster mais très intéressant.
samedi 6 janvier 2018
Video - The Flatliners
Indoors repris en acoustique c'est juste beau. Et voilà aussi pourquoi on retrouve cet album dans le top 2017.
vendredi 5 janvier 2018
BEN & FIST – Au pire on se sera bien marré
BEN & FIST – Au
pire on se sera bien marré
Autoproduction
8/10
Avec un artwork
qui rappelle aussi bien fail forward de Wank
For Peace que le split La Fête entre Maladroit et Charly Fiasco, ce deuxième album de Ben & Fist se révèle être une petite surprise bien sympa.
Au pire on se sera bien marré a été enregistré par Fab au Chipolata Framboise studio de Treillières. Le son est très bon et
le chant aussi, les errances des premiers albums issus du studio semblent être corrigées.
Maintenant tout ce qui sort est de très bonne facture.
Les
toulousains me rappellent fortement Intenable
par le style certes, l’écriture aussi mais aussi la voix principale qui n’est
pas très éloignée de celle de Kévin. C’est cependant sympa que le chant soit
partagé. Il y a un petit paquet de morceaux accrocheurs : Gin To,
au message déjà entendu mais bien efficace, j’aime sa basse qui déroule à fond.
Néant est aussi un bon titre, plus calme
qui met en avant les paroles. C’est l’un des points forts de Ben & Fist d’écrire de bons textes,
on ne le ressent dans Pas
de frère
ou pour nos sourires.
L’autre
point fort c’est l’énergie qui s’associe à une bonne humeur communicative, Ultrafestif donne la pêche à l’instar de Velib or
die.
Ce deuxième album du trio toulousain
est une vraie réussite. On espère que ce titre d’album n’annonce pas une fin
prochaine après 10 ans d’existence tant on a envie de les voir perdurer, tourner
et nous sortir d’autres morceaux.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Gin To
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