Un seul et long morceau (32 minutes) des Nantais de Chaviré.
lundi 16 mars 2020
samedi 14 mars 2020
jeudi 12 mars 2020
MALADROIT – Steven Island (EP)
MALADROIT
– Steven Island (EP)
Monster Zero
Monster Zero
Je pensais
le projet Maladroit un peu mis aux oubliettes mais quelle bonne
nouvelle de voir le groupe nous sortir cet EP plutôt original. Avant de parler
des quatre titres il est peut-être important de rappeler que Maladroit est
un des groupes parallèles de Till (Guerilla Poubelle) et d’Olivier (Dead Pop Club) dans lequel ils alternent le chant qu’il soit en
français ou anglais. Par ailleurs les textes sont légers et rafraichissants.
Et, en ce début
2020, soit 5 ans après Freedom Fries and freedom kisses, le quatuor parisien revient avec un 4 titres qui
rend hommage aux œuvres de Steven Spielberg.
Ainsi le premier titre Darwin’s got our back parle de la peur des requins et par là Les Dents de la Mer. L’alternance des voix, celle éraillée de Till et celle très mélodieuse d’Olivier fonctionne à merveille.
Il sera aisé de reconnaître Jurassic Park à travers Raptor Lover, un titre bien rythmé très Ramones dans l’esprit.
Ainsi le premier titre Darwin’s got our back parle de la peur des requins et par là Les Dents de la Mer. L’alternance des voix, celle éraillée de Till et celle très mélodieuse d’Olivier fonctionne à merveille.
Il sera aisé de reconnaître Jurassic Park à travers Raptor Lover, un titre bien rythmé très Ramones dans l’esprit.
La surprise vient de Exploration team où intervient Forest Pooky et sa voix si caractéristique. Un morceau super efficace dynamique qui propose une belle rupture sur sa seconde partie.
L’hommage indispensable
à ET se fait sur le dernier morceau Communication
Fuck Up,
j’aime bien l’alternance des voix, les lignes de basses bien senties et le
break final.
Ce petit 4
titres est une belle réussite, un vrai bon moment de punkrock léger et
mélodique qui ravira tout le monde. On va surveiller les dates de tournée !
J. NeWSovski
mercredi 11 mars 2020
Clip - TV Violence
Voici TV Violence, je reviendrai un peu plus tard sur ce nouveau groupe nantais formé de membres de Santa Cruz, en attendant voici Crisis Line.
mardi 10 mars 2020
dimanche 8 mars 2020
GUERILLA POUBELLE – L’ennui
GUERILLA POUBELLE –
L’ennui
Guerilla Asso / Slam
Disques
8.5/10
L’ennui a été enregistré lors de la dernière
tournée du trio parisien au Canada, à Montréal
précisément. Pas facile d’enregistrer en tournée entre deux concerts aussi on
ressent une certaine spontanéité plutôt intéressante. Entre les mouvements
sociaux et l’affaire Balkany les textes sont on ne peut plus collés à l’actualité.
De premier
abord j’ai bien aimé l’album aux premières écoutes sans non plus être
totalement conquis dès les premières minutes comme ce fut le cas avec Punk =
existentialisme ou Amor Fati. Ici L’ennui se
rapproche davantage de La Nausée avec des titres très homogènes. Je n’ai
pas perçu de titre plus fort que les autres ces titres dont on sent le
potentiel fédérateur sur scène (comme les fils des
sorcières sur le précédent). Mais il y a ici pas mal de titres d’une
efficacité redoutable : Apocalypse 6 :12
avec une superbe basse derrière ou bien les
frontières du
présent, le premier titre de l’album qui
applique la griffe du groupe ou encore Qui
perd perd,
un titre hargneux et entraînant.
La chute
est l’un des morceaux que je préfère de l’album avec une rythmique dynamique et
dont il est intéressant d’approcher les textes. Le trio explore d’autres
univers sur la première partie de Entre Booba et
Balkany avec un travail sur les mélodies avant de partir vers un
punkrock plus classique mais dont les textes, une nouvelle fois, feront réagir :
Ça passe
les feuilles d’imposition au vocoder / À la fois héros du peuple et
agresseurs
Cet enregistrement au Québec imposait le featuring de Noé Talbot (Fortune Cookie Club), régional emblématique de l’étape, avec lequel Guerilla Poubelle ou Maladroit (avec aussi Till) a beaucoup tourné. Ici c’est avec le titre L’arme à droite que la rencontre se fait. S’enchaîne déjà Vampire avec un thème cher au groupe : la masculinité. Les textes sont bons et j’aime les petits riffs qui me font penser à du Danko Jones. Et quand Guerilla attaque le mid tempo c’est toujours avec autant de réussite, l’argile amène de l’intensité sur cette fin d’album avant que Mare Nostrum, dans la continuité, approche le thème des migrants qui traversent la méditerranée.
L’ennui est
un album qui s’écoute, se réécoute et s’apprécie de plus en plus à chaque fois.
Les textes sont bons et il fourmille de bonnes idées et de bons plans. Je ne
suis pas fan de la pochette mais elle a le mérite d’être identificatrice.
J. NeWSovski
Morceau préféré : L’arme à
droite
samedi 7 mars 2020
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