vendredi 12 juillet 2019
jeudi 11 juillet 2019
mercredi 10 juillet 2019
Mobütu
L'ami Maturin vient de mettre en ligne le dernier EP du gang Mobütu : Memento Mori, hail rock'n'roll
mardi 9 juillet 2019
Fricassée Estivale et son assortiment de mini-chroniques
Voici une première petite assiette de chroniques rapides de groupes français pour commencer cet été.
On commence
par Ludwig Von 88 qui vient de sortir sa première
production depuis la fin des années 90. Il s’agit d’un EP de 5 titres
enregistré au Love Island Studio (Zenzile, Shéraf, Daria) à Angers. Du punkrock, une
déclaration d’amour aux Ramones ( Jean
Pierre Ramone),
des textes engagés et anticapitalistes (En avant dans le
mur), des délires (Karmalpagua)
et du totalement déjanté (Hansel et Gretel
(Mix Autotune)).
Les
Ludwig, avec tout le respect que l’on doit à un groupe fondé dans les années
80, n’a rien perdu de son style et sa superbe. Les fans apprécieront.
LUDWIG
VON 88 - Disco Pogo Nights chez Archives de la zone mondiale
On poursuit
avec EFFELLO et les
Extraterrestres, du
punkrock français à la Shériff. Effello, qui a monté le groupe en
2012, est aussi le nouveau guitariste des Wampas. Un mec jeune mais qui a
déjà usé toutes les scènes de France.
Le groupe
revendique jouer du Youpi-punk, du rock’n’roll dynamique, positif et joyeux. L’ensemble
est bien fait, je trouve les textes plutôt intéressants (Victimes
de l’amour,
les Bourgeois…) et c’est vrai qu’il se
dégage un côté solaire de ce groupe. De bons titres (La musique,
Yeah Yeah Love), une reprise des Ramones
francisée et plutôt sympa (Je n’veux pas m’balader
avec toi) et même si je n’adhère pas à tout il n’en demeure pas
moins agréable à écouter.
EFFELLO ET
LES EXTRATERRESTRES – S/T chez Rock’n’roll UFO
Pour finir on
retrouve un autre groupe mythique français né dans les années 80 : les SOUCOUPES
VIOLENTES. Le groupe depuis sa reformation s’est recentré autour de Stéphane
Guichard et sa compagne Elsa, ils s’entourent d’autres camarades
pour les accompagner à la basse et la batterie.
Pour tout
dire je suis très agréablement surpris par cet album, je m’attendais à quelque chose de plus
direct et basique et c’est une musique très sixties, aux accents britanniques
qu’accueillent mes oreilles. Mélangeant français et anglais avec une belle aisance
les soucoupes font preuve d’un superbe raffinement (Stand
By Me, Seven Days), leur pop indé est subtile tantôt douce (j’étais là) tantôt remuante (pas pour eux, Walk the line) voire même
planante (les poules avec des dents).
J’aime beaucoup la voix de Stéphane qui se joue des styles et s’adapte tout en gardant un grain agréable.
J’aime beaucoup la voix de Stéphane qui se joue des styles et s’adapte tout en gardant un grain agréable.
Sorti sur
Twenty Something, filiale de Nineteen Something, le label des Thugs et de Franck
Freijnick, In & Août des Soucoupes Violentes est un album qui m’a bluffé,
loin du monde parfois trop linéaire du punkrock. A découvrir !
LES
SOUCOUPES VIOLENTES – In & Août chez Twenty Something
https://fr-fr.facebook.com/Les.Soucoupes.Violentes/ https://lessoucoupesviolentes.bandcamp.com/
J. NeWSovski
lundi 8 juillet 2019
Shannon Wright
Voici The Present Arms nouveau titre de Shannon Wright dont le nouvel album Providence, uniquement en piano/voix sort début juillet chez vicious Circle.
dimanche 7 juillet 2019
vendredi 5 juillet 2019
GUERILLA POUBELLE – 1000e concert (LIVE)
GUERILLA POUBELLE – 1000e
concert (LIVE)
Guerilla Asso
Bonne idée
que d’immortaliser ce millième concert sous forme de live. 1000 concerts en 16
ans d’existence, question statistique c’est plutôt pas mal et peu de groupes
doivent avoir effectué autant de concerts en un temps si réduit. Pour tous ceux
qui les ont vus jouer et qui apprécient le groupe, ce live rappellera de bons souvenirs
avec pas moins de 23 titres.
Assez
représentatif de tous les albums, ce live commence par le très efficace Je ne possède que mon
corps et par là suite on retrouve quelques classiques Marx et
l’histoire, Demain
il pleut, tapis roulant,
Carcassonne, les
fils et les filles des sorcières… On a même le droit à Mon rat s’appelle Judas pas joué depuis 2005
ou un petit bout de Nirvana… Et tout se termine avec l’excellent Prévert, Kosma, Paris. Une setlist sans
fausses notes.
J’apprécie
la sympathie du groupe, les messages entre les morceaux et la bonne humeur
générale qu’il dégage.
Comme à son
habitude le groupe met à disposition cet enregistrement à prix libre sur
bandcamp, beau geste.
J. NeWSovski
Inscription à :
Articles (Atom)