Voici Paranoid Style de Bad Religion. A l'ancienne !
mardi 18 juin 2019
lundi 17 juin 2019
Wank For Peace - Twelve Cheese Sticks - Paris - 09/06/2019
Voici Twelve Cheese Sticks en live au this My Fest par Wank For Peace
samedi 15 juin 2019
BAD RELIGION - Age of unreason
BAD RELIGION - Age
of unreason
Epitaph
8.5/10
Si l’on
devait réduire le punkrock a une poignée de groupes pour sûr que Bad
Religion en ferait partie de par sa longévité, son vécu et son aura. Rares
sont les groupes de ce calibre. Formé au début des années 80, 17 albums au
compteur et malgré leurs 50 ans passés le groupe continue à tourner à travers
le monde.
Alors que
dire de Age of unreason ? Depuis quelques années les
albums des californiens se suivent et se ressemblent. Ceux de leur retour sur Epitaph
sortent du lot notamment le trio The process of belief, New
Maps Of Hell, The
Empire Strike First,
les suivants montraient un côté plus fade et monocorde.
Ce nouvel
album arrive 6 ans après True North et c’est aussi le
premier depuis l’arrivée de Trump à la tête du gouvernement américain
et, quand on connait les penchants politiques du groupe, il ne peut être
qu’incisif. Et je le trouve très bon dans le sens où dès le début on sent une
belle énergie, Chaos from
Within est rapide, rythmé et renoue avec
les grands morceaux marquants, c’est aussi le cas de Faces
of grief,
moins bon certes, mais agressif un peu comme le groupe savait le faire à ses
débuts.
Age of Unreason recèle de véritables pépites Do The Paranoid Style ou End Of
History par exemples dans le style
caractéristique des californiens. Candidate
part comme une chanson solo de Greg Graffin, avec une intro folk qui s’envole
ensuite sur une rythmique assez lente mais prenante.
Et puis Bad
Religion innove aussi avec Big Black Dog
au rythme saccadé mais tellement mieux fait que leurs premières tentatives sur No
Substance, innovations aussi sur les effets fuzz sur Downfall qui donnent un côté surf
californien au groupe.
Je regrette cependant
de ne pas avoir une assez bonne maîtrise de l’anglais pour appréhender toutes
les subtilités des textes proposés.
Ce 17ème
album est au final une belle surprise de la part de Bad Religion. Un album
plaisant, vif avec des titres accrocheurs. Malgré l’âge, force est de constater
que le groupe a toujours l’énergie et l’inspiration pour sortir de très bons
albums.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Do The Paranoïd
Style
jeudi 13 juin 2019
Clip - Washington Dead Cats
On en parlait il y a peu, voici Give Me The Fire par les Washington Dead Cats.
mercredi 12 juin 2019
lundi 10 juin 2019
WASHINGTON DEAD CATS – Attack of the giant purple lobsters
WASHINGTON DEAD CATS – Attack of the giant purple lobsters
Deluxe Music
8.5/10
Plus de 35
années d’existence pour les Washington Dead Cats, peut être l’un des
plus vieux groupes encore en activité en France dans la sphère punkrock.
Le groupe a
toujours su mélanger les styles allant du steady au swing en passant par le
punkrock ou, bien entendu, le psycho. Et ce douzième album (si je n’en ai
pas raté) fait la part belle aux films de série B et série Z chers à
Matt Firehair, chanteur et fondateur du groupe, la pochette annonce la
couleur avec ces homards géants sortis des vapeurs de Fukushima.
Sur Attack
Of… on profite d’une ambiance Grand Ouest à la Slim Wild Boar
sur Satan’s grave
à du punkrock plus classique aux tendances pop sur I can’t
stop loving you et du surf/psycho sur Surfing
Over Tsunamis. Je pense aussi aux Flogging Molly et leurs
racines irlandaises sur I’m on the road
to heaven.
Il y a un côté
festif bien amené par la contrebasse et les cuivres notamment sur le très bon Give Me The Fire, très groovy. On passe
aussi au swing, façon crooner, sur Black Cat Bone
qui rappelle à tous que Matt est un sacré chanteur. Le groupe foisonne d’idées
et l’ensemble de cet album amène une fraîcheur assez rare et s’écrit déjà comme
une bande-son estivale. Le tout avec 15 titres pour plus de 46 minutes tout de
même !
A noter ce
livret bien fun qui ne se prend pas au sérieux et ça fait plaisir surtout de la
part d’un groupe qui roule sa bosse depuis si longtemps. Et puis il faut aussi
parler du son qui est calibré à la perfection.
Il est
encore temps de découvrir les Washington Dead Cats et cet album est une parfaite
ouverture vers ce groupe, pas loin d’être culte. Il est d’une richesse et d’une
variété incroyables.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Give Me The
Fire
dimanche 9 juin 2019
Clip - Bowling For Soup
Bowling For Soup vient de mettre en ligne une reprise de Suicide Machines : Sometimes I Don't Mind

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