Le clip de Don't Tell Anyone des sympathiques anglais(e)s de Colour Me Wednesday.
samedi 8 avril 2017
vendredi 7 avril 2017
POLAIR – Injustice / disasters
POLAIR – Injustice
/ disasters
Opposite Prod
8/10
L’album est sorti il y a
quelques mois mais il est toujours intéressant d’en parler tant il est riche
musicalement. Difficile déjà dans un premier temps de classer le groupe
Orléanais. Plutôt hardcore comme sur les premiers morceaux, plus punk comme sur
la seconde partie de l’album ? Bref complexe.
En effet entre Sara Jihad Paul hargneux et habité ou White song percutant au chant rugueux qui
rappelle jusqu’à Alea Jacta Est de
par sa rythmique mais aussi le chant au phrasé très rythmé. Born Dead navigue dans les mêmes eaux tout
en explorant des sonorités inédites.
With
Perseverance et The Assessment rappellent quelque part Nine Eleven pour l’alliage de la
puissance et des mélodies.
Mais Polair n’est pas un groupe qui se cherche, plutôt un groupe
tiraillé qui sait fusionner ses influences. Et à l’écoute des 8 titres on voit
qu’il n’est pas juste là pour la figuration.
Au passage je trouve que la
pochette est superbe, peut-être je pourrai lui reprocher seulement le manque de
lisibilité du nom du groupe.
J. NeWSovski
Titre préféré : White song
jeudi 6 avril 2017
Clip - The Menzingers
Mon titre préféré, After the party, issu du dernier album de The Menzingers est en ligne.
mercredi 5 avril 2017
MEAT WAVE - The Incessant
MEAT WAVE - The
Incessant
Big scary records
8,5 sur 10
MEAT WAVE est un trio émanant de la scène punk
rock de Chicago qui signe un 3ème album remarqué en ce début d'année. 35
minutes d'excellente musique noise et punk, avec le zeste nécessaire de mélodie
pour mieux faire passer les déflagrations sonores des Américains.
Produit par
le cultissime Steve Albini (on
retrouve parfois le son tranchant de Shellac,
"Glass Teeth"
en est la parfaite l'illustration), l'album commence par trois perles, menées
pied au plancher. 2 minutes chrono sur chaque morceau vite exécuté et
terriblement efficace ("To
be swayed",
"Run you
out" notamment). L'urgence et
l'esprit punk ne sont pas galvaudés tant le leader Chris Sutter semble jouer sa vie sur chaque morceau (les hurlements
de "Bad Man").
Les Américains savent aussi prendre leur temps et étirer leurs morceaux à
partir d'un riff répétitif ("Leopard
print jet
ski") ou d'une basse tendue et d'une
batterie martiale (toujours "Bad
man"). L'intro mélodique de "No light"
constitue une respiration avant que le morceau, plus progressif, monte en
volume sonore. Avec "At
the lake"
et "Mask", MEAT WAVE retrouve l'intensité, la
fougue et l'immédiateté. Ces deux petites décharges électriques dépassent à
peine la minute. Avant de terminer cette excellente troisième production avec
un très noisy "Killing the
incessant", le trio s'essaie avec
brio au morceau calme et introspectif : "birdland"
est une réussite qui montre toute l'étendue du talent des Américains.
The Incessant est un excellent album de punk mélodique, subtil, authentique et bien
ficelé, preuve que le genre est encore bien vivace.
Une
chronique de Mr Caribou
Morceau préféré : "bad man"
Si vous aimez : Drive Like Jehu, Fugazi,
Hot Snakes
mardi 4 avril 2017
Clip - At The Drive In
Hostage Stamps est le nouveau titre mis en ligne par At The Drive In, il est issu de In-Ter-li-a annoncé pour le 5 mai
lundi 3 avril 2017
DAVE HAUSE – Bury me in Philly
DAVE HAUSE – Bury
me in Philly
Rise Records
7.5/10
J’ai pris l’arrivée de ce troisième
album solo de Dave Hause comme une
belle surprise. J’aime beaucoup cet artiste que ce soit à travers Paint It Black, The Falcon et surtout The
Loved Ones, j’aime sa voix, son grain et sa capacité à créer des mélodies.
La surprise était aussi
d’apprendre que c’était son troisième album solo. Contrairement à d’autres
artistes de la scène il n’y a pas d’acoustique ici, même si ça aurait pu être
sympa, Dave Hause préférant du
punkrock mid tempo très mélodique au point d’être parfois un peu trop pop ou
collège rock (My Mistake).
Hause
alterne les styles, Divine Lorraine
est une jolie ballade folk au rythme soutenu qui rappelle les longues prairies
américaines et Dirty Fucker,
le morceau le plus rock se retrouve dans un registre plus proche de The Loved Ones, quant à Wild Love
c’est une jolie chanson d’amour.
Au final cet album est riche d’influences diverses et
il met en avant le talent de Dave Hause, celui d’écrire de beaux morceaux aux
mélodies pertinentes et accrocheuses.
Titre préféré : with you
J. NeWSovski
Clip - Missiles of October
Ce groupe squatte mon disque dur depuis des mois, avant la chronique voici le clip de No Brain No Headache
Inscription à :
Articles (Atom)