I AGAINST I – Small
Waves
White Russian Records
8.5/10
Il y a un
lien entre I Against I et les Rêveries, un rapport de fan envers
un groupe à une époque où l’on communiquait davantage à travers des lettres que
par messages sur Facebook. J’ai beaucoup apprécié les deux premiers albums du
groupe, surtout le deuxième (I’m a
fucked up dancer but my moods are swinging), et j’ai eu la chance et le
luxe de pouvoir écouter quelques démos et des titres que le groupe n’a jamais
sorti mais qu’il m’avait envoyés. Ça pour un fan c’est le kiff extrême.
Pour rappel I Against I est un groupe hollandais,
de Dordrecht près de Rotterdam, qui tire son nom d’un album
des légendaires Bad Brains. C’est le
premier groupe à avoir signé sur Epitaph
Europe en 1997.
De par cette relation
particulière, c’est avec une grande excitation que je découvre ce troisième
album et dès la première écoute la nostalgie fait son effet car le trio
batave n’a pas pris une ride. Et dès Hey qui ouvre Small Waves je me rends compte que le son est le
même, le style aussi et surtout la voix de Ronald
est toujours aussi agréable.
Le groupe possède toujours cette capacité à créer des titres ultra accrocheurs, ainsi les mélodies de la très pop Love You When I’m gone sont imparables, c’est aussi la même chose sur Wish I could remember un morceau très mélodique qui reste en tête, le chant est bien utilisé et il apporte vraiment beaucoup aux morceaux. J’aime ce mélange entre mélodies, amplifiées par les chœurs, et la rythmique bien enlevée comme sur At The End Of The Tunnel. Tout se termine par le titre qui donne son nom à l’album : Small Waves. Sur 4 minutes il étale tout le savoir faire du groupe, la classe. Aucune fausse note dans cet album, bravo !
Le groupe possède toujours cette capacité à créer des titres ultra accrocheurs, ainsi les mélodies de la très pop Love You When I’m gone sont imparables, c’est aussi la même chose sur Wish I could remember un morceau très mélodique qui reste en tête, le chant est bien utilisé et il apporte vraiment beaucoup aux morceaux. J’aime ce mélange entre mélodies, amplifiées par les chœurs, et la rythmique bien enlevée comme sur At The End Of The Tunnel. Tout se termine par le titre qui donne son nom à l’album : Small Waves. Sur 4 minutes il étale tout le savoir faire du groupe, la classe. Aucune fausse note dans cet album, bravo !
Ce troisième album qui arrive près de
20 ans après le précédent garde la fraîcheur qui caractérisait déjà le groupe
dans les 90’s. Les fans des groupes mélo d’Epitaph et Burning Heart qui
arrivent à la quarantaine vont être ravis…
J. NeWSovski
Morceau préféré : Wish
I Could Remember
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