jeudi 9 janvier 2020

MENTAL DISTRESS – Pas beaucoup d’avenir




MENTAL DISTRESS – Pas beaucoup d’avenir
No Way Asso / Crapoulet Records / Dirty Guys Rock / Don’t Trust The Hype / Mon Cul C’est Du Tofu / KLVR Records
8/10

Mental Distress n’est pas un groupe inconnu par ici, on avait déjà apprécié leur split avec les Tourangeaux de ED WARNER (quel nom de groupe !) et j’avais chroniqué leur premier Ep il y a deux ans maintenant.

Le groupe de Strasbourg a donc pris son temps entre chaque production et pourtant dans leur musique on sent davantage l’urgence et la fougue. Pour donner rapidement un point de mesure Pas beaucoup de d’avenir contient 17 titres expédiés en 22 minutes… Autant dire que l’intro de Gamin Blessé et ses 2 minutes 50 en plein milieu de l’album offre une pause salvatrice.


Mental Distress est plein d’énergie et décharge un punk hardcore terriblement efficace. Les titres sont directs et efficaces : schlag et amoureux, aluminium… J’aime d’ailleurs beaucoup ce dernier morceau avec sa rythmique saccadée. Le chant français passe très bien et c’est intéressant de se prendre à écouter les textes. Les paroles de PN sur, certainement, une expérience personnelle avec un pervers narcissique sont un bon d’exemple pour se rendre compte que Mental Distress ne parle pas que d’alcool et de baston.

Le groupe fait appel aussi à des samples issus de films qui lancent les morceaux, une pratique un peu perdue ces dernières années mais que j’apprécie beaucoup.


Excellent défouloir, ce premier album de Mental Distress confirme les précédentes productions du groupe. A écouter sans modération.



J. NeWSovski






mercredi 8 janvier 2020

Clip - Raised Fist

Aujourd'hui voici Venomous, le meilleur morceau du nouvel album de Raised Fist : Anthems



mardi 7 janvier 2020

Clip - Anti-Flag

Toujours aussi productif le groupe de Pittsburgh vient de sortir Unbreakable


lundi 6 janvier 2020

JIMMY EAT WORLD – Surviving




JIMMY EAT WORLD – Surviving
RCA
6.5/10

Je crois que je pourrai commencer toutes mes chroniques de Jimmy Eat World en parlant de Clarity, le monument Clarity. Un album rare, précieux, emprunt de justesse et de fragilité. Pièce maîtresse de la scène indie appelée alors émo.

Le groupe s’est trouvée une nouvelle stature après la sortie de Bleed American, album dont l’efficacité et la capacité mélodiques sont justes impressionnantes. Et puis le groupe a glissé petit à petit vers un college-rock plus ouvert et mainstream perdant, à mon goût, album après album, son charme et son identité.

 Surviving est donc le 10ème album du groupe et, en tant qu’ancien fan du groupe, je ne peux qu’être impatient de le découvrir. Je dois avouer que le groupe garde une belle capacité à poser des mélodies accrocheuses comme sur Surviving ou Criminal Energy. Je me mets à croire que, sans que ce soit exceptionnel, JEW est en train de remonter la pente… jusqu’à ce que 555 commence. Là, force est de constater que le groupe évolue dans d’autres sphères. Les sons électroniques passent mal, très mal à mes oreilles, le chant de Jim Adkins aussi, difficile de l’entendre monter.

One Mil tente bien de rappeler au bon souvenir de la jeunesse du groupe mais il y a quelque chose de cassé désormais qu’ All The Way, quelques minutes plus tard, continue à entretenir avec ses chœurs et son horrible trompette. Congratulations, dernier morceau de l’album enfoncera le dernier clou.

Jimmy Eat World balance quand même quelques titres pertinents avant la fin : Love Never, Recommit et Diamond mais l’impression que je ressors de cet album est celle d’expérimentations peu convaincantes et de morceaux très calibrés pour plaire à un maximum de monde.


J. NeWSovski


Morceau préféré :                                    One Mil


dimanche 5 janvier 2020

Clip - THE DEADNOTES

Voici Hopeless Romantic par The Deadnotes dont l'album Courage sortira en février prochain sur leur propre label 22Lives Records

samedi 4 janvier 2020

Clip - Violette

Voici les Ombres par Violette, groupe métal / post-métal avec chant en français.