Les copains déjantés de Stupid Karate viennent de mettre en ligne Stand Out Of My Sunlight issu du dernier EP.
vendredi 28 juillet 2017
jeudi 27 juillet 2017
PWR BTTM – Pageant
Malgré toutes les polémiques autour du groupe, j'ai décidé, en voyant l'album dans pas mal de boutiques, de poster quand même cette chronique telle que je l'avais écrite il y a quelques mois. Pour parler juste de musique.
Vous trouverez ici tout de même les liens vers l'affaire :
PWR
BTTM – Pageant
Big Scary Monsters / Modulor
8/10
A la première écoute j’ai
été surpris par le joyeux bazar musical offert par ce groupe au nom
énigmatique. J’ai d’abord pensé aux Who
sur le début de Silly, peut-être parce que
le petit riff en fond fait énormément penser à Baba
O’Riley. Answer my text
me rappelle au bon souvenir de Weezer
et puis LOL balance un folk aérien
qui a tendance à s’énerver quelque peu, rappelant au passage un groupe comme Mohawk. Le point commun de tout ça est
le goût des mélodies.
C’est donc un joyeux
bordel qu’offre le duo new yorkais à la structure batterie et guitare qu’ils
agrémentent de nombreuses autres sonorités. L’ensemble est incroyablement riche
et varié, j’apprécie Won’t,
belle ballade douloureuse à l’instar de Styrofoam
ou le possédé Now Now
bien plus rythmé.
Il y a aussi un coté pop
indé bien rythmé avec le superbe titre Big
Beautiful Day.
Leurs références doivent surtout s’appuyer sur les 70’s, les Who certes mais aussi les débuts du
garage ou tout simplement aussi le glam rock dont les deux membres s’inspirent visuellement.
L’ensemble nous fait voyager à travers différents pans
de la musique indé. Un univers large mais imprégné d’émotions et de sonorités
qui ne pourra laisser indifférent.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Big Beautiful Day
mercredi 26 juillet 2017
mardi 25 juillet 2017
Clip - COLD READING
Cold Reading est un groupe Suisse de Lucerne, son premier EP sortira en septembre sur le label Toulousain Krod Records.
lundi 24 juillet 2017
DIRECTORS CUT – Cycles
DIRECTORS CUT – Cycles
Hell prod / Joe Cool Records / Avenue Thurell
8/10
De Directors Cut on se souvient du précédent album éponyme sorti en
Décembre 2014 qui permettait de placer le groupe Lyonnais sur la scène
nationale.
Cycles
qui s’est annoncé avec un court métrage qui regroupait trois titres de
l’album : Rust, Ashes
to Ashes
et Another round.
Ce genre de démarche est une chose assez rare mais le résultat est au bout car
c’est une superbe vidéo prenante et originale qui permet de mieux comprendre l’album
et les titres présents.
Cycles et sa très belle
pochette, d’une grande sobriété rappelle justement le court métrage.
Les titres alternent
énergie brute (another round)
et mélodies plus intimistes (Ashes
to ashes). Le groupe Lyonnais arrive à
créer une belle diversité sur ces 9 titres. What
did I does laisse clairement s’exprimer
une fureur interne quand Bitter
Days se veut plus pop et mélodique. Directors Cut a cette capacité à
explorer différents registres tout en gardant son identité et on sent que le
groupe aime jouer avec ça (Waves).
J’aime aussi le chant qui
lui aussi explore, pousse, se fait doux et prend des risques.
Directors Cut ne ressemble à aucun autre groupe. Il
prend des risques en explorant divers styles, les mélangeant pour créer son
propre univers. Et ça marche !
Morceau préféré : Doofy
J. NeWSovski
samedi 22 juillet 2017
Clip - Hot Water Music
Clip composé de vieux morceaux live pris à droite et à gauche. Original pour le nouveau morceau Vultures issu de l'album à venir.
vendredi 21 juillet 2017
BARON NICHTS – Nyan-Hat (EP)
BARON NICHTS – Nyan-Hat
(EP)
Autoproduction
3/5
Voici un nom qui m’inspire
rigueur et autorité, derrière lui se cache un projet solo qui date de 2012 et
dont Nyan-Hat est la deuxième
production.
Loin des sentiments que
son nom m’inspire, la musique de Baron
Nichts explore en douceur différents univers dans un post-rock qui
s’accompagne sur scène de vidéos.
Je me rappelle, il y a une
vingtaine d’années, ce genre de projets (musique et vidéo) était porteur et faisait
son effet, je pense à Hint notamment,
Ez3kiel aussi en a utilisé si ma
mémoire est bonne.
Les morceaux de Baron Nichts réussissent à me captiver.
Squeleton contre 4 oeils, un titre qui
doit chercher son inspiration dans un manga des années 60, me rappelle l’univers
de John Carpenter, quelque part sa
musique aussi, certainement le morceau le plus rythmé. Les autres ont cette
capacité à prendre l’auditeur dans leur filet et permettre de déconnecter.
C’est doux, entêtant, bien
construit. Il manque peut-être le son d’une vraie batterie derrière et un grain
de folie pour emporter le tout.
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