Les fous furieux anglais de Fights and Fires sont de retour avec cette vidéo de Church Bells
mercredi 19 juillet 2017
mardi 18 juillet 2017
DEAD END – Suicide Notes
DEAD END – Suicide Notes
Crucifux Records
8.5/10
Je pense que c’est une
surprise pour certains de découvrir que Dead End est toujours actif et
pourtant le groupe emmené par Wattie
en est déjà à son 5ème album.
Suicide Notes aura pourtant ressemblé à un beau parcours du combattant avant de voir
le jour. Mais au final ce n’est pas moins 16 titres qui le composent ainsi que
6 titres bonus sur un disque à part en édition limitée.
J’aime ce groupe car il a
su garder sa ligne directrice depuis plus de 20 ans et dès les premiers accords
on reconnait précisément Dead End,
le son, la voix…
Et honnêtement, sans
étaler trop ma sympathie envers les strasbourgeois il n’y a que peu de groupes
qui ont une identité propre et qui la conservent pendant plusieurs décennies.
Derrière le très plaisant Autophobia qui ouvre l’album vient se
placer The Cheater
qui rappelle les débuts du groupe époque Love
Kills. Shout
est l’un des morceaux les plus percutants de Suicide Notes, rythmé, énergique mais accrocheur, Bring Us
Solutions qui lui fait suite est du même acabit.
Grosse débauche d’énergie aussi sur Political
Shits, l’un de mes favoris sur l’album.
A l’instar d’autres
vétérans comme les Burning Heads, Dead End sait se montrer irrésistible
quand une touche mid-tempo, voire powerpop se glisse dans son registre, c’est
le cas sur N.O.V.A. excellent morceau
au refrain magnifique et qui aurait très bien pu appartenir au registre des
Orléanais.
Belle ballade aussi que Black Thoughts qui vient conclure en douceur l'opus. Je laisse le suspense sur la ghost song que le groupe à l'habitude de glisser.
Belle ballade aussi que Black Thoughts qui vient conclure en douceur l'opus. Je laisse le suspense sur la ghost song que le groupe à l'habitude de glisser.
J’accroche moins sur
certains titres Love is
Pain et Loser,
ce dernier traîne plus qu’autre chose, il sera peut-être efficace en live mais
sur album il ne me pique pas.
Oï Boy ! qui part pourtant sur de bonnes bases et
des mélodies à la Ramones peine à me
convaincre peut-être pour son coté trop gentil, il aurait mérité un peu plus de
grain râpeux.
C’est avec un grand bonheur qu’on retrouve Dead End
sur le devant de la scène avec un album énergique, certes, mais plein de
mélodies qui n’est pas sans rappeler un certain mixage entre les Descendents et
les Ramones. Ne reste plus qu’à expérimenter tout ça sur scène !
Morceau préféré : N.O.V.A.
J. NeWSovski
lundi 17 juillet 2017
dimanche 16 juillet 2017
Chris de Talk Show Host A-T'il Bon goût ?
Talk Show Host, c'est ce groupe Canadien venu du froid qui ramène un joli soleil dans nos esgourdes cet été. Et c'est Chris, chanteur et guitariste qui passe à l'épreuve d'A T'Il Bon Goût ?
samedi 15 juillet 2017
Clip - Coercion
Groupe formé de membres de Good Riddance, Death By Stereo et Fury 66, Coercion vient de sortir Choices en vidéo
vendredi 14 juillet 2017
CANNIBALE - No mercy for love
CANNIBALE - No
mercy for love
Born Bad
Records
8 /10
Ne pas se
fier au nom du groupe. CANNIBALE n'a
rien de morbide et constitue bien au contraire le compagnon idéal de la route
des vacances, la musique de l'été. Venu de Normandie, CANNIBALE figure sur le célèbre et incontournable label parisien
Born Bad Records. Comme FRUSTRATION,
ils ont de la bouteille (la quarantaine passée) et ont joué dans des tonnes de
groupes avant de lancer le projet CANNIBALE.
La musique
du groupe est entêtante et complexe. Le groupe dit jouer du garage tropical. Il
mélange il est vrai à merveille rock garage, pop 60's et rythmes caribéens.
L'ouverture d'esprit du groupe fait mouche dès le titre d'ouverture "No mercy for love"
qui mélange vieil orgue à la DOORS
et harmonies vocales à la BEWITCH HANDS, groupe rémois qui déjà
s'affranchissait des chapelles musicales. Le synthé vintage est très présent
tout au long de l'album. C'est le cas notamment sur "Mama",
plus rock, qui ose même le solo de guitare avant de se clôturer en larsen et
rythme tribal. Si le groupe fait la part belle à l'exotisme, il conserve ses
racines blues et rock comme sur "Hidden
wealth", plus sombre.
CANNIBALE sait aussi parfaitement mêler le
chant crooner à la tonalité grave type NICK
CAVE et les chœurs plus sucrés. Le
penchant sixties est manifeste sur "Chappy
night". "Caribbean
dream", qui porte bien son nom, est
plus dansant et endiablé. CANNIBALE
maitrise l'art du contre-pied et de la surprise.
Au final, Le quintet voit loin et
offre sur ces 12 titres un beau et original voyage, un véritable vent de
fraicheur.
Une
chronique de Mr Caribou
Morceau préféré : Hidden
Wealth
jeudi 13 juillet 2017
Clip - Get The Shot
Un petit peu de hardcore des familles avec Get The Shot et le titre Blackened Sun
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