Affichage des articles dont le libellé est splint. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est splint. Afficher tous les articles

vendredi 1 mai 2020

Romain de Raincheck A-T'il Bon Goût ?

Alors que le groupe vient tout juste de sortir Cleaned Out, son nouveau titre ultra énergique qui rythme mes séances de sports en plein confinement, j'ai pu interroger Romain de Raincheck pour en savoir plus sur ses goûts ! Bonne lecture !






L'album que tu as le plus écouté ?

Going nowhere fast de Satanic surfers,  je me rappelle encore avoir découvert le groupe sur un sampler rock sound quand j'étais ado, et ça été un coup de cœur immédiat ! Même maintenant, j'ai encore tendance à penser que c'est ce qui s'est fait de mieux dans le style, les lignes de chant sont parfaites, tout comme les textes, les lignes de basse dingues, le travail des grattes hyper abouti, et les drums incritiquables !



jeudi 10 janvier 2019

SHITSTORM – Shit the light



SHITSTORM – Shit the light
Joe Cool Records
8.5/10

Sorti il y a quelques mois déjà, Shit The Light de Shitstorm est un album de Punk-hardcore à l’ancienne très rapide.

Formé avec d’anciens membres de Never Again, Raincheck, Splint !,ISP, Ta Gueule soit une belle brochette de groupes que j’ai eu plaisir à chroniquer sur le webzine. On a ici le droit à 10 titres expédiés en moins de 17 minutes ce qui laisse peu de suspens sur le rythme effréné des morceaux.  On sent la rage et l’énergie, ainsi Blackhole rappelle au bon souvenir de vieux groupes comme 59 Times The Pain (les premiers) ou Tromatized Youth et j’aime ce son oldschool loin des grosses productions parfois trop calibrées. What Do You Know me fait même penser aux tout premiers Descendents, gorgés de caféine mais cherchant tout de même à caler un minimum de mélodies. Kiss me I’ve got Aids et Zero sont de vrais brûlots avec un batteur remonté comme une pendule.

Avec des groupes comme Shitstorm ou Circles notre scène punk-hardcore se porte vraiment bien.

Très court, cet album est un parfait défouloir. Simplicité et efficacité, une recette déjà connue mais toujours d’actualité. Shit The Light est un très bon moment qu’on peut faire tourner en boucle en attendant de les voir en live.
J. NeWSovski

Morceau préféré :                  Blackhole



lundi 9 juillet 2012

Never Again – no



Never Again – no !
Old school Records
6.5/10
Never Again est un jeune groupe de Dijon pratiquant un punkrock rapide, très rapide même. Il sort son premier album en CD produit à l’ancienne façon DIY. Si la prod’ n’a rien d’exceptionnel l’envie et l’enthousiasme sont là. Le premier morceau « take it away » envoie direct la purée, le deuxième « beer color » au chant plus original sur l’intro déroute un peu au début avant de partir en chant crié puis se perd un peu, je trouve, sur la fin. Les six autres titres évoluent dans la même sphère de punkrock très rapide au chant poussé, mention spéciale pour "infection" efficace à souhait qui me rappelle un peu Trouble Everyday.
L’ensemble est nerveux et relativement plaisant mais je suis obligé de les comparer à Splint !, les deux groupes ayant 2 membres en commun. Je trouve Never Again moins percutant que Splint, mais néanmoins efficace et je ne doute pas de leur efficacité sur scène.


lundi 4 juin 2012

Splint ! – The deadly Rhythm



Splint ! – The deadly Rhythm
Old School Records / Orchidscent Records
9/10
On admire la belle pochette du digipack avec un superbe dessin qui me fait penser au Cri de Munch. L’intérieur est très beau aussi et le livret, comme cela s’est fait avec quelques groupes de noise il y a une dizaine d’années : sur du calque. Perso j’adore. Et je dirais même plus que cela devrait donner une raison supplémentaire d’acquérir un album. Quand on voit le soin qu’un petit groupe arrive à mettre dans la réalisation de son digipack je dis bravo !
Musicalement, attention ça joue vite. A peine le cd installé, la gentille intro débutée que le temps de s’assoir dans le canapé pour ouvrir une petite pils et 4 morceaux se sont déjà écoulés… « Where should I start » donne le ton de l’album et balance sa rage en hardcore old school. C’est rapide et bon comme doit l’être du old school. Les dijonnais évoluent dans la veine Tromatized Youth ou Vitamin X et Gorilla Biscuits (pour sortir les grands noms !). Tous les titres envoient grave (« Live slow, die Old » « rad party ! »…). Par contre le premier souci c’est que les 10 titres (dont une intro et une outro surprenante en hip hop américain dijonnais.) passent en 17 minutes ! Après avec l’énergie qu’il y a dans ce groupe on n’a qu’une envie c’est de prolonger le plaisir sur scène. Et c’est là qu’arrive le deuxième gros souci : le groupe est désormais en stand Bye depuis que le guitariste est parti s’installer en Australie. On va donc faire tourner cette petite galette avec la touche replay enfoncée et se consoler en apprenant que le chanteur et le batteur jouent dans Never Again (chronique dans quelques jours). En tous cas une très bonne surprise !