Bad Religion est LE groupe emblématique du
punkrock californien. Présent depuis le début des années 80 le groupe est
toujours actif depuis. C’est en 1988 que la bande de Greg Graffin et Brett
Gurewitz sort le cultissime SUFFER sur Epitaph (le label de Brett). Une
très belle illustration signée de Jerry Mahoney.
jeudi 22 août 2013
mercredi 21 août 2013
L'Undergraph a t'il bon goût ?
Infographiste et illustrateur, Undergraph est le garant du visuel
des Rêveries, on connait son travail sur le logo, les couvertures et les pochettes des compiles du zine
mais aussi pour Mr Brown & the Rablastones ou autre Shitoitsu. Il n’en
reste que l’artiste vendéen est aussi un formidable créateur d’affiches de
concerts (http://www.gigposters.com/designer/146641_Undergraph.html).
Il était temps de savoir si l’Undergraph a bon goût ...
image d'archive ! |
Différents travaux de l'Undergraph pour les Rêveries
Ton groupe culte ?
Compliqué
d’en citer qu’un mais je mettrais en premier Metallica, à part le batteur Lars
Ulrich que je trouve vraiment imbuvable, je trouve l’histoire de ce groupe
vraiment intéressante et pour moi James Hetfield représente vraiment le frontman
absolu ...
Après :
Pantera,
le groupe que je rêvais de voir en live (j’aurais pu les voir à Tattoo the
planet à Bercy mais ils avaient annulé à cause du 11 septembre, puis est
survenue la mort de Dimebag, plus de chance pour moi de les voir... cette annulation
reste pour moi une énorme déception.
Puis
pour finir Slayer
(RIP Jeff)
Metallica période Pétrole Hahn |
Burning Lady – until the walls fall
Burning Lady – until the walls fall
Concrete Jungle Records
Concrete Jungle Records
9/10
Une belle pochette qui sent bon le rock’n’roll dans la plus
pure tradition Hellcat Records, en
noir et blanc avec une belle tarentule, je suis sûr que Tim Armstrong ne la
renierai pas.
Burning Lady est
un quatuor du Nord Pas De Calais qui a la particularité d’avoir une chanteuse.
C’est vrai que ces derniers temps les groupes avec un chant féminin, au-delà
d’être de plus en plus nombreux, sortent de très bons albums je pense notamment à Annita Babyface et the tasty poneys, Bigblast ou encore The Black
Stouts.
Burning Lady
envoie donc un bon punkrock des familles comme le laisse entrevoir sa pochette
et la hauteur de la crête de son bassiste. Je pense rapidement à Tilt sur les premiers morceaux (Story Of My Scene) pour la
tonalité de la voix de Sophie proche de celle de Cinder Block, un peu moins
éraillée peut être. Les titres mélodiques sont rapides et efficaces, très
propres parfois trop… Mais le son est parfait, normal Jason Livermore du
Blasting Room s’y est collé. Toujours est-il que Burning Lady marche aussi sur les traces des Distillers et même osons le dire Rancid pour ce coté bien rock’n’roll (Until The Walls
Falls) que vient parfois adoucir quelques morceaux plus roots façon Operation Ivy (Back To Lausanne ou Girls with sunglasses). Les chœurs et les parties chantées par le bassiste (El verano del Rekalde) viennent ajouter un coté moins académique à l'ensemble.
Le dernier morceau est tout simplement superbe (wasted Time) en acoustique avec
la collaboration de Kévin de The Decline
et Slim Wild Boar et d’un violoniste qui offre un énorme duo et une très
belle fin d’album. On se surprend à chanter No Fun en chœur et se prendre dans la montée progressive du titre. Belle performance du guitariste qui offre une performance assez originale dans ce style de musique.
Burning Lady réussit donc un beau coup en sortant un très bel
album simple, efficace et beau qui n’a
rien à envier aux références américaines. Et ce n'est que le premier... La scène française se porte bien et
elle va être intéressante à suivre ces prochaines années.
lundi 19 août 2013
Question d'Artwork - partie 2
Pour le deuxième volet de cette série sur les pochettes de
disques j’ai choisi de parler de l’un des albums les plus célèbres et qui est
aussi parmi les plus emblématiques de l’histoire du punk il s’agit de
London
Calling des Clash sorti
en 1979.
dimanche 18 août 2013
Question d'Artwork
Il y a un élément dans un album qui peut paraître
accessoire, surtout aujourd’hui à l’heure de la dématérialisation, mais auquel
j’attache beaucoup d’importance et qui donne aussi une empreinte au disque, il
s’agit de la pochette. Qu’on l’appelle couverture, jaquette, cover art ou
artwork cet élément est le visuel de la
musique.
Dans le punkrock comme dans les autres styles l’artwork a
son importance avec ses références, ses clins d’œil, son bon goût mais aussi ses ratés.
Aujourd’hui, à travers cette nouvelle rubrique récurrente j’aimerais
mettre plusieurs pochettes en avant et qui ont toutes un point commun :
rendre hommage et faire référence à un autre album.
C’est en mars 1984
que sort le premier EP de Minor Threat sur Dischord.
Le groupe de Ian MacKaye a su en quelques titres définir les lignes et les codes du hardcore tout
en créant le terme et le style Straight Edge. En 1989 le groupe compile ses morceaux sur la complete discography
à l’artwork identique si ce n’est la couleur.
lundi 29 juillet 2013
Uncommonmenfrommars on Tour
Les Unco partent sur une tournée au mois d'Août avant de se séparer.
Les dates sont sur l'affiche ci-dessous.
Chacun de leur coté ils vont pouvoir se concentrer sur leurs side-projects.
Les dates sont sur l'affiche ci-dessous.
Chacun de leur coté ils vont pouvoir se concentrer sur leurs side-projects.
mercredi 24 juillet 2013
Clip - Bigblast
Voici le nouveau clip de Bigblast, il s'agit du titre A Revolution A Day tiré du dernier album All Saviours.
Inscription à :
Articles (Atom)