mercredi 21 août 2013

L'Undergraph a t'il bon goût ?




Infographiste et illustrateur, Undergraph est le garant du visuel des Rêveries, on connait son travail sur le logo, les couvertures et les pochettes des compiles du zine mais aussi pour Mr Brown & the Rablastones ou autre Shitoitsu. Il n’en reste que l’artiste vendéen est aussi un formidable créateur d’affiches de concerts (http://www.gigposters.com/designer/146641_Undergraph.html).



Il était temps de savoir si l’Undergraph a bon goût ...
 

image d'archive !

  Différents travaux de l'Undergraph pour les Rêveries





Ton groupe culte ?
Compliqué d’en citer qu’un mais je mettrais en premier Metallica, à part le batteur Lars Ulrich que je trouve vraiment imbuvable, je trouve l’histoire de ce groupe vraiment intéressante et pour moi James Hetfield représente vraiment le frontman absolu ...
Après : Pantera, le groupe que je rêvais de voir en live (j’aurais pu les voir à Tattoo the planet à Bercy mais ils avaient annulé à cause du 11 septembre, puis est survenue la mort de Dimebag, plus de chance pour moi de les voir... cette annulation reste pour moi une énorme déception.
Puis pour finir Slayer (RIP Jeff)  

Metallica période Pétrole Hahn




Burning Lady – until the walls fall




Burning Lady – until the walls fall
 Concrete Jungle Records
9/10


Une belle pochette qui sent bon le rock’n’roll dans la plus pure tradition Hellcat Records, en noir et blanc avec une belle tarentule, je suis sûr que Tim Armstrong ne la renierai pas.

Burning Lady est un quatuor du Nord Pas De Calais qui a la particularité d’avoir une chanteuse. C’est vrai que ces derniers temps les groupes avec un chant féminin, au-delà d’être de plus en plus nombreux, sortent de très bons albums  je pense notamment à Annita Babyface et the tasty poneys, Bigblast ou encore The Black Stouts.

Burning Lady envoie donc un bon punkrock des familles comme le laisse entrevoir sa pochette et la hauteur de la crête de son bassiste. Je pense rapidement à Tilt sur les premiers morceaux (Story Of My Scene) pour la tonalité de la voix de Sophie proche de celle de Cinder Block, un peu moins éraillée peut être. Les titres mélodiques sont rapides et efficaces, très propres parfois trop… Mais le son est parfait, normal Jason Livermore du Blasting Room s’y est collé. Toujours est-il que Burning Lady marche aussi sur les traces des Distillers et même osons le dire Rancid pour ce coté bien rock’n’roll (Until The Walls Falls) que vient parfois adoucir quelques morceaux plus roots façon Operation Ivy (Back To Lausanne ou Girls with sunglasses). Les chœurs et les parties chantées par le bassiste (El verano del Rekalde) viennent ajouter un coté moins académique à l'ensemble.

Le dernier morceau est tout simplement superbe (wasted Time) en acoustique avec la collaboration de Kévin de The Decline et Slim Wild Boar et d’un violoniste qui offre un énorme duo et une très belle fin d’album. On se surprend à chanter No Fun en chœur et se prendre dans la montée progressive du titre. Belle performance du guitariste qui offre une performance assez originale dans ce style de musique.



Burning Lady réussit donc un beau coup en sortant un très bel album simple,  efficace et beau qui n’a rien à envier aux références américaines. Et ce n'est que le premier... La scène française se porte bien et elle va être intéressante à suivre ces prochaines années.

3 titres à écouter : wasted Time ; story of my scene ; never forget



  

lundi 19 août 2013

Question d'Artwork - partie 2



Pour le deuxième volet de cette série sur les pochettes de disques j’ai choisi de parler de l’un des albums les plus célèbres et qui est aussi parmi les plus emblématiques de l’histoire du punk il s’agit de 
London Calling des Clash sorti en 1979.


dimanche 18 août 2013

Question d'Artwork



Il y a un élément dans un album qui peut paraître accessoire, surtout aujourd’hui à l’heure de la dématérialisation, mais auquel j’attache beaucoup d’importance et qui donne aussi une empreinte au disque, il s’agit de la pochette. Qu’on l’appelle couverture, jaquette, cover art ou artwork  cet élément est le visuel de la musique.

Dans le punkrock comme dans les autres styles l’artwork a son importance avec ses références, ses clins d’œil, son bon goût  mais aussi ses ratés.

Aujourd’hui, à travers cette nouvelle rubrique récurrente j’aimerais mettre plusieurs pochettes en avant et qui ont toutes un point commun : rendre hommage et faire référence à un autre album.

C’est en mars 1984 que sort le premier EP de Minor Threat sur Dischord. Le groupe de Ian MacKaye a su en quelques titres définir les lignes et les codes du hardcore tout en créant le terme et le style Straight Edge. En 1989 le groupe compile ses morceaux sur la complete discography à l’artwork identique si ce n’est la couleur.

 
1984 - Minor Threat - first EP
1989 - Minor Threat - Complete dicography


lundi 29 juillet 2013

Uncommonmenfrommars on Tour

Les Unco partent sur une tournée au mois d'Août avant de se séparer.
Les dates sont sur l'affiche ci-dessous.
Chacun de leur coté ils vont pouvoir se concentrer sur leurs side-projects.



mercredi 24 juillet 2013

Clip - Bigblast

Voici le nouveau clip de Bigblast, il s'agit du titre A Revolution A Day tiré du dernier album All Saviours.

 






lundi 22 juillet 2013

Against Me ! – true trans ep




Against Me ! – true trans ep

On  connait tous l’histoire récente d’Against Me ! mais pour ceux qui auraient raté le dernier épisode je me dois de leur rappeler que le leader, Tom Gabel, chanteur et guitariste, connu pour ses talents de composition mais aussi pour sa voix grave et éraillée est devenu suite à une opération en mai 2012 Laura Jane Grace. Au-delà de l’histoire personnelle du personnage je me souciais énormément de l’avenir d’Against Me ! qui rappelons-le a sorti deux albums que je classerai parmi les meilleurs de Fat Wreck avec As the eternal cowboy et Searching for a former clarity.
Cet EP arrive donc en préambule à un nouvel album annoncé pour la rentrée. 2 morceaux et un titre sans équivoque histoire de clarifier les faits. Une pochette bien sombre et un « fuck my life 666 » qui est au final un titre classique du groupe, à la guitare acoustique, joli et puissant sur les textes. « True trans soul rebel » s’accorde dans le même registre. La voix de Laura Grace n’a pas changé par rapport à sa précédente période et c’est une bonne chose, le talent de composition est toujours aussi bon et on regrette juste l’absence d’autres instruments sur ce EP pour vraiment prendre la mesure du groupe et se donner une idée de l’album à venir.

A noter que cet ep est téléchargeable gratuitement par ici : http://www.againstme.net/