samedi 30 juin 2018
vendredi 29 juin 2018
jeudi 28 juin 2018
Clip - Guerilla Poubelle
Encore un nouveau clip pour Guerilla Poubelle avec L'Amour Est Un Chien De L'Enfer issu de La Nausée
mercredi 27 juin 2018
MADBALL – For the cause
MADBALL – For
the cause
Nuclear Blast
9/10
En perte de vitesse ces
dernières années, Madball et tout le
NewYork Hardcore en général semblent quelque peu passés de mode. Pourtant sur
scène Madball, à l’instar de Sick Of It All, est une machine, une machine de guerre même.
For The Cause est leur 9ème album et il est marqué par l’absence de Mitts, à la guitare, remplacé par un
pote du groupe Matt Henderson. Freddy Cricien s’est
occupé de la production épaulé ici par Tim
Armstrong de Rancid. Curieuse et surprenante association.
Smile Now Payl Later est du pur Madball,
dans la tradition du groupe.
Par contre Rev Up se révèle bien plus percutant et l’un des meilleurs morceaux du groupe
depuis des années. Freddy chante
superbement bien et rythmiquement c’est très fort. L’autre morceau percutant
est Evil Ways avec Ice-T en featuring, le titre est rapide
et puissant et l’apport du chanteur de Body
Count apporte énormément par sa voix juste géniale, son débit, son timbre… L’ensemble
est parfait !
The Fog voit aussi des
featurings, celle du chanteur des Business
pour l’intro puis Tim Armstrong par
la suite. Sur le papier ça peut paraître casse-gueule mais le morceau passe
bien. Bien entendu on retrouve un morceau en espagnol (Es Tu Vida) qui permet de se rappeler des origines du groupe. Gros
point fort aussi avec le titre For You,
hommage à tous les amis du groupes disparus, un titre lent et lourd, mais d’une
intensité rare. La voix de Freddy
est une nouvelle fois surprenante et parfaite. L’album aurait d’ailleurs mérité
de se terminer sur ce magnifique titre.
For The Cause est un album très homogène sans points
faibles. Madball maîtrise son style, est toujours aussi percutant et sait créer
des chansons puissantes, efficaces et entraînantes et cet album est
certainement l’un des meilleurs de leur discographie.
J. NeWSovski
Morceau préféré :
Rev Up
mardi 26 juin 2018
Clip - Consumed
Et oui Consumed est aussi de retour, groupe mythique de la fin des 90's qui n'aura pas sorti beaucoup de choses mais plutôt qualitatives. Voici What Would Cliff Burton do issu du prochain EP.
lundi 25 juin 2018
dimanche 24 juin 2018
QUIET SLANG – Everything matters but no one is listening
QUIET SLANG – Everything
matters but no one is listening
Polyvinyl records
8/10
Ambitieux projet que celui
de James Alex de reprendre les morceaux
de Beach Slang dans des versions acoustiques
composées de cordes et de piano. Même si ce genre de projets n’est pas rare, il
l’est bien plus lorsque la discographie se résume à seulement deux albums.
Curieusement la toute
première impression est que les morceaux ne varient que très peu par rapport à
leur version d’origine, le chant est très proche et aurait peut-être mérité
davantage de variations tout du moins d’être plus clair, le tempo aussi est
très proche mais le violon et le piano amènent une douceur intéressante.
Cette atmosphère feutrée a
l’avantage de mettre en avant les textes de James Alex, ils trouvent une plus
grande ampleur.
Dès lors Quiet Slang se retrouve en opposition à
la toute première phrase de Future Mixtape
for the art kids issue du dernier album de Beach Slang : « Play It Loud, Play It Fast ». Un
titre également repris sur ce projet. J’aime ces projets de reprises calmes et
je dois dire que je suis suis bien servi. Qu’il est agréable de se délecter de Bad Art & Weirdo
Ideas en entrée, la mélodie au piano avec le violon en
accompagnement est délicieuse. La difficulté du projet est de tenir sur la
longueur et l’intensité ainsi certains morceaux se retrouvent plus en retrait (Noisy Heaven
notamment).
James Alex
se présente donc seul avec juste Keith Giosa (pianiste) et Dan Delaney (violoniste) mais sans autre
membre de Beach Slang ce qui
clarifie le fait que ces groupes sont ses créations.
Il faut donc aborder Quiet
Slang avec précaution comme celui d’un album de reprises en acoustique et
accepter le fait que le côté rock’n’roll soit mis de côté au profit de la
sensibilité des mélodies.
Au final un véritable éloge
de la douceur et de la langueur.
J. NeWSovski
Morceau préféré
:
Bad Art & Weirdo Ideas
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