SUKOÏ FEVER – The
end never Dreams
Quixotemusic
8/10
Je ne
pensais pas avoir raté grand-chose de Sukoï
Fever et pourtant il s’agit ici déjà du 4ème album. Et oui le
groupe fête cette année ses 10 ans, le temps passe vite et j’ai dû rater un
album en route. Je me rappelle juste être resté sur une mauvaise impression
avec un dernier album, intéressant mais au son déplorable, pourtant sorti chez
les potes Orléanais d’Opposite Prod.
The End Never Dreams commence fort avec Down The Scene, morceau déjà diffusé à l’époque
de leur campagne de financement participatif. Ça groove bien, c’est fluide et
cette fois-ci le son est bon. J’aime bien ce premier titre et notamment le
chant, particulier mais vraiment très bon.
Les premiers
titres sont vraiment accrocheurs que ce soit The End
Never Dreams, et ses riffs endiablés ou Pebble
in my shoe. Les orléanais savent faire de
belles chansons qui sont rapides et mélodiques avec un esprit rock’n’roll
intemporel. J’aime aussi beaucoup Spider In My
Head, son coté mélodique avec le chant parfaitement ajusté
dessus.
Le reste de
l’album se déroule tout seul, très plaisant, plus calme aussi si l’on excepte Do The Reptile et Eye
Fuck. Je regrette juste l’absence de titres aussi accrocheurs sur
cette deuxième partie, peut être eut-il fallu placer Jack
Bauer, autre morceau issu de la campagne de financement, car ce
titre énergique aurait redonné un peu de peps.
Toujours est-il que The End never
Dreams est un bon album qui s’écoute avec beaucoup de plaisir. J’aime ce son
rock’n’roll qui me rappelle un mélange entre the Elektrocution et The Madcaps.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Spider in my
head