lundi 8 novembre 2021
dimanche 7 novembre 2021
Clip - Amyl and The Sniffers
vendredi 5 novembre 2021
TARDIS – Never grow up
TARDIS – Never
grow up
Autoproduit
/ La face cachée (pour l’édition vinyle)
Le tardis
est cette machine utilisée par le docteur Who dans la série préférée de mon
fils, pour voyager à travers le temps et l’espace. Mais Tardis
est aussi le nom donné à l’autre groupe de Ben, aussi chanteur et
guitariste de Sliver. Un hommage à la série mais aussi, et c’est d’autant
plus flagrant dans ce nouvel album, au voyage dans le temps et la nostalgie. Ce
Never Grow Up, deuxième album, arrive quatre années après le superbe Machines
are talking behind your back.
Tout
commence par 1986 [atomic Kids] un titre
assez remuant sur les enfants de la génération Tchernobyl, bien rythmé il est
entraînant et les chœurs de Julie se posent à merveille dessus. Une bonne
entrée en matière, très rock 90’s. Plus léger, No
Alibi enchaîne avec du ukulélé, un
instrument qu’on retrouve aussi sur At The Arcade.
Ce dernier amène son souffle de nostalgie associé à une mélancolie qui suit, tel
un fil rouge, l’album. Petite fin en son 8 bits pour rendre hommage aux
arcades, dont je suis un grand fan !
Mad Men
In Boxes est un
beau titre où les deux voix se complètent à merveille faisant preuve d’une
belle douceur. La voix de Julie est bien plus présente sur ce deuxième
album et c’est une bonne chose. On la retrouve d’ailleurs sur le morceau video Nasties, un titre calme où elle
assure le chant lead à elle toute seule avec brio. J’aime aussi beaucoup isolation tank qui commence au piano de
façon très posée avant de s’ouvrir au fur et à mesure.
10 frames
per second amène
cette diversité que j’aime bien dans Tardis, avec une rythmique bien plus
rapide et des montés plaisantes. On retrouve encore davantage de détermination
sur French Movies are cinematic guano qui, sous
ses faux airs de Song 2 de Blur, distille une énergie communicative. Tardis
termine en douceur avec New Gods new Stigmata
qui s’évapore dans des sphères aériennes sur sa conclusion. Un très beau titre
pour finir.
Ce
deuxième album de Tardis appelle donc à la douceur et la mélancolie tout comme
sur le précédent à l’énergie du rock des années 90 qui a bercé le groupe. Never
Grow Up est un album varié qui mérite vraiment d’être découvert et écouté en
boucle.
J. NeWSovski
https://tardis-band.bandcamp.com/
https://www.facebook.com/tardistheband/
jeudi 4 novembre 2021
mercredi 3 novembre 2021
lundi 1 novembre 2021
Interview - TARDIS
Son premier album, Machines are talking behind your back, sorti il y a 4 ans, nous avait permis de découvrir le nouveau projet de Ben, aussi chanteur et guitariste de Sliver. Le deuxième opus (Never Grow Up) a mis du temps à arriver mais il illumine par la qualité de ses titres. Entretien avec Ben.
Que
s’est-il passé pour Tardis entre Machines are talking behind your back et Never
Grow UP ?