Aujourd'hui un clip d'un groupe alternatif français qui aime bien le japon : Farewell In Vegas
samedi 21 octobre 2017
vendredi 20 octobre 2017
TAHITI DOUCHEBAG – Monoï (EP)
TAHITI DOUCHEBAG – Monoï
(EP)
3.5/5
Tahiti Douchebag est un jeune groupe de Montpellier
selon les rares informations distillées, qui sort ici son premier EP et
derrière ce nom peu aguichant se cache un groupe qui surprend son monde. Je
pense que je disais la même chose à l’époque où j’ai découvert les Flying Donuts, le nom du groupe ne
représente pas toujours sa musique. La pochette, sympa au demeurant, n'aide pas non plus à se faire une idée sur le style.
Monoï regroupe des titres légers, rythmés très rock’n’roll
sur le fond et la forme.
Parmi ceux
qui ressortent du lot je citerai My Baby’s gone
to Laos, un titre énergique un peu garage avec des sonorités surf
ou bien Ragù très punkrock dans le
style et qui rappelle plein de vieilleries.
6 titres pour un ensemble court mais
un agréable moment. Et c’est avec attention qu’on surveillera la suite.
J. NeWSovski
jeudi 19 octobre 2017
mercredi 18 octobre 2017
mardi 17 octobre 2017
WRATHS – My home (EP)
WRATHS – My home (EP)
Bird
Attack Records
4.5/5
Je démarre cet EP sans en
savoir plus ce mystérieux groupe qu’est Wraths.
Et derrière une pochette terne et peu accueillante s’alignent 4 titres joués à
l’ancienne qui me rappellent Dag Nasty.
La voix ne laisse pas trop de doute quant à l’identité
du chanteur car il s’agit de Jim Lindberg de Pennywise, et après recherches les autres membres de Wraths qui l’accompagnent viennent en
partie de feu 1208, un groupe de
seconde division qui jouait du Pennywise,
sans le charme, il y a quelques années. Il se trouve qu’ils viennent de la même
ville et se sont réunis pour former ce groupe, un peu à l’image de Freddy Madball et Toby H2O avec Hazen St.
J’aime bien ces 4 morceaux (en
particulier My home et This is my farewell) qui rappellent les vieux trucs du début des années 90, les
rythmiques sont vraiment atypiques, sans être ultra rapides elles offrent
énormément de variété et, le charme du groupe repose en partie sur ça. Puis la
voix de Lindberg est aussi parfaite
dessus.
Alors que Pennywise prépare un nouvel album il
est marrant de le retrouver dans ce projet, lui qui, pourtant ne se disperse
pas en général.
Ce groupe mérite vraiment d’être écouté et suivi tant son énergie et sa maîtrise du sujet est impressionnante.
Ce groupe mérite vraiment d’être écouté et suivi tant son énergie et sa maîtrise du sujet est impressionnante.
J. NeWSovski
dimanche 15 octobre 2017
Clip - TALK SHOW HOST
Tiens j'avais zappé de mettre ce clip des amis canadiens...
Chose réparée avec Fireworks de Talk Show Host
samedi 14 octobre 2017
THE SONS OF FAOW VERNY
THE SONS OF FAOW VERNY – A thunderous
light to beckon me
7.5/10
Les gars de Sons Of Faow Verny ne sont pas
d’illustres inconnus car on a pu croiser certains dans After Taste, the Tan Case
ou Never Again. Le groupe vient de
Dijon possède deux chanteurs dont l’un, celui que l’on entend le plus souvent, me
fait beaucoup penser à Ben de Sliver.
Il y a
quelque chose chez ce groupe qui le rend spécial et, malgré quelques défauts, il
a cette capacité qui fait que l’on revient vers lui avec grand plaisir.
J’aime beaucoup
l’ambiance que dégagent les deux premiers titres, j’adore A Better
Guy, son atmosphère, ses sonorités si riches. Ce mélange de
mélodies, de mélancolie et d’intensité me rappelle vraiment un Sliver qui se serait apaisé. Pourtant ce
titre vient pointer un défaut du groupe à savoir l’accent anglais du premier
chanteur qui intervient. Il me pique l’oreille et sur un premier morceau ça
freine un peu, c’est dommage.
Each Night
poursuit avec une intensité aussi soutenue et toujours autant de sons
intéressants (toujours ce xylophone…). Malgré des ambiances qui surprennent sur
sa deuxième partie, Tender Titan,
me paraît un peu en retrait par rapport aux titres précédents. Même constat
pour No Lucky
Star, un bon titre mais moins fort que les
deux premiers. La fin de l’album nous entraîne vers de la folk astucieuse (Lost in this world) et du post machin chose
plutôt intéressant sur la complémentarité des voix (Naked
Snake).
Un joli album qui impose une douce
atmosphère quelque part entre Sliver et Mohawk. Un album qui doit être d’autant
plus impressionnant sur scène.
J. NeWSovski
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