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samedi 16 mars 2013

Breaking Strain - interview


Breaking Strain



Parce que parfois une interview toute simple permet de découvrir aisément un jeune groupe, je me passerai de faire une longue introduction fastidieuse pour présenter les Breaking Strain de Clermont-Ferrand...



  • D’où vient votre nom de groupe, comment s’est fait le choix ?
Le choix du nom s'est fait un peu par hasard en fait, on est tombé sur "Breaking Strain", je ne saurais trop te dire comment, et on a eu l'étincelle. "Point de rupture", ça convient bien avec ce qu'on défend. On reste optimiste, certains diront utopistes, mais l'an 01, la grève générale, le jour où tout partira en couille, on y croit encore. Il y a une autre manière de vivre que celle complètement folle que l'on nous impose.

dimanche 3 mars 2013

Breaking Strain - spit and die




Breaking Strain - spit and die
Bunk records / The Squirrel's Kitchen / Another day records
6.5/10
Jeune groupe de Clermont Ferrand qui a déjà à son actif 5 EPs, Breaking Strain sort son premier album intitulé spit and die. L'artwork est réussi et me plaît bien quand au son il est lui aussi de qualité, il faut dire aussi qu'il a été mixé par Jason Livermore au Blasting Room Studio, qui a déjà bossé avec des pointures comme Hot Water Music, NoFX ou Propagandhi.
Push In qui commence l'album sent très très fort le Propagandhi époque Less Talk More Rock. Il est clair que les Canadiens doivent être l'influence majeure du combo Clermontois. Musicalement, le groupe assure bien, c'est vraiment pêchu et rythmé et j'aime beaucoup la dépense d'énergie . Je pense que sur scène l'énergie doit même y être décuplée.

Je poserai quand même un bémol sur le chant avec lequel j'ai plus de mal pour 2 raisons :

1- il manque de simplicité et de linéarité et je pense que plus mélodique il gagnerait en efficacité. Il me fait penser parfois à Human Alert et tente aussi de se rapprocher de Chris Hannah de Propagandhi (comme sur "living in lies") sans être aussi efficace hélas.

2- L'accent trop français râpe parfois violemment l'oreille notamment sur Night Tale ou Last breath. J'ai l'impression d'être sévère en disant ça mais personnellement ça m'a marqué...

Reste que sur les 12 titres présents on a le droit quand même à de sacrés moments Whatever qui cartonne pleinement  ou Mad Dog Mac Cree très efficace.