vendredi 17 septembre 2021

FRIDAY’S SPIRIT – Skin and bones (EP)

 


FRIDAY’S SPIRIT – Skin and bones (EP)

C’est dans les alpes autrichiennes, à Salzbourg que se terre Friday’s Spirit. Le groupe s’est formé en 2014 et en est à son troisième EP. Le quatuor a profité du confinement pour se questionner et a su trouver le temps et l’inspiration pour écrire ce 5 titres.

 

Tout commence par Wreckage un morceau dynamique et très mélodique. Le chant est intéressant et me rappelle celui de Baxter de Bressuire, avec cette puissance tout en contrôle. Friday’s spirit aime travailler les mélodies, les morceaux sont très accrocheurs (Skin and bones) et l’ensemble est vraiment très propre (trop ?), on ressent l’influence de groupes américains (Blink 182, New Found Glory ou Fall Out Boys) notamment sur Feeling Of Control. Des influences métal ressortent aussi sur For All That’s Left, avec des riffs de guitare intéressants et un chant qui n’est pas sans rappeler Memories Of A Dead Man, il s’agit d’un remake de leur morceau sorti il y a déjà deux ans et il se révèle terriblement efficace.


La musique des autrichiens est très solaire et sent bon l’été comme si Salzbourg s’était déplacée en Californie, ceux qui apprécient le punkrock mélodique aux senteurs pop avec un son très clean apprécieront pleinement ce court EP.

 

J. NeWSovski

 

 

 http://fridaysspirit.com/

mercredi 15 septembre 2021

Clip - Ways Away

Laissez moi vous présenter Ways Away avec des membres de Samiam, Knapsack, Solea, BoysetsFire, paint it black et stick to your guns entre autres....

 

samedi 11 septembre 2021

THE BRONX – VI

 


THE BRONX – VI

Cooking Vinyl

The Bronx c’est avant tout une patte, un style, un son reconnaissable, un groupe à la cool qui joue un punkrock sans prétention. Malgré le fait d’être passé sur un gros label le groupe n’a jamais fait partie de cette caste qu’on prend plaisir à dénigrer, peut-être tout simplement parce que leur punkrock est simple, ultra efficace avec des mélodies accrocheuses.

Le premier album date d’il y a 18 ans et depuis le groupe ne fait que poursuivre et améliorer sa recette laissant l’originalité à son projet parallèle : Mariachi El Bronx.

On apprécie pleinement ce sixième album sans nom, c’est d’ailleurs la marque de fabrique du groupe de ne pas leur en donner, et tout commence par White Shadow, diffusé depuis plusieurs semaines sur leurs réseaux. Le morceau est tonique avec une guitare bien débridée. Même histoire sur Superbloom au tempo plus lourd et percutant, cela vient peut-être du fait de l’arrivée du batteur des Queens Of The Stone Age : Joey Castillo

J’aime ce mélange de punkrock et de rock’n’roll comme sur Watering The Well, même si le rythme est ralenti les californiens accrochent par de belles mélodies. Et des belles mélodies il y en a à la pelle sur Peace Pipe, un très bon morceau qui met en avant la voix toujours aussi éraillée de Matt Caugthran. En toute honnêteté si je devais un jour faire un classement des plus belles voix dans le punkrock pour sûr qu'il ferait partie du top 5.

Je suis un peu moins charmé par curb Feelers par contre j’admire le défouloir Breaking News et Jack Of All Trades. La fin de l'album est d'ailleurs bien plus brute et directe que son début.

Matt Caugthran ressort son accent mariachi sur Mexican Summer, les guitares jouent aussi le jeu et c’est intéressant de voir leur alter égo venir faire un clin d'œil.

The Bronx est une valeur sûre qui jamais ne déçoit.

 

Pour son sixième album The Bronx reste fidèle à sa solide réputation et vient de sortir un bel album qui continuera à tourner encore longtemps sur la platine.

 

 

J. NeWSovski

  

https://thebronxxx.com/

https://www.facebook.com/thebronx

https://thebronx.bandcamp.com/

 

mercredi 8 septembre 2021

lundi 6 septembre 2021

FAKE NAMES – S/t (EP)




FAKE NAMES – S/t (EP)

Epitaph

Moins d’un an après sa création et son premier album, le super groupe est déjà de retour pour un court EP de trois titres. J’avais essayé de décrire l’origine de la formation du groupe dans la précédente chronique (https://lesreveriespunkrock.blogspot.com/2020/06/fake-names-st.html) mais pour résumer il est composé de Dennis Lyxzen au chant épaulé par Brian Baker, Johnny Temple et Michael Hampton, soit une belle brochette de gars qui ont marqué l’histoire du punkrock.

 

Dans la continuité de l’album, It will take a lifetime, démarre tout en douceur sur une rythmique posée, le son Lo-Fi des guitares est toujours aussi singulier et plaisant. La recette est la même sur Cuts You Down au refrain accrocheur. Deux titres qui auraient pu allègrement figurer sur l’album.

Running est le morceau le plus rapide, très punkrock 80 avec un son de batterie percutant, vraiment très intéressant.

 

Ce trop court EP amène avec lui une bonne nouvelle : c’est que Fake Names n’est pas juste un projet One Shot comme on a pu en rencontrer par le passé. Vivement la suite.

 

J. NeWSovski

https://www.facebook.com/fakenamesofficial/

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