Circles, de Nantes. Un vrai coup de cœur. Ici le morceau Spring
jeudi 21 décembre 2017
mercredi 20 décembre 2017
ANCHOR DROPS – S/t
8/10
Groupe de
Toulon, Anchor Drops est difficile à
classer. Pourquoi le faire alors ? Juste pour essayer de situer le groupe
qui revendique des influences aussi diverses que Refused, The Hives, The Bronx
ou Sick Of It All. Des noms qui, à
mon sens, ne reflètent pas la musique d’Anchor
Drops. Je ressens plutôt un mélange de choses brutes mais aussi de rondeurs
et de son 90’s. L’écoute de ce premier album me rappelle donc plus Unsane et Tantrum qui auraient croisé la route de Fights & Fires et Benghazi
Truckers.
Il y a une belle
basse et une guitare joueuse comme sur Paralyse
paradise, chanson mi punk mi noise scindé en plusieurs parties. L’ensemble
groove plutôt bien comme sur l'excellent I’m not part of
this race. Le son est puissant avec une caisse claire qui claque
sec (Crash Test).
Ça groove et ça gueule aussi sur Clones
mais Anchor Drops sait laisser des
temps calmes, de la récupération avant l’explosion. D’ailleurs sur l’ensemble
de l’album les morceaux sont assez longs et permettent ainsi d’explorer plein
de choses.
Un bon premier album pour un groupe
qui commence à faire parler de lui notamment lors de ses premières parties des
Burning Heads qui devaient être bien musclées.
J. NeWSovski
Morceau préféré : I’m not part
of this race
mardi 19 décembre 2017
lundi 18 décembre 2017
CIRCLES – Démo 2017
CIRCLES – Démo
2017
Can I Say Records
4.5/5
Circles est un groupe formé de membres de One Thousand Directions, Sugarton, Cabaret
et Trouble Everyday, de Guillaume, le chanteur, notamment. On l’a
connu dans plusieurs groupes et dans des featurings sur plusieurs albums et à
chaque fois ça matche bien. Ce mec a une belle culture musicale et je dois
avouer que j’aime bien et le personnage et ses groupes.
Cette démo, au son un peu crade, se révèle être une belle bouffée d’air frais avec pas moins de 7 titres. Rats annonce le ton et la forme : du oldschool très 80’s, façon Minor Threat et consorts. On fait du neuf avec du vieux. Le chant de Guillaume, toujours si spécial, passe à merveille. J’aime aussi le fait que le groupe ne balance pas à pleine balle ses titres comme n’importe quel groupe de oldschool. Ça donne un joli mélange entre Minor Threat et quelque chose de plus lent plus posé, Fugazi pour rester dans la famille même si la comparaison est peut-être un peu trop poussée.
Ceci dit Love ou Movements
révèlent le même goût des mélodies, des plans alambiqués et au final ça marche
parfaitement.
Que ce soit
en mid-tempo sur Forward ou en plus bourrin
sur Spring on accroche à Circles.
En fait il n’y
a rien à jeter dans cette démo et elle invite à la suite, avec un son un peu
meilleur ce sera top !
J. NeWSovski
dimanche 17 décembre 2017
samedi 16 décembre 2017
SUKOÏ FEVER – The end never Dreams
SUKOÏ FEVER – The
end never Dreams
Quixotemusic
8/10
Je ne
pensais pas avoir raté grand-chose de Sukoï
Fever et pourtant il s’agit ici déjà du 4ème album. Et oui le
groupe fête cette année ses 10 ans, le temps passe vite et j’ai dû rater un
album en route. Je me rappelle juste être resté sur une mauvaise impression
avec un dernier album, intéressant mais au son déplorable, pourtant sorti chez
les potes Orléanais d’Opposite Prod.
The End Never Dreams commence fort avec Down The Scene, morceau déjà diffusé à l’époque
de leur campagne de financement participatif. Ça groove bien, c’est fluide et
cette fois-ci le son est bon. J’aime bien ce premier titre et notamment le
chant, particulier mais vraiment très bon.
Les premiers
titres sont vraiment accrocheurs que ce soit The End
Never Dreams, et ses riffs endiablés ou Pebble
in my shoe. Les orléanais savent faire de
belles chansons qui sont rapides et mélodiques avec un esprit rock’n’roll
intemporel. J’aime aussi beaucoup Spider In My
Head, son coté mélodique avec le chant parfaitement ajusté
dessus.
Le reste de
l’album se déroule tout seul, très plaisant, plus calme aussi si l’on excepte Do The Reptile et Eye
Fuck. Je regrette juste l’absence de titres aussi accrocheurs sur
cette deuxième partie, peut être eut-il fallu placer Jack
Bauer, autre morceau issu de la campagne de financement, car ce
titre énergique aurait redonné un peu de peps.
Toujours est-il que The End never
Dreams est un bon album qui s’écoute avec beaucoup de plaisir. J’aime ce son
rock’n’roll qui me rappelle un mélange entre the Elektrocution et The Madcaps.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Spider in my
head
vendredi 15 décembre 2017
Video - L'Effondras - Le Serpentaire
On peut parler de court-métrage pour cette mise en vidéo du Serpentaire de L'Effondras
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