Quelques semaines qu'on n'avait pas entendu parler de nos Finlandais préférés. You could be mine des Guns va corriger ça. On imagine un peu moins Schwarzeneger sur sa moto...
dimanche 3 septembre 2017
vendredi 1 septembre 2017
Alexis d'Hightower A-T'Il Bon Goût ?
Alexis est le bassiste d'Hightower, groupe de punkrock parisien dont Club Dragon, leur second album, doit sortir d'ici 15 jours. Un petit questionnaire A-t'il bon goût histoire de bien débuter la saison et d'en apprendre davantage sur Alexis.
jeudi 31 août 2017
Clip - The Old Firm Casuals
Quand Lars n'écume pas les concerts il aime bien aller voir des matchs de foot.
mercredi 30 août 2017
Clip - Sons Of O'Flaherty
Sons of O'Flaherty est un groupe Rennais aux références celtiques. Voici le clip de Red Wine Teeth avec la participation de l’exceptionnel François Rollin.
lundi 28 août 2017
BLANK SLATE – Minamata (démo)
BLANK SLATE – Minamata
(démo)
Autoproduction
4/5
4/5
C’est par le
plus grand des hasards que mes oreilles se sont heurtées à Blank Slate, un jeune groupe de Périgueux. Minamata
est juste une démo, elle a plus d’un an mais je me sens dans l’obligation d’en
parler tant j’ai été charmé et bluffé.
Minamata, le morceau qui donne son nom à la
démo transpire les Descendents et me
rappelle Suburban
Home,
un coté mélodique assumé, un son brut, une voix rappeuse et une rythmique
simple. Les ingrédients d’un morceau prenant. On retrouve d’ailleurs la recette
sur New World
Order, titre tout aussi intéressant.
Static Reaction
envoie davantage d’énergie façon hardcore oldschool des années 80. Efficace à
souhait. Hand’s Up
dégage le même potentiel avec des petits passages de guitare assez sympa.
Belle découverte que Blank Slate dont
il sera impératif de suivre l’évolution. Pour une démo, le son est en plus très
bon, je vous conseille un tour sur le bandcamp pour la rapatrier, son prix est
libre. Vivement la suite !
J. NeWSovski
dimanche 27 août 2017
Clip - At The Drive In
Dans la lignée esthétique du précédent clip voici Call Broken Arrow tiré du dernier album In-ter a-li-a
vendredi 25 août 2017
ROPOPOROSE - Kernel, foreign moons
ROPOPOROSE - Kernel, foreign moons
Yotanka
8 sur 10
Il y a deux
ans, ROPOPOROSE, le juvénile duo
français (guitare et voix pour Pauline,
batterie pour son frère Romain)
avait sorti un premier album prometteur et réussi ("Elephant love"), réhabilitant avec succès l'indie pop
noise des années 90. Sur la seconde production "Kernel, foreign moons", la recette reste la même :
toujours la même fraicheur et ce son lo-fi attachant mais avec désormais une
maturité croissante et une production plus précise.
ROPOPOROSE a le chic pour balancer (parfois
dans le même morceau comme sur "Faceless
man") entre la pop un peu catchy et
les envolées plus bruitistes et agressives. L'opposition entre la voix
enfantine de Pauline (rappelant de
plus en plus celle de Kazu Makino de
BLONDE REDHEAD) et les fulgurances
soniques fonctionne par exemple à merveille sur un titre comme "Spoutnik".
Ce 2ème opus avait démarré pourtant en douceur avec l'entêtant "Horses", reposant sur une rythmique solide avant que la batterie martiale de Romain ne fasse complètement décoller le morceau. Ce titre inaugural rappelle les excellents Américains de DEERHOOF ou les regrettés the BISONS. La 2ème chanson "Holy Birds" met toujours en avant le côté pop du duo de Vendôme avec cette fois-ci l'intégration judicieuse d'un clavier. Les fans de la première heure seront rassurés ensuite avec "Guizmo" qui retrouve la veine plus noisy et les riffs efficaces du premier album. "Moon" renoue ensuite avec la fragilité et la délicatesse.
ROPOPOROSE a l'art de varier les ambiances au sein de titres le plus souvent courts et concis. La voix de Romain se mêle à celle de Pauline sur "Skeletons, jolie ballade sur fond de banjo et de nappes de synthé. La guitare rêche de Pauline reprend ses droits sur des morceaux comme "Fishes are love" avant que l'album ne se clôture subitement par un "Electric" répétitif et envoutant.
Ce 2ème opus avait démarré pourtant en douceur avec l'entêtant "Horses", reposant sur une rythmique solide avant que la batterie martiale de Romain ne fasse complètement décoller le morceau. Ce titre inaugural rappelle les excellents Américains de DEERHOOF ou les regrettés the BISONS. La 2ème chanson "Holy Birds" met toujours en avant le côté pop du duo de Vendôme avec cette fois-ci l'intégration judicieuse d'un clavier. Les fans de la première heure seront rassurés ensuite avec "Guizmo" qui retrouve la veine plus noisy et les riffs efficaces du premier album. "Moon" renoue ensuite avec la fragilité et la délicatesse.
ROPOPOROSE a l'art de varier les ambiances au sein de titres le plus souvent courts et concis. La voix de Romain se mêle à celle de Pauline sur "Skeletons, jolie ballade sur fond de banjo et de nappes de synthé. La guitare rêche de Pauline reprend ses droits sur des morceaux comme "Fishes are love" avant que l'album ne se clôture subitement par un "Electric" répétitif et envoutant.
Avec sobriété et une belle économie
de moyens, les deux membres de ROPOPOROSE ont enfanté d'un 2ème album
qui fourmille de bonnes idées. On attend la suite avec sérénité.
Une
chronique de Mr Caribou
Morceau préféré : Spoutnik
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