mardi 30 juin 2020

dimanche 28 juin 2020

ALIEN NOSEJOB - Suddenly Everything Is Twice As Loud



ALIEN NOSEJOB - Suddenly Everything Is Twice As Loud

Drunken Sailor Records

 

ALIEN NOSEJOB est le groupe d'un seul homme : Jake Robertson. Membre actif de la scène australienne, son énième projet sous le patronyme rigolo d'ALIEN NOSEJOB a accouché d'un deuxième album enthousiasmant il y a quelques semaines. "Suddenly Everything Is Twice As Loud" regorge en effet de pépites de moins de 3 minutes, embrassant des styles aussi différents que le garage, le punk ou la pop déjantée. Cet album est un joyeux foutoir et Jake Robertson semble d'ailleurs prendre un malin plaisir à se foutre des étiquettes. La production est brute ce qui ajoute un charme supplémentaire à cet album. Les deux premiers titres montrent toute l'étendue du talent d'ALIEN NOSEJOB. "Television Sets", au riff digne des RAMONES, montre le versant énergique et tendu du groupe. Le son et le refrain font également penser aux plus contemporains Américains de MEATBODIES. ALIEN NOSEJOB calme rapidement le jeu sur le mélodique "Weight Of The World" dont le solo de guitare lo-fi fait mouche. D'autres titres mid-tempo d'apparence bordélique et bricolée figurent parmi les réussites de cet album : "Blending In", "Daintree" ou encore "Rainbow Road" et son rythme flottant. ALIEN NOSEJOB sait aussi muscler son jeu et les morceaux les plus noisy sont également de haut niveau. "Emotional Rep" et son imparable riff ou encore le très punk "Black Sheep" retiennent plus particulièrement l'attention. "Spin Cycle", titre bien barré et foutraque, séduit par son rythme décalé et l'intrusion de sons bizarres. Le voyage prend fin au bout d'une 1/2 heure sur l'intrigant "Alien Island".

 

Fort de ses douze titres dynamiques et variés aux sonorités DIY, "Suddenly Everything Is Twice As Loud" distille une énergie communicative qui donne envie de le réécouter immédiatement. 

 

Mr Caribou

 

Morceau préféré :                                    Emotional Rep

 

https://aliennosejob.bandcamp.com/album/suddenly-everything-is-twice-as-loud



samedi 27 juin 2020

Clip - PATRÓN

Who do you dance for ? par Patron, chanteur et guitariste de Loading Data, pour tous les amateurs de stoner.

vendredi 26 juin 2020

Clip - BODY COUNT

Comme Monsieur T l'annonce dans son intro, ce clip de Point the finger a été tourné en plein confinement.

jeudi 25 juin 2020

FORGIVE – Mirrors



FORGIVE – Mirrors

Krod Records / No Way asso / KNardage

 

Ce jeune groupe formé il y a tout juste 4 ans à Bourges sort son premier album sur Krod Records, un label habitué à dénicher de nouveaux talents tous styles confondus dans la scène punk/hardcore. Forgive continue cette tradition et c’est une belle découverte.

 

Dans un premier temps j’adore la pochette, le dessin est juste superbe, dans l’esprit tatouage avec un fond très sobre qui met bien en avant le tracé. Les singles sortis avant l’album étaient de la même veine et le fait en plus d’avoir pressé le vinyle en vert est juste super classe et en fait un bel objet.

 

Forgive explore pas mal de styles différents durant les 12 titres qui composent Mirrors, passant du hardcore direct (Broken family) avec une guitare très incisive et des cassures à répétition à un morceau plus aérien totalement dans l’esprit post-hardcore avec Find what’s lost. Forgive est un groupe de hardcore moderne amenant de nombreuses mélodies (Psyche), des changements de rythmes et d’ambiance (I’ll finally sleep).

Quant à Faceless, il se veut être un morceau bien plus complexe qu’il n’y parait, mélangeant du punk, du hardcore et du post punk, ce genre de morceau complexe qui me fait penser un peu à Nine Eleven. Et dans cet esprit d’offrir des morceaux différents s’ensuit Trust Commitment, uniquement instrumental auquel Smoke Screen vient enchaîner une suite logique mais complexe. J’aime la guitare qui donne une tonalité métal sur Hell is the others, référence à Jean Paul Sartre (?), il y a d’ailleurs un côté métal présent sur plusieurs morceaux.

 

Forgive est une belle découverte et ce premier album regorge de titres intéressants. Il est particulièrement riche et diversifié tout en proposant une musique moderne emprunte de plein de styles et d’influences différentes. Assurément c’est un groupe à suivre.

 

J. NeWSovski

 

Morceau préféré :                                    Engraved

 

 

https://www.facebook.com/ForgiveHxC/

https://forgivemhxc.bandcamp.com/


mercredi 24 juin 2020

Clip - MALADROIT

Aujourd'hui un peu de sérieux avec le clip de Too Young For Kiss Too Old For Slipknot par Maladroit

mardi 23 juin 2020

lundi 22 juin 2020

THE ETERNAL YOUTH – Nothing is ever over




THE ETERNAL YOUTH – Nothing is ever over
Kicking Records / Opposite prod / TFT label / Omnivox Records

Evidemment ce nouvel album de The Eternal Youth aura le droit à une écoute différente compte tenu de l’actualité de son chanteur Fra. Mais il serait injuste de ne s’y intéresser que pour ça car me and you against the world, sorti il y a tout juste un an et demi, était déjà très bon mais ce Nothing is ever over met la barre encore un peu plus haut.

L’artwork composé d’une feuille tombée sur le bitume laisse de multiples interprétations. Associées au titre de l’album cela laisse pourtant la place à un peu de positivisme quant à l’avenir. Et des titres positifs et enjoués il y en a un petit paquet dans ce deuxième album des caennais.
Hornets Attack a la lourde tâche d’ouvrir l’album et ce morceau se veut immersif, il est long, c’est même le plus long de l’album, le rythme est en mid-tempo, très mélodique, il est extrêmement plaisant. S’enchaîne Voices from the undergound que l’on avait déjà entendu sur la playlist de déconfinement, un morceau mélodique qui met bien en avant la douce voix de Fra, même si les effets dessus sont parfois de trop.
Les belles harmonies de Nothing is ever over peuvent laisser penser à Sixpack quand Turning the light off plus rythmé rappelle aussi les Bushmen, Nothing More et Sleazy Arse, des références qui datent d’une belle époque du punkrock français, mais force est de constater que The Eternal Youth est de la même trempe. Sing Along est mon morceau préféré, rythmé et dansant il me rappelle quelques morceaux bien sentis des Burning Heads. Il devrait faire de très gros ravages sur scène.
I can’t escape, reprise du groupe The Sound, se révèle différent, empreint de sonorités très 80’s avec une basse New Wave il rappelle les influences du groupe et amène cette variété à l’album qui le rend riche.

Seulement 8 titres pour ce second album de The Eternal Youth, mais l’ensemble se veut homogène dans sa qualité, tous les morceaux sont plaisants et inspirés. Nothing is ever over fait la part belle aux mid-tempo et aux belles mélodies.


J. NeWSovski


Morceau préféré :                                    Sing Along



dimanche 21 juin 2020

Clip - Western Addiction

Les Western Addiction viennent de mettre en ligne They Burn Our Paintings filmé à la 111 Minna Gallery.

vendredi 19 juin 2020

P22 - Human Snake (EP)



P22 - Human Snake (EP)


P22 est une formation de Los Angeles dont le 1er EP, rassemblant des titres enregistrés entre 2017 et 2019, vient de voir le jour. La production DIY charme d'emblée chez ces Américains. Les 9 titres bruts ressemblent à de courtes démos qui font la part belle à un punk revendicatif et à des sonorités plus expérimentales.

 

"Human Snake" surprend dans un premier temps avec un titre introductif très éloigné de l'énergie punk. Un violon tout droit sorti d'une musique de chambre est bientôt rejoint par le chant nonchalant de Nicole Antonia-Spagnola et une guitare minimaliste. Cette entrée en matière instaure un climat angoissant. La furie punk fait son apparition sur le 2ème morceau "Farrowing Crate" marqué par une batterie parfois déconcertante et des guitares cradingues. P22 ne joue pas un punk très académique comme le montre la douce intro de basse de "the Manger" qui débouche finalement sur un morceau énergique et tendu. Et tout ça en moins d'une minute chrono. Dans la foulée, "The Industrialist Heartthrob", exécuté pied au plancher, enfonce le clou et semble faire écho à la fin du précédent titre. La voix austère et légèrement fausse de la chanteuse séduit sur des titres plus lents comme "Reprise For Steer" et ses étonnantes castagnettes ou encore "Human Snake, 1978" porté par la basse de Taylor Thompson. P22 aime sortir des sentiers battus et les changements de tempo. "Ode to Rio Ariba" commence par exemple sur un faux rythme avant de devenir brutalement très speed et noisy. Avant une dernière bombe punk "Shortly", cette première production prend déjà fin avec le sautillant "Endling Chorus For The Terminarch". Ce dernier titre, à la structure plus complexe, se termine par de surprenants chœurs.

 

Un premier essai prometteur pour ce jeune quatuor dont on attend une suite avec impatience. 

 

Mr Caribou

 

Morceau préféré :                                    Farrowing Crate

 

https://p22p22.bandcamp.com/album/human-snake



mercredi 17 juin 2020

mardi 16 juin 2020

SPARTA – Trust the river




SPARTA – Trust the river
Dine Alone Records

Avant de parler de l’album en lui-même il est peut-être important de rappeler ce qu’est Sparta. Sparta est le groupe formé d’anciens membres d’At The Drive In quand ce dernier s’est dissout. Notamment Jim Ward, un des membres fondateurs d’ATDI, avec lequel il jouait de la guitare et chantait à côté d’Omar Rodriguez et Cedric Baxler. En formant Sparta il est parti dans un univers très post-hardcore avec trois très bons albums (Wiretap Scars en 2002, Porcelain en 2004 et Threes en 2006). La pause fut donc longue et entre temps Ward a monté son projet Sleepcar, plutôt orienté folk-country-americana. Quand ATDI s’est reformé et sorti l’album Interalia, il a refusé de revenir.

Class Blue, qui ouvre l’album, est l’exemple même de ce qu’est Sparta pour moi : des belles et longues mélodies, une voix douce, un univers feutré avec derrière une rythmique bien sentie (c’est d’ailleurs le batteur de Beach Slang). Le groupe s’écarte de son chemin sur Spirit Away qui se rapproche, pour le coup, du projet Sleepcar, bien accompagné par un violon et une voix féminine on dirait une belle ballade de Nick Cave.
Le moment le plus fort en intensité est certainement le magnifique Dead End Signs, juste en piano et chant, la voix de Jim Ward s’y trouve touchante et fragile. A côté, Sparta sait retrouver son esprit vif comme sur Graveyard Luck, un des morceaux les plus remuants de l’album. J’aime bien aussi les envolées de Miracle et la fragilité du chant, il se rapproche des précédentes productions du groupe. Cat scream est dans le même registre et, assurément, la rythmique est un des points forts du groupe.
Curieusement je pense à nos locaux de LANE en écoutant Turquoise dream, la façon de chanter, la façon de poser les mélodies, les chœurs derrière me rappellent fortement la formation angevine.

Je trouve donc ce quatrième album de Sparta très intéressant, j’avais été charmé par Threes mais Trust the river, sans jamais l’égaler, se révèle un album tout de même riche qui explore de nombreux registres. Les mélodies sont au rendez-vous tout comme l'atmosphère propre au groupe. Un bon album.

J. NeWSovski
Morceau préféré :                                    Class Blue


https://www.sparta.band/


dimanche 14 juin 2020

Clip - Bracket

Voici exit interview de Bracket. J'ai un peu de mal avec les harmonies de ce morceau mais je vous le partage tout de même.

samedi 13 juin 2020

HECKEL & JECKEL – Welcome in crow-crasti-nation (EP)



HECKEL & JECKEL – Welcome in crow-crasti-nation (EP)

Pogo records


Heckel & Jeckel est un groupe un peu spécial, officiant en duo il apparaît grimé avec des masques de corbeaux. Cet aspect accentue le côté sombre du groupe déjà présent à travers sa musique. 

Heckel & Jeckel impose un son lourd parfois inquiétant comme sur We wish you a merry nothing. L’apport de la trompette est intéressant sur I care, ses sonorités mélangées à la lourdeur de leur noise-punk s’accordent subtilement pour proposer un morceau un peu déjanté parfaitement dans l’image que le groupe renvoie. J’aime bien aussi le premier morceau qui introduit parfaitement le groupe avec des mélodies longues et inquiétantes.

Pour finir ce 4 titres le duo s’offre une reprise de Jacques Dutronc, il me rappelle ce sympathique EP de Bikini Machine qui avait superbement repris le « calcif » sur plusieurs morceaux bien rock’n’roll. Ici, Heckel et Jeckel s’est vraiment approprié le morceau fais pas ci, fais pas ça qui monte en puissance pour finir bien en orgie sonore.

 

Heckel & Jeckel est un groupe à part qui dans un univers noise aux influences punk amène une personnalité et un grain de folie non dénués d'intérêt.

 

J. NeWSovski

 

https://pogorecords.bandcamp.com/album/heckel-jeckel-welcome-in-crow-crasti-nation-pogo-143

https://www.facebook.com/heckelandjeckelrock/



vendredi 12 juin 2020

Clip - Mrs. Piss

Chelsea Wolfe s'est associée à Jess Gowrie et ont créé le projet Mrs Piss. Voici Knelt en vidéo.

jeudi 11 juin 2020

Vidéo - Strike Anywhere

Strike Anywhere est de retour avec un nouvel EP et voici Dress the Wounds qui en est issu.


mercredi 10 juin 2020

FAKE NAMES – s/t



FAKE NAMES – s/t

Epitaph

 

Toute l’histoire de Fake Names part de Brian Baker, le légendaire guitariste de Bad Religion et Dag Nasty mais aussi bassiste de Minor Threat, il retrouve son ami de toujours, le guitariste Michael Hampton (qui a officié dans des groupes comme State Of Alert avec Henry Rollins, Embrace avec Ian MacKaye et One Last Wish). Le duo commence à composer des morceaux ensemble et sentant le truc intéressant, il se rapproche alors de Johnny Temple, bassiste de Girls Against Boys. En 2016, alors que Bad Religion, Girls Against Boys et Refused se croisent lors d’un festival à Chicago, le courant passe avec Dennis Lyxzen qui a toujours cité Embrace et Minor Threat comme ses références, les gars lui passent une démo et Dennis, de retour en Suède enregistre sa voix dessus. La structure de Fake Names est en place.

 

Fake Names ré-enregistre alors une démo qui deviendra cet album sous la pression de Mr Brett Guerewitz himself.

Avec 10 titres dépassant rarement les 3 minutes, Fake Names prend ses racines dans le punkrock des années 80 mais en y apposant des riffs finalement très pop. L’excellent morceau d’ouverture, All For Sale, respire le rock’n’roll, le chant de Lyxzen me rappelle l’époque de the (international) Noise Conspiracy, la rythmique est assez sage en opposition à Brick, bien plus incisif qui dégage une énergie communicative tout en conservant de belles mélodies.

Le groupe sait mettre de l’intensité dans ses mélodies comme sur Being Them mais ce qui ressort principalement de cet album est ce son brut et simple qui ne regorge pas d’effets sur lequel viennent se poser des chansons assez « légères », à la vue des précédents groupes de ses membres.

Quelques morceaux plus légers comme Darkest Days ou le surprenant Heavy Feather viennent apporter de la fraîcheur et puis certains se révèlent extrêmement catchy comme Weight ou First Everlasting.

 

Sans être l’album majeur de cette année il n’en demeure pas moins très intéressant et j’espère que le groupe aura à cœur de poursuivre l’aventure car elle semble prometteuse.

 

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Brick

 

 

 

https://www.facebook.com/fakenamesofficial/

https://fakenamesofficial.com/


mardi 9 juin 2020

dimanche 7 juin 2020

FACS - Void Moments



FACS - "Void Moments"

Trouble In Mind

 

Difficile de classer la musique des Américains de FACS dont le troisième album "Voids Moments est sorti il y a quelques semaines. Adepte des expérimentations et des répétitions, le groupe de Chicago délivre un étonnant mélange de post-rock, d'indus et de noise-rock. Amateurs d'ambiance lumineuse et d'accroche mélodique, passez votre chemin. L'univers de FACS est au contraire assez sombre, presque oppressant. Pourtant, la boucle de guitare qui ouvre l'album sur "Boy" laissait penser que le trio était devenu plus accessible. Mais la section rythmique, les sons dissonants et les effets dans la voix reprennent vite le dessus pour donner finalement une coloration assez expérimentale à ce premier titre. Une marque de fabrique que l'on retrouve sur "Teenage Hive", un tantinet industriel et porté par une batterie martiale, qui montre à quel point le groupe a soigné la production de cette troisième livraison. "Casual Indifference", au son également très travaillé, ne semble jamais vraiment démarrer mais instaure progressivement un climat angoissant qui fait la part belle aux drones en fin de morceau. Suivent ensuite deux pièces bizarroides de 6 minutes chacune qui semblent être le fruit d'une séance d'improvisation. D'abord hypnotique et légèrement jazzy, "Version" se transforme à mi-parcours en déluge sonore. Plus austère encore, "Void Walker" s'apparente à une transe plutôt bruyante. L'ambiance n'est toujours pas à la franche rigolade sur les deux derniers titres, quasiment instrumentaux. Lent, étouffant, rythmé par une lourde basse, "Dub Over" ressemble à un bad trip.

 

Au final, ce troisième album de FACS, qui constitue un bloc homogène, a le mérite de sortir des sentiers battus. Mais il faudra sans doute plusieurs écoutes pour apprécier à sa juste valeur cette musique étrange et exigeante. 

 

Mr Caribou

 

Morceau préféré :                                    Teenage hive

 

https://wearefacs.bandcamp.com/album/void-moments

https://www.facebook.com/wearefacs/

 


samedi 6 juin 2020

Clip - Pink Flamingos

Voici North Pole extrait du nouveau Pink Flamingos qui devrait sortir en septembre prochain.

vendredi 5 juin 2020

jeudi 4 juin 2020

THE JOYBLASTERS – Sea, sun & pizza (EP)



THE JOYBLASTERS – Sea, sun & pizza (EP)

Bad Mood Asso

 

Voici le groupe idéal pour cet été, The Joyblasters sent, respire et transpire le soleil ! Formé par 2 anciens membres de Water Mane, le trio joue un punkrock frais et léger qui me rappelle par certains aspects Maladroit et par là-même les Ramones.

L’énergique Go Home amène sa fraîcheur et son explosivité, Backward poursuit dans un registre plus posé et moins fun, c’est un bon morceau mais je l’aurais peut-être positionné en fin d’EP pour conserver l’énergie de l’ensemble. Riddle Talk est super intéressant par sa rythmique et son refrain accrocheur, c’est ce morceau qui me fait penser à Maladroit par ses mélodies. The Joyblasters explorent ensuite un côté plus indie avec the block et Rockhate, deux très bons morceaux aussi.

 

The Joyblasters est donc une jolie découverte qui nous livre ici 5 titres légers et frai. C’est juste le parfait moment pour se changer les idées à l’issue de cette période de confinement. A suivre.

 

J. NeWSovski

 

 

https://joyblasters.bandcamp.com/album/sea-sun-pizza

https://www.facebook.com/joyblasters


lundi 1 juin 2020

Charles de Slam Disques a-t'il bon goût ?

Aujourd'hui nous recevons Charles du label Slam Disques, label Québécois qui existe depuis 15 ans maintenant et possède à son catalogue des groupes aussi illustres que Rouge-Pompier, Noé Talbot et même les Guerilla Poubelle.



Ton groupe culte ?
 C'est vraiment pas une question évidente pour moi, mais je dirais qu'aujourd'hui ça oscille toujours entre les Descendents, Billy Talent, Oasis, System of a Down, Rush, Black Sabbath, les Vulgaires Machins, Malajube. Mais en même temps, chaque année y a des nouveaux groupes sur lesquels je me mets à obséder et à écouter tous les albums, toutes les entrevues, tous les shows lives, etc. Chuis comme ça.