samedi 30 décembre 2017

Clip - Cooper

Cooper sera de retour le 14 février pour la sortie de leur... premier EP ! intitulé sobrement 1st EP

vendredi 29 décembre 2017

Ultraviolence



Petite mise en avant pour un prometteur groupe angevin d'indie rock. 





jeudi 28 décembre 2017

Le BILAN 2017

L'heure est venue de faire les comptes, des choix toujours aussi difficiles mais il est toujours aussi sympathique de se faire son petit classement. Voici donc la liste des albums qui m'auront le plus marqué et que j'ai toujours autant de plaisir à réécouter. 



Les meilleurs LPs Français

mercredi 27 décembre 2017

Clip - Tripwire HC

A mi chemin entre Rise Against et Strung Out voici les brésiliens de Tripwire HC


mardi 26 décembre 2017

STING COLLINS –No one cares (EP)




STING COLLINS – No one cares (EP)
5/5

Sting Collins c’est quoi ce nom ? On hésite entre Sting et Phil Collins ? Entre Message in a bottle et In the air tonight ? En fait pas vraiment, Sting Collins c’est plutôt un coureur de 100m bodybuildé qui explose au départ comme à l’arrivée et qui gueule tout au long de sa course.

Oui Sting Collins ça bourrine à fond du début à la fin. Du bon punkrock pleine balle qui me rappelle Stupid Karate et CID pour cette propension à être direct et détaché. Le son est plutôt pas mal même si la basse prend souvent le dessus. Et j’aime quand ça balance dans l’urgence aux frontières de l’oldschool et du hardcore.

Sting Collins ne se prend pas au sérieux, Can you dab ? en est un bon exemple et on ressent l’envie et le plaisir qu’ont ses membres à jouer ensemble. Petite référence à son nom dans l’étonnante Aids in the water : Tell me which one’s your favorite: is it Genesis or The Police ? qui me permet de confirmer ce que je supposais au début de la chronique.

 Ça joue vite et j’aime bien cet esprit, j’ai l’impression de voir les gars répéter dans le garage familial, plein de sueur évitant les cannettes posées au sol.
On notera au passage que les gars viennent de groupes comme Foolish, Like Wires, Sofy Major Breakin Strain.


L’ensemble est ultra efficace, j’accroche pas vraiment à la pochette mais tout est histoire de goût… En tout cas il faudra être super attentif aux futurs concerts du groupes et ses prochaines productions.

J. NeWSovski





lundi 25 décembre 2017

Le Bilan 2017 de Mr Caribou




Fidèle et émérite chroniqueur des Rêveries depuis plusieurs années, Mr Caribou spécialiste de l’indie rock, du psyché mais aussi grand amateur de cinéma et de séries fait son traditionnel bilan de fin d’année.


Albums 2017 :

dimanche 24 décembre 2017

samedi 23 décembre 2017

vendredi 22 décembre 2017

TARDIS – Machines are talking behind your back



TARDIS – Machines are talking behind your back
Tardis
8.5/10

Tardis est l’acronyme de Time And Relative Dimensions In Space, la machine à voyager dans le temps et l’espace de la mythique série Dr Who. Mais c’est aussi le groupe parallèle de Ben de Sliver. Un projet devenu groupe à part entière avec désormais l’arrivée de membres de Brainwashed et Victis à ses côtés.


Le sympathique artwork nous replonge dans une époque bénie faîte de cassettes VHS, de films enregistrés, de pochettes maisons découpées dans le télépoche, de magnétoscopes et de jouets robots. Derrière cette façade revival se cache un message celui de 1984, Big Brother, des protections individuelles entre autre.


Au début de l’année Tardis a sorti une démo sur laquelle on retrouve 4 morceaux. Et c’est avec plaisir que je retrouve Fortress Europe, Speak and sell, Hannibal Sherlock et Banksy lives en versions abouties.


Tardis est un beau groupe dans le sens où ses mélodies sont touchantes et il se dégage de cet album une atmosphère apaisante malgré les sujets parfois graves (Fortress Europe et les migrants).  Ici la musique est emballante et riche, pleine de sons et d’effets, un indie rock teinté de racines punk (Hannibal Sherlock) qui sait jouer la douceur et la mélancolie (Superheroes ou Machines are talking behind our back). Mais Tardis peut aussi monter en régime comme sur Black River Song, énergique à souhait, ou Zombie Inc, plus intense dont les chœurs de Julie auraient tendance à me rappeler ceux de Babet de Dyonisos mais ça c’est pour la référence mal ajustée.


Et j’aime aussi les clins d’œil à notre enfance avec ces samples de la dictée magique (speak and sell) sur laquelle ma génération a dû passer quelques dizaines d’heures à chercher les mots mystères.


Ceux qui apprécient Sliver retrouveront donc avec plaisir la voix de Ben dans Tardis, les amateurs d’indie rock seront aussi comblés de trouver en Tardis, un groupe intègre, intelligent et plein de références.



Au passage je n’ai pas réussi à trouver ce maudit code qui orne le disque (voir en bas de l'article). Fan de cryptographie à vous de jouer…

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Fortress Europe













mercredi 20 décembre 2017

ANCHOR DROPS – S/t



ANCHOR DROPS – S/t
8/10

Groupe de Toulon, Anchor Drops est difficile à classer. Pourquoi le faire alors ? Juste pour essayer de situer le groupe qui revendique des influences aussi diverses que Refused, The Hives, The Bronx ou Sick Of It All. Des noms qui, à mon sens, ne reflètent pas la musique d’Anchor Drops. Je ressens plutôt un mélange de choses brutes mais aussi de rondeurs et de son 90’s. L’écoute de ce premier album me rappelle donc plus Unsane et Tantrum qui auraient croisé la route de Fights & Fires et Benghazi Truckers.

Il y a une belle basse et une guitare joueuse comme sur Paralyse paradise, chanson mi punk mi noise scindé en plusieurs parties. L’ensemble groove plutôt bien comme sur l'excellent I’m not part of this race. Le son est puissant avec une caisse claire qui claque sec (Crash Test). Ça groove et ça gueule aussi sur Clones mais Anchor Drops sait laisser des temps calmes, de la récupération avant l’explosion. D’ailleurs sur l’ensemble de l’album les morceaux sont assez longs et permettent ainsi d’explorer plein de choses.

Un bon premier album pour un groupe qui commence à faire parler de lui notamment lors de ses premières parties des Burning Heads qui devaient être bien musclées.

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    I’m not part of this race






lundi 18 décembre 2017

CIRCLES – Démo 2017



CIRCLES – Démo 2017
Can I Say Records
4.5/5

Circles est un groupe formé de membres de One Thousand Directions, Sugarton, Cabaret et Trouble Everyday, de Guillaume, le chanteur, notamment. On l’a connu dans plusieurs groupes et dans des featurings sur plusieurs albums et à chaque fois ça matche bien. Ce mec a une belle culture musicale et je dois avouer que j’aime bien et le personnage et ses groupes.


Cette démo, au son un peu crade, se révèle être une belle bouffée d’air frais avec pas moins de 7 titres. Rats annonce le ton et la forme : du oldschool très 80’s, façon Minor Threat et consorts. On fait du neuf avec du vieux. Le chant de Guillaume, toujours si spécial, passe à merveille. J’aime aussi le fait que le groupe ne balance pas à pleine balle ses titres comme n’importe quel groupe de oldschool. Ça donne un joli mélange entre Minor Threat et quelque chose de plus lent plus posé, Fugazi pour rester dans la famille même si la comparaison est peut-être un peu trop poussée.

Ceci dit Love ou Movements révèlent le même goût des mélodies, des plans alambiqués et au final ça marche parfaitement.

Que ce soit en mid-tempo sur Forward ou en plus bourrin sur Spring on accroche à Circles.
En fait il n’y a rien à jeter dans cette démo et elle invite à la suite, avec un son un peu meilleur ce sera top !


J. NeWSovski





samedi 16 décembre 2017

SUKOÏ FEVER – The end never Dreams



SUKOÏ FEVER – The end never Dreams
Quixotemusic
8/10

Je ne pensais pas avoir raté grand-chose de Sukoï Fever et pourtant il s’agit ici déjà du 4ème album. Et oui le groupe fête cette année ses 10 ans, le temps passe vite et j’ai dû rater un album en route. Je me rappelle juste être resté sur une mauvaise impression avec un dernier album, intéressant mais au son déplorable, pourtant sorti chez les potes Orléanais d’Opposite Prod.

The End Never Dreams commence fort avec Down The Scene, morceau déjà diffusé à l’époque de leur campagne de financement participatif. Ça groove bien, c’est fluide et cette fois-ci le son est bon. J’aime bien ce premier titre et notamment le chant, particulier mais vraiment très bon.

Les premiers titres sont vraiment accrocheurs que ce soit The End Never Dreams, et ses riffs endiablés ou Pebble in my shoe. Les orléanais savent faire de belles chansons qui sont rapides et mélodiques avec un esprit rock’n’roll intemporel. J’aime aussi beaucoup Spider In My Head, son coté mélodique avec le chant parfaitement ajusté dessus.

Le reste de l’album se déroule tout seul, très plaisant, plus calme aussi si l’on excepte Do The Reptile et Eye Fuck. Je regrette juste l’absence de titres aussi accrocheurs sur cette deuxième partie, peut être eut-il fallu placer Jack Bauer, autre morceau issu de la campagne de financement, car ce titre énergique aurait redonné un peu de peps.


Toujours est-il que The End never Dreams est un bon album qui s’écoute avec beaucoup de plaisir. J’aime ce son rock’n’roll qui me rappelle un mélange entre the Elektrocution et The Madcaps.
J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Spider in my head




vendredi 15 décembre 2017

jeudi 14 décembre 2017

JESSICA 93 - Guilty Species



JESSICA 93 - Guilty Species
Teenage Menopause
8,5 sur 10

Avec son nom de cibiste un peu désuet, JESSICA 93 est devenu une sacrée attraction sur la scène française indépendante. Fort de ce mini-succès, le groupe de Geoffroy Laporte était attendu au tournant pour ce quatrième album après le très réussi Rise. Les deux premiers morceaux balancés sur le net, en amont de la sortie du LP, avaient donné le ton et annonçaient le meilleur. "RIP in peace" et Mental institution" ouvrent d'ailleurs le bal. Ces deux titres assez courts mélangent à merveille grosse ligne de basse, riffs tranchants et stridents. Mais l'évolution la plus marquante sur ce dernier album, c'est la part belle laissée à la mélodie. Avec un chant plus assumé, une structure moins complexe, JESSICA 93 se fait plus accessible. Le 3ème titre "Venus flytrap" est dans cette veine. Le son 90's à la sauce grunge est toujours présent mais toujours avec une pincée de cold/new wave. Le versant indus à la GODFLESH ou JESU fait son apparition sur "Anti cafard 2000", plus long et répétitif, et surtout "French bashing". Ce dernier, bâti sur une rythmique lourde, est légèrement plus exotique avec l'insertion d'une sonorité orientale. L'album aux 8 titres se conclut par deux morceaux plus directs et efficaces ("Guilty species" et "uncertain to me") après un passage plus expérimental et progressif sur "Bed bugs".


De moins en moins DIY, assumant toujours son mauvais goût pour les pochettes et les clips, JESSICA 93 marque un grand coup musicalement parlant. Guilty Species risque, en cette fin d'année, de truster les meilleures places des traditionnels bilans et top de l'année.


Une chronique de Mr Caribou



Morceau préféré :                                    Mental Institution






mardi 12 décembre 2017

Interview - STINKY

Petit entretien avec le groupe Nantais après son deuxième et excellent album.



Quand et comment s’est passé le passage de Stinky Bollocks à Stinky ?

Le changement de nom s’est effectué au printemps 2015 lors de l’enregistrement du premier album (Against Wind And Tide). C’était le moment pour nous de marquer le pas sur les anciennes formations et de partir de l’avant. On a aussi fait ce choix par rapport à certaines remarques de personnes venant en concert ne sachant plus trop quel line-up le groupe allait proposer, maintenant c’est facile Stinky = Claire, Paul, Redwan, Seb et Titouan (mais on continue parfois à faire appel aux collègues pour dépanner ;) )

lundi 11 décembre 2017

dimanche 10 décembre 2017

GUERILLA POUBELLE – La nausée



GUERILLA POUBELLE – La nausée
Guerilla Asso / Slam Disques / red scare industries
9/10

La sortie d’un nouvel album de Guerilla Poubelle est, pour moi, un événement à part que je pourrais rapprocher de celle d’un album des Burning Heads. Il y a une grosse attente derrière, de l’envie et de la curiosité. La Nausée, est le quatrième album, et il a la lourde tâche de succéder aux deux derniers que je considère, pour ma part, tout simplement comme des monuments.

Till a repris l’idée de Mon Autre Groupe d’utiliser une peinture en guise de pochette et utilise ici la Bergère avec son troupeau de Jean-François Millet, connu aussi pour son célèbre Angelus.  

On commence les 13 titres par Je ne possède que mon corps qui me rappelle bien évidemment Linoleum de NofX par son texte et son message comment ne pas comparer « Entre la naissance et la mort, je ne possède que mon corps » à « Possessing never meant anything to me » issu du titre des californiens. Un message important qui pousse à réfléchir sur la possession. Merde, moi qui aime collectionner, cette chanson me résonne encore plus en tête. Me tracasse même. Mais le message cible particulièrement la possession des autres.

On comprend rapidement que cet album sera encore plus social et politique que les précédents dès l’entame de Ceux qui ne sont rien et ses phrases entêtantes, le titre est piqué à Macron juste après son investiture. La voix de Till accroche toujours autant et on retrouve avec grand plaisir ses petits gimmicks vocaux.
Les titres défilent rapidement, peu dépassent les deux minutes, de mémoire c’était moins le cas avant mais c’est vrai que se dégage de cet album un climat d’urgence avec des titres directs et au final assez homogènes. Seul une bouteille à la mer ralentit un peu le rythme, le morceau parle d’une tournée aux Etats Unis et des moments passés sur la route dans une Amérique pas si idyllique que ça. Golgotha calme aussi les choses, quoique ce dernier s’énerve tout de même sur sa fin.

On attaque aussi directement la politique avec En Marche et ses phrases assassines « le code du travail à coup de bulldozer…/ …En marche au pas du libéralisme ». Vient aussi les fils et les filles des sorcières, le morceau que je trouve le plus accrocheur de l’album et que j’imagine parfaitement être joué avec le public en chœurs. Un titre hommage aux féministes qui ont lutté pour les droits des femmes. Un titre au message bien actuel en fait.

Alors au final que vaut-il ce nouveau Guerilla comparé aux précédents ? Je dois avouer qu’à ma première écoute je l’ai trouvé court, qu’il est passé très vite m’accrochant sur quelques titres mais sans plus. A force d’écoutes et d’écoutes attentives je dois avouer que j’aime son côté exécutif, rapide, efficace.  J’ai accroché à ses thèmes et au final il régale tout simplement. Un bon cru.

A noter qu’il est à prix libre sur bandcamp, pour un groupe de cette dimension ça en dit long sur leur super état d’esprit.

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Les fils et les filles des sorcières…







vendredi 8 décembre 2017

TRANSPLANTS – Take Cover (EP)



TRANSPLANTS – Take Cover (EP)
4/5

Groupe à part, de par sa composition prestigieuse mais aussi par son style novateur lorsqu’il est sorti il y a 15 ans maintenant. Cantonné au statut de side-project il est toujours intéressant d’écouter ce que le groupe fait. Armstrong est un fantastique songwriter et Barker un batteur tout aussi extraordinaire.

Sur cet Ep on a le droit à des reprises, enfin, le mot est complexe puisque le groupe se reprend lui-même sur Saturday Night, un morceau au préalable attribué à Barker sur son album solo où venaient jouer les autres Transplants et même Slash qui plaçait un petit solo sur la fin. Ici une version plus rythmée et virile que l’originale, très Transplants en fait avec le chant de Rob Aston et celui d’Armstrong.

La reprise de Seeing Red de Minor Threat se rapproche assez de l’originale, difficile de s’attaquer à ce groupe maintes fois repris mais c’est bien fait. Baggy Trousers de Madness est plutôt sympa, le chant d’Aston amène une rugosité super charmante et celle d’Armstrong ne peut que rappeler l’époque Operation Ivy.

Belles reprises aussi que celle de Live Fast Die Young de The Violators, le vieux groupe de keupons anglais et celle de Gratitude des Beastie Boys. Et comme les Transplants veulent montrer l’étendue de leur spectre d’influences ils s’attaquent de belle manière à Nothing but a heartache de The Flirtations, un morceau Motown qui avec leur patte sonne vraiment bien, ce Aston a incontestablement un grain de voix intéressant.

Tout se finit avec Won’t coming back, une nouvelle compo si je ne m’abuse.

Les influences des 3 membres des Transplants sont très larges et cet EP est là pour le rappeler. On part du punk au hardcore en passant par le ska, la motown et le hip-hop. Sympa à écouter.

J. NeWSovski




mercredi 6 décembre 2017

TIME FOR ENERGY – Gang of losers



TIME FOR ENERGY – Gang of losers
Autoproduction
8.5/10

J’ai découvert Time For Energy en retard sur le train, il y a juste quelques mois avec Waterfall, leur second EP sorti en 2015. Le groupe a pris son temps, étape par étape, pour arriver à ce premier album : les EPs, les tournées... Une méthode qui a déjà prouvé son efficacité.

La première impression est que je trouve ce visuel superbe, le digipack apporte un coté précieux, le dessin est joli, sombre, dans l’esprit comics, qui rappelle Charlie Adlard, le dessinateur de Walking Dead. La version vinyle doit être juste superbe.

Musicalement il y a un wagon d’écart avec Waterfall. Le son est puissant avec une grosse production derrière. Black Eye Blues, le premier morceau, annonce la couleur et place aussi la barre assez haut, on ressent l’influence Comeback Kid. Il est clair que les Nantais ont durci le ton, c’est devenu plus brut, plus direct, plus hardcore. Cependant le groupe est aussi ancré dans l’époque avec un hardcore qui se veut moderne et s’ouvre aux mélodies, c’est le cas sur Trucks, un morceau lourd mais lissé par le chant ou Gang Of Losers qui place quelques passages chantés aux influences émo, je pense notamment à Poison The Well. Mais le groupe aime la puissance, la brutalité et le gros son qui fait mal, et il tente de le rappeler sur Prick, véritable brûlot et sur Bring Out The Flags véritable mix entre les penchants hardcore et ceux plus émo du groupe. Je trouve le groupe inspiré et passionnant sur un morceau comme Tame Me Out, certes long mais totalement immersif.


Un bien bel album que ce gang of losers, d’autant plus qu’il s’agit d’un premier. Il ne s’agit plus de dire que Time For Energy est un groupe à suivre mais juste un groupe qui compte, qui est à voir et à écouter !

J. NeWSovski

Morceau préféré :                                    Tame Me Out






mardi 5 décembre 2017

Clip - Knock Off

Un peu de streetpunk anglais avec Knock Off et le titre This ain't a love song.

lundi 4 décembre 2017

YOUNG HARTS – S/t



YOUNG HARTS – S/t
Joe Cool Records
4.5/5

Young Harts est un groupe de Clermont Ferrand formé d’anciens membres de Like Wires, The Elders, Araban et Kunamaka. Je ne connais que le premier cité mais son EP m’avait fait une grosse impression à sa sortie.

Il y a chez ce groupe des sonorités qui me rappellent principalement Gas Drummers mais aussi quelque part Samiam.
Fool représente bien ces références qui mettent en avant le goût des mélodies du trio. On parle d’indie rock aux relents punkrock dont le chant rappelle celui de Dani de Gas Drummers et je trouve que le groupe dégage une intensité qui s’en rapproche. Reassured est le morceau qui me fait davantage penser à Samiam, part sa construction et sa recherche mélodique.
Les quatre autres titres ne sont pas en reste que ce soit notamment Fast Days, énergique, ou Follow Me qui ouvre d’une superbe manière cet EP.

Une belle découverte pour un groupe dont on espère entendre parler à l’avenir avec pourquoi pas un album et des concerts un peu partout.

J. NeWSovski



vendredi 1 décembre 2017

Ben de Sliver et Tardis A-T'il Bon Goût ?

Dernier épisode de l'année 2017 avec ce mois-ci un invité qui me tient à cœur puisqu'il s'agit de Ben, chanteur / guitariste de Sliver et Tardis, dont les albums tournent en boucle depuis plusieurs mois sur ma platine.

Il y a de la lecture et c'est  riche et super intéressant !




Ton groupe culte ?