Saboteur Blues de Gogol Bordelllo, un peu de violon ça fait du bien !
vendredi 30 juin 2017
jeudi 29 juin 2017
RISE AGAINST – Wolves
RISE AGAINST – Wolves
Virgin Records
6/10
J’adorais ce groupe à
l’époque Fat Wreck et notamment
l’album à la grenade, Revolutions per
minute, qui me faisait penser à du Good
Riddance en plus mélodique. J’étais loin de penser à l’époque que le groupe
ferait une aussi grosse carrière.
J’ai du mal à le suivre
depuis quelques années car, à l’image de ce Wolves, le groupe est devenu une grosse machine à pondre des
albums très mélos qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau.
Reconnaître Rise Against est chose aisée, le groupe
a son style propre qu’il maîtrise parfaitement s’excluant toute surprise. Les
fans adorent, et pas mal de groupes les citent en référence absolue, les
copient pas mal aussi.
Rise Against
ça marche et c’est parfois très bon sur certains morceaux, même les récents, Megaphone par exemple, nerveux et dans l’urgence
ou bien Broadcast Frequency qui permet à Tim Mc Ilrath de se chauffer la voix
comme il faut, peut être aussi Bullshit
avec sa rythmique spécifique mais dont le chant devient vite irritant. Le reste
manque vraiment de relief (Far from perfect)
et sonne trop comme un copié/collé des précédents titres des précédents albums
qui n’étaient déjà pas trop au top. Wolves
sonne au final trop calibré grand public.
Dans l’absolu je pense qu’il faut vraiment être fan
des derniers opus pour apprécier celui-ci. Pour ma part il a fait quelques
écoutes sans convaincre.
J. NeWSovski
mercredi 28 juin 2017
mardi 27 juin 2017
WAH’77 – Life is short (EP)
WAH’77 – Life is
short (EP)
Retrovox Records
3.5/5
A peine remis de la claque
du précédent EP que voici déjà Wah’77 de retour avec un nouvel assaut qui fait
le même effet que le petit coup de pied retourné de Van Damme.
6 titres comme 6 balles
dans un barillet, la première sert d’introduction les suivantes font mal, vont
vite et sentent l’urgence de ce groupe Italien de Parme. Dans la continuité on
a le droit au même style sur chaque morceau avec des structures très proches, des
chants balancés à la collégiale (live fast),
avec du break par ci par là (Wake up),
et une rythmique au taquet.
Les fans de vieux punk en soif de nouveautés seront
ravis de pouvoir pogoter et avec la dernier Stupid Karate on peut dire qu’ils
sont servis ces derniers temps.
J. NeWSovski
lundi 26 juin 2017
Clip - GOOD4NOTHING
Les Japonais de Good4nothing viennent de mettre en ligne In my eyes issu de leur dernier album
dimanche 25 juin 2017
Vidéo - CHARLIE'S FRONTIER FUN TOWN
On en parlait il y a quelques semaines, Charlie's Frontier Fun Town nous balancent un petit live avec In Dust We Trust issu du dernier album.
J'aime le pied de micro porte-gobelets.
samedi 24 juin 2017
RANCID – Trouble Maker
RANCID – Trouble
Maker
Hellcat Records / Epitaph
9/10
Par toutatis Rancid est de
retour ! On se doutait de l’arrivée de cet album en voyant leur nom à
l’affiche du Hellfest il y a quelques mois, mais que ça fait du bien
de les retrouver.
C’est leur 9ème
album, et même si tout le monde garde en mémoire les vieux comme And Out Come The Wolves, Life
won’t wait ou Let’s go
qui rappellent certainement à tous notre adolescence et quelques souvenirs de
périodes marquantes, je fais cependant partie de ceux qui ont bien apprécié les
récents aussi, que je considère souvent sous-estimés par les fans. Let the Dominoes fall et Honor is all we know n’ont
peut-être pas fait trop de bruit à leur sortie, peut-être parce que l’époque a
changé et que l’on passe plus rapidement à autre chose mais aussi parce que la
vague punk est désormais loin derrière. Il n’empêche que j’invite tout le
monde à y jeter une oreille car ils tiennent plutôt bien la barre et vous serez
surpris de les (re)découvrir.
Trouble Maker est, une nouvelle fois, enregistré par Mr Brett Gurewitz et il sonne fichtrement bien. Après plusieurs
écoutes, la chose que je me suis dit c’est que Rancid a fait du Rancid sans
prendre de grands risques, certains morceaux se rapprochent même beaucoup de
l’époque de And out. Mais d’un point de vue personnel je trouve ça plutôt
plaisant que le groupe soit dans la continuité et au final il n’est que très rarement sorti de sa zone de confort si ce n’est sur l’album éponyme de 2000 très brut
et direct. Mais s’il faut trouver de la nouveauté c’est dans les multiples
projets annexes que le groupe se fait plaisir (Transplants notamment).
Les californiens ne se
sont pas fichus de nous car, encore une fois, ce n’est pas moins de 19 titres
qui sont présents sur la galette. Je serai d’ailleurs curieux de savoir combien
Tim Armstrong a pu composer de
morceaux. Un mec vraiment hors normes.
Pour faire vite on va citer les
excellents Telegraph avenue, Ghost
of a chance, Track
Fast qui ouvre brillamment l’album, An
intimate close up
ou Where I’m
going, du très bon ska à l’ancienne qui va
me réconcilier avec le style. Mais on aurait pu aussi peut être faire l'impasse sur Make It Out Alive, Molly Make Up Your mind et I Got them blues again pour alléger l'ensemble et le rendre plus homogène.
Je pense que même si le
groupe a certes perdu de sa fraîcheur et qu’il s’est certainement embourgeoisé il
n’en demeure pas moins un pilier du style, capable de créer des morceaux
accrocheurs, typés que peu de groupes peuvent faire.
Trouble maker ne sera pas l’album qui révolutionnera leur discographie,
il est moins bon que les albums phares And Out come the wolves, Life Won’t
wait, Rancid 2000… mais je prends énormément de plaisir tout de même à l’écouter,
le réécouter en boucle.
Rancid n’est pas mort, n’en
déplaise à certains.
Life won’t wait.
Life won’t wait.
J. NeWSovski
Morceau préféré : An intimate close up of a street punk trouble maker
vendredi 23 juin 2017
HIGHTOWER
Un nouveau morceau de Hightower est en écoute il est issu de l'album Club Dragon qui sortira en septembre
mercredi 21 juin 2017
IRONFIST – Down & dead (EP)
IRONFIST – Down
& dead (EP)
Autoproduction
3.5/5
Ironfist vient
de Bayonne et il serait facile de
dire que le groupe sent bon le jambon, le piment, le chocolat et la Jacqueline…
Mais ce groupe sent surtout le punk, la crasse et l’énergie du hardcore. Le son
n’est pas top, certes, mais il est compensé par une énergie débordante qui
laisse entrevoir des prestations scéniques de malade.
Après une petite introduction
qui réussit à nous immerger dans une atmosphère peante, les titres se
déchaînent, searching the beast
est sauvage joué à fond et sent bon la sueur, c’est pour moi le meilleur titre.
Dans le style tout à fond mention spéciale aussi à Down
& dead qui doit bien user le batteur.
IronFist a donc la saveur épicée des piments d’Espelette
associée à une débauche d’énergie qui rappellera les longues journées de fêtes
de Bayonne. En somme c’est tout bon !
mardi 20 juin 2017
lundi 19 juin 2017
AUTHORITY ZERO – Broadcasting To The Nations
AUTHORITY ZERO – Broadcasting
To The Nations
Bird Attack Records
7.5/10
J’avais bien aimé le
précédent album d’Authority Zero qui
remonte à il y a 4 ans. Je comparais même le groupe à Pennywise et Rise Against
par son coté énergique et rapide et, même si je dois avouer ne jamais l’avoir
réécouté depuis sa sortie, ce nouvel opus attire tout de même ma curiosité.
Et les premiers titres ne
peuvent que me plaire tant ça dépote sévère. First
One In
The Pit,
Destiny and
Demise mais aussi Reconciliation
vont à fond avec un chant très plaisant par-dessus. Du bon punkrock mélodique à
l’ancienne comme on en trouvait sur l’album d’avant. Faut dire aussi que le
groupe existe depuis 1994 ça explique peut-être aussi sa maîtrise du style
Le groupe se permet
quelques escapades dans le ska-reggae, pas vraiment ma came, mais le style
semble revenir ces derniers temps. En tout cas ce summer
sickness me rappelle les chansons cool de Mad Caddies ou de Goldfinger. A petite dose ça passe plutôt bien, qui plus est avec
cette chaleur. Dans le même style on retrouve La
Diabla et Creepers
mais ce qui est le plus intéressant dans le groupe reste ses brûlots No Guts
No Glory ou when
we ruled the world.
Un autre album qui ne révolutionnera pas le style mais
qui se laisse écouter avec plaisir.
J. NeWSovski
Morceau préféré : First One In The Pit
dimanche 18 juin 2017
Clip - Ironfist
Quelques jours avant la chronique du surprenant EP de ce groupe bayonnais, voilà leur clip. certainement le plus sympa de l'année !
vendredi 16 juin 2017
Interview - Quitters
Le groupe de Montpellier vient de sortir un premier album plein de charme qui s'impose comme un des albums de l'année. Ce sera tout comme intro car tout ce qui est intéressant est après...
Votre nouvel album Goodnight
Memories vient tout juste de sortir dans quelles conditions a-t-il été composé
?
jeudi 15 juin 2017
Video - UNDECLINABLE AMBUSCADE
Alors que je n'avais pas remarqué qu'Undeclinable Ambuscade était encore debout , voilà cette petite vidéo de leur passage au Groezrock 2017 filmé par Effervescence records.
L'occasion de voir que Jasper a pris un peu de volume en 15 ans...
mercredi 14 juin 2017
TEN FOOT POLE – Setlist
TEN FOOT POLE – Setlist
Cyber Tracks
6.5/10
C’est amusant et en même
temps une bonne chose que de voir Ten
Foot Pole encore en vie. J’ai longtemps considéré, comme bon nombre de fans
de punkrock ricain je pense, le groupe comme évoluant en deuxième division loin
derrière les cadors du style.
Sans grande innovation ni
album marquant, le groupe a toujours fait le boulot de façon efficace et très
proprement. Le départ du chanteur Scott
Radinsky pour poursuivre sa carrière de Baseballeur professionnel puis
chanteur dans Pulley a aussi ralenti
l’ascension du groupe puis accéléré son départ d’Epitaph pour Victory
dans un premier temps et d’autres labels moins prestigieux par la suite.
13 titres qui mettent fin
à un silence de 13 années. Et sans casser le suspense il n’y a pas vraiment de
grosse surprise, ni bonne, ni mauvaise car il y a 11 vieux titre ré-enregistrés ainsi que deux nouveaux. Ce qui donne du punkrock mélodique incisif avec
quelques riffs et quelques sons de guitares à la Strung Out. Ça joue vite dans l’ensemble avec cependant des
morceaux assez longs (pour le style) qui dépassent très souvent les 3 minutes.
Je retiens My Wall
un peu déjanté par moments, le mid tempo I don’t want to
go ou les classiques Never Look Back
et Closer to grey, assez accrocheur. Quelques
titres appréciables mais qui ne bouleverseront pas non plus notre existence.
Ten Foot pole se fait plaisir avec ce retour et signe
un album compilation qui devrait ouvrir la porte à de nouveaux titres. Les
nostalgiques apprécieront son écoute, mais avec les sorties qu’il y a en ce
moment il restera assez anecdotique.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Scars
mardi 13 juin 2017
lundi 12 juin 2017
THE DECLINE ! – Heroes on empty streets
THE DECLINE ! – Heroes on empty streets
Guerilla Asso / Kicking Records / Abracadaboum / Rural
Muzik / Zone Onze
9/10
The Decline
est devenu un groupe incontournable sur la scène française de par la qualité de
ses compos mais aussi par son style qui se glisse dans une petite niche où peu
de groupes évoluent en France.
Heroes on empty streets est le troisième album du groupe après un premier et
génial Broken Hymns for beaten hearts en 2011 et 12A Calvary Road
qui comportait de très beaux titres mais souffrait de quelques défauts majeurs.
The Decline ! est donc de retour et le premier titre Along
The red Brick walls rappelle comme il est bon d’entendre les
Rennais, la voix éraillée de Kévin, les guitares accrocheuses et la rythmique
tout en retenue.
J’entends parler ici et là
de musique celtique pour définir le groupe, je trouve ça surprenant car les
Rennais se cantonnent à une structure classique, toutefois on ne peut lui
cacher des atomes crochus avec les Dropick
Murphys, le même registre vestimentaire (polos Fred Perry, casquettes…)
mais aussi le même goût pour des chansons fédératrices (we
love ours cars) qui se reprennent poing levé avec les chœurs derrière. The
Decline ! ressemble davantage à de la musique de pub embrumé d’Ecosse
ou des quartiers ouvriers de Liverpool qu’à du punk aux influences Irlandaises.
J’aime dans ce groupe
cette qualité à écrire des chansons percutantes qui restent ancrées, Heroes on empty streets en est
gavé de Outsiders, à faithless gospels
ou la magique Someday Somehow.
Ce dernier titre aurait très bien pu se placer sur un futur album du Slim Wild Boar dans lequel évolue Kévin
avec son compère Forsaken Shadow,
une magnifique balade envoûtante comme on en entend peu, tout du moins dans ce
registre.
House of Mirrors
est aussi un superbe titre, immersif et aux sonorités bien plus larges que les
autres morceaux. Faithless Gospels est aussi une superbe chanson qui
représente l’identité singulière du groupe.
Il est à noter que le son
est bien meilleur que sur le précédent opus, ici la voix est bien mieux mise en
valeur et les guitares sont présentes. Je ne pourrai reprocher à Heroes on Empty Streets que l’accent
perfectible notamment sur certains passages (we
love ours
scars ou heroes
on empty
streets) qui peut se montrer gênant mais
peut être aussi pour les tournées à l’étranger.
Mais force est de constater que The Decline !
vient de sortir un bien bel album, plein de compositions fortes, de titres
majeurs qui raviront les fans autant dans leur salon que dans les salles qui
risquent rapidement d’être surchauffées.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Someday Somehow
dimanche 11 juin 2017
Clip - Dream Nails
Fraichement arrivé sur Krod Records, l'occasion pour nous de découvrir Dream Nails par ce clip.
samedi 10 juin 2017
BARE TEETH – First the town, then the world (EP)
BARE TEETH – First the town, then the world (EP)
Street Machine Records /
Don't Trust The Hype / All Styles Editions / Morning wood
4/5
Déjà de retour après une
première démo remarquée en 2015, le groupe Lillois livre ici à nouveau 7 titres
auxquels s’ajoute une reprise acoustique.
Cet EP vient me rappeler
que notre bonne vieille scène punkrock nationale est tout de même sacrément
bien fournie dans une époque où clairement le punkrock n’a pas vraiment le vent
en poupe. Et encore plus, cette scène est aussi riche en qualité et en toute
honnêteté je prends plus de plaisir à écouter ce Bare Teeth, le dernier Decline !
ou Quitters aux derniers Ten Foot Pole et Frenzal Rhomb.
Même si musicalement, il y
a peu de surprises Bare Teeth a tout
de même cette énorme capacité à balancer du punkrock rapide et efficace. J’ai
parfois l’impression d’entendre des références à Millencolin sur Parted
Ways qui me rappelle des titres de Pennybridge Pioneers, mais le
chant se durcit montrant une face plus brutale et plus hardcore. Les guitares
balancent à fond et quand le groupe s’énerve vraiment ça sonne méchamment bien
comme sur These Towns
Need Guns
qui voit le featuring de Steve Rawles
de Belvedere.
Behind the
wall est aussi un des morceaux forts de l’EP
avec des mélodies entêtantes, ça joue vite mais avec toutes les recettes d’un
tube punkrock : mélodies, chœurs, breaks… Et quand le groupe le reprend en
acoustique c’est tout aussi réussi.
La pochette est aussi
superbe, un travail de Pierre Philippe qui donne aussi une identité à ce
séduisant EP.
vendredi 9 juin 2017
Video lyrics - Hot Water Music
ça fait autant de bien que de ré-entendre du At The Drive In, voici Never Going Back de Hot Water Music. Album en septembre !
jeudi 8 juin 2017
CHARLIE’S FRONTIER FUN TOWN – In dust we trust
CHARLIE’S FRONTIER FUN TOWN – In dust we trust
Bambane’s crew / KNT Music
7/10
Voilà une formation grenobloise qui sent bon le désert ;
pas l’odeur du desert rock façon Kyuss
mais plutôt la senteur des zones arides texanes comme l’illustre à merveille la
pochette du second brûlot de Charlie’s
Frontier Fun Town. « In Dust We Trust »
peut se ranger dans la catégorie fourre-tout du rock stoner mais les influences
sont multiples et donne au disque une richesse musicale impressionnante. Les
bottes chaussées, le stetson vissé sur la tête, nous voici donc partis pour un
road trip à bord d’un pick up chargé d’armes et de bourbon.
Cfft distille un pot (pas) pourri de southern metal crasseux aux
notes herbacées de hard rock et de grunge. Ça sent le cactus, ça pique, ça
groove et c’est bon. La virée commence avec le titre de l’album et son intro
tirée du film « 31 » de Rob Zombie. Le ton est donné. Les
titres d’une grande variété, s’enchainent avec des riffs lourd et sales, des
solos dignes des plus grands. Le chanteur n’est pas en reste et offre une
palette de vocalises alternant entre chants virils ravageurs et envolées
lyriques (Hell seeds,
Fossil ) moins agréables par moment.
On trouve donc sur le passage des morceaux plus rapides ( Wildheart , Bloodroad
) d’autres lents ( life ) voire pesant ( Endless Way,
le plus sludge de l’album).
« Bottle’s curse »
vient sectionner la galette en deux. Morceau parmi les plus riches avec ces petits
passages lents un peu sombres (Album The Great Southern Trendkill/Pantera),
chant révolté viscéral, et rythme qui s’enflamme en fin de parcours.
Imminent Failure aux sonorités très hard rock ( intro
Ugly Kid Joe et cloche à la g’n’r) et Drunk over Tail
Le
voyage s’achève en beauté avec Back In Time,
excellente balade énervée avec une intro qui n’est pas sans rappeler Alice in
Chains.
On est rincé, plein de
sable mais heureux. Reste à retrouver l’âme de ce cher philip Anselmo, entre
autres, qui plane sur ce disque, afin de siffler une canette au fond d’un rad
pourrave.
Une chronique de RVR
mercredi 7 juin 2017
Clip - Hans Grüber
Aujourd'hui un ptit groupe trouvé dans les méandres de la toile dont le nom ravira tous les fans de John McLAne.
mardi 6 juin 2017
TALK SHOW HOST – Not here to make friends (EP)
TALK SHOW HOST – Not
here to make friends (EP)
Diskrete Music
4/5
Le précédent EP de ce
groupe canadien, de Toronto, remonte
à il y a quelques mois. La sortie de ce nouvel effort le place donc le tiroir
des groupes prolifiques.
Il y a ici 5 titres qui
mettent en avant un groupe sympathique et charismatique. Le son est de
meilleure facture que sur Perfectly Competent, il a été
enregistré par John Dinsmore et mixé par Olive de Carving.
J’aime bien les compos, je
les trouve accrochantes et l’ensemble me rappelle énormément les bataves de Cooper avec ce même esprit cool et
cette capacité à tirer des mélodies simples et efficaces. Même si je trouve que
cet EP sonne plus lourd et plus indie rock que le précédent il n’en demeure pas
moins catchy à souhait comme avec les titres Dead
Meat ou I
Hate Men (I Hate All Men)
avec un super featuring de Madeleine Maynard.
Un EP plaisant par un
groupe qui l’est tout autant et sur lequel il faut absolument garder une une
oreille attentive.
J. NeWSovski
lundi 5 juin 2017
clip - Strike Twelve
Strike Twelve d'Orange Country vient de mettre en ligne son nouveau clip issu de leur dernier album Down With The Ship.
dimanche 4 juin 2017
MELTING FAST – Volcanic (EP)
MELTING FAST –
Volcanic (EP)
Autoproduction
3.5/5
Voici le deuxième Ep de ce
groupe de Barcelone qui joue un
punkrock mélodique rapide et accrocheur qui n’est pas sans rappeler les Suisses
d’Hateful Monday. En effet les deux
groupes partagent le même goût pour les mélodies ainsi qu’un timbre de chant
assez proche. Les titres sont rapides et rappellent l’école américaine de la
fin des années 90 (Epitaph et Fat en tête).
L’ensemble est bien joué
avec des titres intéressants (Aftermath
ou Epic Blast)
sans pour autant être d’une originalité folle, mais Volcanic a le
mérite d’exister et puis vu le nombre de groupes espagnols dans le style c’est
tout de même fort appréciable d’en retrouver un.
J. NeWSovski
samedi 3 juin 2017
Video - Directors Cut
Les Lyonnais de Directors Cut viennent de mettre en ligne un court métrage autour de leur album à venir.
jeudi 1 juin 2017
Greg de Bare Teeth a-t'il bon goût ?
Rencontre avec Greg du groupe Lillois Bare Teeth qui vient de sortir son deuxième EP First The Town, Then The World. L'occasion d'en savoir plus sur groupe de plus en plus emballant.
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