Voici le clip de Psykokondriak, groupe Lillois déjanté.
samedi 31 mars 2018
vendredi 30 mars 2018
RED CITY RADIO - Sky Tigers (EP)
RED CITY RADIO - Sky
Tigers (EP)
Red Scare
4/5
Groupe américain qui, lors
de son premier album (dangers of
standing still) balançait un punkrock mélodique, super énergique et à
grosses voix à la manière d’Hot Water
Music.
Ce retour 7 ans plus tard s’accompagne
par un changement de line up, et, un peu à la manière du dernier Flatliners, par un style plus axé sur
les mélodies que sur le côté rugueux du punkrock. Peut-être que le départ du
guitariste et deuxième chanteur, Paul
Pendley, y est pour quelque chose mais le résultat est intéressant. En tout
cas moi il me plaît.
Red City Radio
me rappelle fortement The Menzingers
sur certains titres I’ll still be around par exemple,
avec un même talent pour décrocher des mélodies entêtantes. Le chant est aussi
pas mal, Garett Dale aime chanter,
pousser sa voix, varier. In
The Shadows
et Rebels sont aussi de bons titres, mid
tempo et gros chant, une bonne recette pour de bons titres.
Je suis moins fan des
solos de guitare présents un peu partout qui me rappellent plus Scorpions qu’autre
chose, ils n’apportent pas grand-chose et le son de cette guitare est vite
Red City Radio est un groupe qui a su se renouveler
sur cet EP, au risque de surprendre, il joue ce qu’il a envie de jouer. Ce changement vers une musique moins directe
et énergique me sied parfaitement comme ce fut le cas pour le dernier
Flatliners.
J. NeWSovski
jeudi 29 mars 2018
mercredi 28 mars 2018
mardi 27 mars 2018
GODS OF MOUNT OLYMPUS – s/t (EP)
GODS OF MOUNT OLYMPUS – s/t (EP)
Bird Attack Records
4/5
On reproche souvent aux
groupes de tourner en rond, de tous se ressembler. Les innovations étant rares.
A ce titre, Gods Of Mount Olympus
est assez surprenant et mérite qu’on s’intéresse et parle de lui.
Avant de dévoiler l’intérêt
premier de cet EP, il est intéressant de dire que ce projet est au début un duo
formé de Brian Wahlstrom et de Paul Rucker. Le premier cité a joué dans un
éphémère projet de Joey Cape intitulé Scorpios. Quant à Rucker
il est le batteur des Street Dogs.
Matt Riddle le bassiste de feu No Use For A Name est venu se joindre par
la suite au duo ainsi que Steve Morris à la guitare. Ça fait, sur le
papier, un groupe sympa sachant qu’en plus et j’ai volontairement oublié de le
préciser que Brian est pianiste.
Alors dès les premiers
accords de Blue Screen Light, derrière
une guitare incisive, les notes de piano ont de quoi surprendre, le chant me rappelle
un peu No Use for A Name, surtout la
voix en fait. Ce curieux et inattendu mélange est aussi surprenant qu’intéressant,
l’arrivée de Joey Cape sur ce premier titre, en tant qu’invité,
est aussi un super moment. Brian et Joey sont restés proches.
Le deuxième morceau Cops On Saint Andrews est aussi super fun
avec une rythmique très jazz et des mélodies pop punk. Original. De très belles
mélodies sur Admission avec l’arrivée d’un
violon. Si on récapitule on est tout de même sur un groupe étiqueté punk avec
un chanteur qui joue du piano et un violon derrière et au final ça matche
parfaitement. Alors oui on n’est pas dans du bourrinage de base « direct dans
la face » mais plus sur du pop punk riche en mélodies et émotions mais le
résultat est vraiment très bon.
Gods Of Mount Olympus, durant les 19 minutes de son
premier EP parvient à insuffler un vent de fraîcheur et d’originalité dans ce
mouvement qui ne demande que ça. A écouter et à découvrir.
J. NeWSovski
lundi 26 mars 2018
Clip - DK Dance
J'avais parlé de DK Dance il y a quelques mois les voici de retour avec ce clip de Laura Palmer's theme
dimanche 25 mars 2018
samedi 24 mars 2018
Playlist du printemps
Ah ! Voici les fleurs qui sortent, les bourgeons qui éclosent, le chant des oiseaux qui égayent les verres de rosé dégustés sur la terrasse.
En fait non il fait froid, il pleut toujours mais bon c'est tout de même l'occasion aussi de se mettre un peu de bon son dans les oreilles avec une sélection issue des derniers coups de cœur de ce début d'année.
En fait non il fait froid, il pleut toujours mais bon c'est tout de même l'occasion aussi de se mettre un peu de bon son dans les oreilles avec une sélection issue des derniers coups de cœur de ce début d'année.
vendredi 23 mars 2018
Clip - TALK SHOW HOST
Talk Show Host, la très bonne surprise canadienne revient avec le clip I Hate Men
jeudi 22 mars 2018
Clip - No Fun At All
Nos amis Suédois de No Fun At All sortent un nouvel album cette année. Voici le clip de Spirit.
mercredi 21 mars 2018
DANI LLAMAS – Dead Labor
DANI LLAMAS – Dead
Labor
Kicking Records / GPS Prod / Blackout Prod
9/10
Cela fait près de 9 ans
que Dani Llamas s’est lancé dans une
carrière solo en parallèle des GAS
Drummers dont il est le guitariste et chanteur. Il s’agit ici de son
troisième album dont le titre vient d’une citation de Karl Marx, ce qui laisse peu
de doutes sur les préférences politiques de notre ami espagnol.
Je découvre le projet de Dani avec cet album, n’ayant pas pour
référence les productions précédentes mais je trouve sa folk jolie, douce et
mélancolique, elle s’éloigne parfois pour sonner plus américaine, ce que l’on
appelle Americana à la manière un peu de Greg
Graffin sur certains titres.
Never Panic,
The Wild
and The
Brave et Atlas
me font penser aux morceaux de Billy The
Kill sur son deuxième album, musicalement les deux artistes sont assez
proches avec une même sensibilité. Quant à Bonfire
il a de vagues airs de David Bowie.
Les neuf morceaux qui composent Dead
Labor sont tous vraiment très bons, variés et je ne saurais trouver de
défaut à cet album si ce n’est un titre au-dessus des autres peut-être.
Au final c’est un album
touchant, sensible qui ravira tous ceux qui aiment découvrir les projets solos
de pointures de la scène punkrock. Rares sont ces albums qui ne tiennent pas la
route, ce sont au contraire souvent de superbes moments de douceur et de
mélodies, Dead Labor de Dani Llamas ne déroge pas à la règle.
"Capital is dead
labor, which, vampire-like, lives only by sucking living labor, and lives the
more, the more labor it sucks." - Karl Marx
J. NeWSovski
Morceau préféré
:
Come In Harms Way
mardi 20 mars 2018
Clip - JEAN JEAN
Nouveau groupe chez les amis Belges de Black BAsset Records, il s'agit de Jean-Jean et le morceau Aozora
lundi 19 mars 2018
Clip - Beach Slang
Avec son projet Quiet Slang acoustique, Beach Slang, vient de sortir un nouveau clip avant la sortie de l'album en mai prochain.
dimanche 18 mars 2018
NO VIENES - No Vienes (1st EP)
NO VIENES - No
Vienes (1st EP)
Autoproduction
4 sur 5
Ne pas se
fier au patronyme hispanisant, NO VIENES
est un groupe angevin composé d'anciens membres de feu GAZOUEL. Ses longues sessions d'expérimentation viennent
d'accoucher d'un EP 5 titres enregistré au sein des studios Tostaky. Devenu désormais trio (guitare-basse-batterie),
NO VIENES a gardé la hargne et l'énergie du précédent projet, tout en
personnalisant son style (les textes de Julien sont devenus plus poétiques et
mystérieux).
NO VIENES
joue avant tout du rock en français, ce qui rappelle les plus beaux fleurons
hexagonaux. Mais une musique certes jouée dans la langue de Molière qui aurait
cependant fricoté avec des groupes comme NEUROSIS,
ISIS ou même MOGWAI. Car NO VIENES,
comme les illustres groupes pré-cités, prend le temps d'installer ses morceaux
avant la déflagration, ou se permet un long pont, histoire de calmer le jeu. Le
calme avant la tempête. Le titre inaugural suit cette structure : intro
acoustique, puis riff lourd et tranchant, avant que le trio déploie sa pleine
puissance. "Tu me tuer" respecte un
schéma inverse avec un début tonitruant et heavy. Les morceaux de NO VIENES sont longs en bouche et
s'apprivoisent après plusieurs écoutes. Seul le titre "No Vienes" et son refrain accrocheur
est plus immédiat. Le groupe se permet quelques clins d'œil au grand Bashung : le "hier
à Sousse" prononcé dans le titre "Loin
des hommes" ou encore le phrasé façon L'Imprudence dans le
dernier morceau du EP, le très réussi et crescendo "Le
verger".
NO VIENES, avec ses titres en
montagnes russes, signe donc un premier EP prometteur. On attend désormais que
les Angevins défendent sur scène cette première production.
Mr Caribou
Morceau préféré
:
Le verger
samedi 17 mars 2018
vendredi 16 mars 2018
FUNNN – S/t (EP)
FUNNN – S/t (EP)
Pencil records
4/5
Funnn avec
trois n est un groupe de Montpellier qui joue un sympathique mélange de
punkrock, de garage et d’indie rock. Il est formé de quatre membres dont Thibault qui joue aussi dans Watermane.
Funnn me
fait penser à plusieurs groupes, un petit peu à Beach Slang notamment sur Empty
pocket, peut être en partie à cause du
chant et de l’effet dessus, mais il y a quelque chose aussi dans les guitares, Funnn me fait aussi penser aux Nightwatchers pour le coté garage c’est
le cas sur Beerza par exemple, un
morceau énervé qui déroule à fond. Bad
date et Who Who sont des morceaux plus
coolx vraiment indie rock qui font la part belle aux mélodies, le mix entre les
chants de Vanessa et Thibault passe super bien. Avec le son bien garage c’est l’autre
point fort du groupe.
Ce premier Ep est une sortie cassette
exclusivement plus numérique (à prix libre d’ailleurs).
Encore une fois un groupe à suivre !
J. NeWSovski
jeudi 15 mars 2018
Satanic Surfers – Catch My Breath
Très rares sont les clips des Satanic Surfers, alors profitons de ce Catch My Breath issu du nouvel album à venir
mercredi 14 mars 2018
Clip - Finnegan's Hell
Les suédois de Finnegan's hell viennent de mettre en vidéo Shane MacGowan's grave
mardi 13 mars 2018
KRANG – Singalong
KRANG – Singalong
Bird Attack Records / Melodic Punk Style
8/10
Krang est un
groupe Tchèque qui sort avec Singalong son deuxième album
avec une distribution aux Etats Unis sur Bird
Attack Records et en Europe via Melodic
Punk Style, deux labels ayant le vent en poupe. Le groupe a aussi beaucoup tourné
à travers le monde. On va parler chiffres tout de suite car cette donnée suffit
à elle seule à donner une idée de Singalong : 11 titres pour
19 minutes.
On sait maintenant que Krang joue vite, le quatuor maîtrise
aussi bien le style. Des textes assez fun, une pochette qui n’est pas en reste
et puis des titres très rapides (IDDQD)
qui appliquent les codes du punkrock mélodique avec une bonne voix et des chœurs
bien posés.
Quelques titres sortent du lot, No fun in fundamentalism, rapide et accrocheur ;
le plus posé Zombie should be slow ou
encore Indiana Jones hates nazis and snakes
qui me fait un peu penser aux vieux NoFX.
La petite reprise de Help
des Beatles qui clôture l’album vaut
aussi une petite écoute, ça fait d’ailleurs plaisir de réentendre des groupes
faire des reprises un peu fun sur album.
Il n’y a certes rien d’original mais l’ensemble est super
bien fait, propre et bien maîtrisé. Krang, est un jeune groupe plein d’énergie
qui amène une bonne dose de fraîcheur et sait apporter variations dans son
album, chaque titre est différent et c’est appréciable. Un groupe à suivre.
J. NeWSovski
Morceau préféré :
Indiana Jones Hates Nazis and Snakes
lundi 12 mars 2018
Video - Suicidal Tendencies
C'est marrant à écouter ce morceau de basse d'un nouveau titre de Suicidal Tendencies : get your fight on! ici remodelé en Get Your Bass On!
dimanche 11 mars 2018
DASHBOARD CONFESSIONAL – Crooked Shadows
DASHBOARD CONFESSIONAL – Crooked Shadows
Fueled by Ramen
5.5/10
Les premiers albums de Chris Carraba, aka Dashboard Confessional, restent pour moi de très bons souvenirs. Une
guitare, un chant à fleur de peau, des textes touchants. J’ai écouté en boucle The
Swiss Army Romance et The Places You have come to fear the most.
C’était l’époque Vagrant, la vague
émo, les Get Up Kids, Jimmy Eat World,
Alkaline Trio…
Dashboard a
connu un succès grandissant, dépassant le cadre du petit groupe sur un label
indépendant. Ça a explosé en termes de public et de ventes, au point que le
groupe est devenu une grosse machine, s’offrant même un MTV unplugged.
Horrible au passage, totalement gâché par le fan club qui reprend tous les
titres en chœurs.
Ce retour est surprenant,
quoique tous les groupes de la fin des 90’s et du début des années 2000 se
reforment et ressortent des trucs actuellement. Ce Crooked Culture, 7ème album, poursuit dans la veine des
derniers que le groupe a pu sortir il y a désormais plus de 8 ans, des albums
surproduits qui jouent sur la corde sensible et qui ont perdu totalement le
charme des débuts. J’aimais ce côté simpliste ou plutôt minimaliste, ici le son
est trop propre, la batterie ne claque pas, l’ensemble devient bien plus pop
grand public que folk intimiste.
Certains morceaux
accrochent plus que d’autres, je pourrai citer We
Fight ou Heart
Beat Here mais rien de bien exceptionnel.
On ne multipliera donc pas les écoutes.
Dashboard Confessional reste ancré comme un groupe qui
correspond à une phase de ma vie. Je garderai mes albums préférés bien au chaud
gardant en tête que la véritable âme du groupe est celle des débuts.
J. NeWSovski
Morceau préféré
:
We fight
samedi 10 mars 2018
vendredi 9 mars 2018
LYSISTRATA – The Thread
LYSISTRATA – The
Thread
Vicious Circle
9/10
Allez j’attaque cette
chronique après tout le monde, The Thread a déjà été chroniqué
et commenté sur tous les fanzines et webzines hexagonaux mais on va partir du
fait qu’il existe encore du monde qui ne connaît pas le groupe de Saintes.
Lysistrata
est donc un groupe des Charentes Maritimes, un trio dont la particularité
première est la jeunesse. Deux des membres ont moins de 20 ans et le bassiste
juste 22. Ça laisse entrevoir de la fraîcheur et de la spontanéité. Sur album
ça ne se voit pas mais c’est le batteur qui est le chanteur principal ce qui
rajoute une dose d’admiration. Et pour finir, ils sont sur Vicious Circle, gage de qualité mais aussi un bon vecteur de diffusion.
Dès le début, sur The Thread notamment, on ressent une
grosse influence At The Drive In,
sur les cassures de rythmes, le son en général, les parties rapides, le chant
posé. Asylum est un morceau rapide
super efficace sur scène comme sur album, un petit défouloir qui permet de dire
que jouer de la batterie pleine balle et chanter en même temps ce n’est pas à
la portée du premier venu. L’intro d’Answer Machine
sonne aussi très At The Drive In pour
laisser ensuite le groupe nous emmener dans son univers très aérien. Il y a de
belles parties chantées (ou parlées) qui mettent en avant un timbre de voix qui
rappelle aussi Camille de Daria. Et
puis ce titre à tiroirs se renouvelle tout du long. Un superbe morceau. Dès
lors le groupe prend son temps dans un post rock plein de douceur et de subtilité,
les longs morceaux s’enchaînent (Sugar et
Anxiety) tout en prenant la peine de ne
pas laisser l’auditeur se reposer en lui proposant de belles variations et des
passages furieux (Reconciliation). Dawn, totalement dispensable permet juste de
préparer à The Boy who stood Above the earth
et ses 12 minutes (un peu moins en fait) de pure beauté.
Cet album est fichtrement, c’est un réel plaisir de l’écouter.
Bien entendu les fans d’At The Drive In seront ravis, mais le groupe est loin d’être
un simple ersatz amenant une dimension plus aérienne et post-tout-ce-qu’on-veut.
Cette maîtrise à cet âge est impressionnante et n’est pas sans rappeler
Metronome Charisma devenu par la suite Year Of No light. Et puis cette maîtrise
est identique sur scène où tout est rendu avec la même intensité. Un grand
groupe, un grand album.
J. NeWSovski
Morceau préféré
:
The boy who stood above the earth
jeudi 8 mars 2018
mercredi 7 mars 2018
mardi 6 mars 2018
NO AGE - Snares like a haircut
NO AGE - Snares like a haircutDrag City
8,5 sur 10
Duo noise-rock originaire de Californie, NO AGE avait un peu disparu des radars (5 ans d'absence) après des débuts tonitruants (4 albums en six ans). Malgré cette pause, la marque de fabrique du groupe reste intacte sur ce 5ème album "Snares like a haircut". Le punk-rock d'apparence classique est toujours autant parasité par des couches de noise et des bruits de fond dissonants. Les Américains se sont même bonifiés en simplifiant quelque peu leur propos et leur style, après un quatrième album un peu opaque "An object". Alors qu'ils abusaient parfois d'instrumentaux souvent bien ficelés mais parfois ennuyeux (on appelle ça parfois du remplissage), les intermèdes sont rares sur cette 5ème production : le très ambient "Snares like a haircut", qui donne son nom à l'album, et le chaotique "Third grade rave".
D'entrée, nous sommes en terrain connu avec le titre d'ouverture "Cruise Control", énergique et bruyant, adouci par la voix de Dean Allen Spunt, le batteur. "Drippy" est dans la même veine, avec ses cavalcades de guitares et de beats de batterie. Comme souvent chez les Américains, les titres sont relativement brefs (12 morceaux en moins de 40 minutes). NO AGE ralentit ensuite le tempo sur le shoegaze et finalement pop "Send me". Petite accalmie avant un enchaînement plus grunge et percutant : "Tidal", "Popper" et "Soft Collar Fad qui fait écho au Bleach de NIRVANA. A l'instar du culte groupe de Seattle, la mélodie est toujours présente chez NO AGE, malgré le bruit et la puissance. La fin d'album est un poil plus expérimentale avec les planants et atmosphériques "Squashed" et "Primitive Plus".
Malgré une économie de moyens (une simple batterie et une guitare), la palette des Américains est large. Ce 5ème album, finalement le plus homogène et cohérent dans la discographie de NO AGE, est une réussite. Un come-back qui nous réjouit pour un groupe qui se fait hélas rare sur les scènes européennes.
Mr Caribou
Morceau préféré
:
Popper
lundi 5 mars 2018
clip - POGO CAR CRASH CONTROL
Les ptits jeunes de Pogo Car Crash Control remettent les couverts avec Comment lui en vouloir.
dimanche 4 mars 2018
LEPTIK FICUS – Mourir dans l’anthropocène (EP)
LEPTIK FICUS – Mourir dans l’anthropocène (EP)
Guerilla Asso
4/5
Plus de dix ans d’absence
pour les Leptik Ficus, entre temps on
a croisé Alex avec Guerilla Poubelle et Les Rasoirs Electriques notamment. Ce retour entamé l’année
dernière avec quelques concerts se confirme en 2018 dans un premier temps par
ce 4 titres, puis dans un deuxième temps par une tournée Nord-Américaine durant
l’été et au final par un album.
J’ai appris de nouveaux mots
avec ce disque notamment ce qu’est l’anthropocène, un terme inventé par le météorologue
néerlandais Paul Crutzen qui caractérise une nouvelle subdivision géologique où
la nature est profondément transformée par l’Homme avec un impact significatif
sur l’écosystème terrestre. Intéressant, ça incite à se renseigner dessus en
tout cas.
Les 4 titres sont une
bonne bouffée de punkrock, j’aime beaucoup le chant éraillé, très punk dans l’esprit.
L’orchestre du Titanic me fait penser à du
Charly Fiasco, c’est bien balancé,
bien rythmé tandis que Coach
est un titre qui va se chanter en chœurs en concert, il est accrocheur et
fédérateur sur son refrain, vraiment un super morceau. #hashtag
est très rapide et les textes marrants à écouter. Chez
moi c’est partout est dans la même veine que l’orchestre du Titanic, issu d’un style
qui rappelle autant les Fiasco que
les Shériffs. Retour gagnant !
Un EP énergique avec de très bons morceaux qui donne
vraiment envie de chopper le groupe en live. Dans le style, on est en haut du
panier. Vivement l’album !
J. NeWSovski
samedi 3 mars 2018
clip - Black Strike
Nouveau clip des Belges de Black Strike qui rappellent la grande époque de la fusion (RATM, Senser, Shootyz Groove, H-Blockx...)
jeudi 1 mars 2018
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