Voici un nouveau morceau en vidéo des talentueux belges de It It Anita
mardi 30 octobre 2018
lundi 29 octobre 2018
dimanche 28 octobre 2018
vendredi 26 octobre 2018
I AGAINST I – Small Waves
I AGAINST I – Small
Waves
White Russian Records
8.5/10
Il y a un
lien entre I Against I et les Rêveries, un rapport de fan envers
un groupe à une époque où l’on communiquait davantage à travers des lettres que
par messages sur Facebook. J’ai beaucoup apprécié les deux premiers albums du
groupe, surtout le deuxième (I’m a
fucked up dancer but my moods are swinging), et j’ai eu la chance et le
luxe de pouvoir écouter quelques démos et des titres que le groupe n’a jamais
sorti mais qu’il m’avait envoyés. Ça pour un fan c’est le kiff extrême.
Pour rappel I Against I est un groupe hollandais,
de Dordrecht près de Rotterdam, qui tire son nom d’un album
des légendaires Bad Brains. C’est le
premier groupe à avoir signé sur Epitaph
Europe en 1997.
De par cette relation
particulière, c’est avec une grande excitation que je découvre ce troisième
album et dès la première écoute la nostalgie fait son effet car le trio
batave n’a pas pris une ride. Et dès Hey qui ouvre Small Waves je me rends compte que le son est le
même, le style aussi et surtout la voix de Ronald
est toujours aussi agréable.
Le groupe possède toujours cette capacité à créer des titres ultra accrocheurs, ainsi les mélodies de la très pop Love You When I’m gone sont imparables, c’est aussi la même chose sur Wish I could remember un morceau très mélodique qui reste en tête, le chant est bien utilisé et il apporte vraiment beaucoup aux morceaux. J’aime ce mélange entre mélodies, amplifiées par les chœurs, et la rythmique bien enlevée comme sur At The End Of The Tunnel. Tout se termine par le titre qui donne son nom à l’album : Small Waves. Sur 4 minutes il étale tout le savoir faire du groupe, la classe. Aucune fausse note dans cet album, bravo !
Le groupe possède toujours cette capacité à créer des titres ultra accrocheurs, ainsi les mélodies de la très pop Love You When I’m gone sont imparables, c’est aussi la même chose sur Wish I could remember un morceau très mélodique qui reste en tête, le chant est bien utilisé et il apporte vraiment beaucoup aux morceaux. J’aime ce mélange entre mélodies, amplifiées par les chœurs, et la rythmique bien enlevée comme sur At The End Of The Tunnel. Tout se termine par le titre qui donne son nom à l’album : Small Waves. Sur 4 minutes il étale tout le savoir faire du groupe, la classe. Aucune fausse note dans cet album, bravo !
Ce troisième album qui arrive près de
20 ans après le précédent garde la fraîcheur qui caractérisait déjà le groupe
dans les 90’s. Les fans des groupes mélo d’Epitaph et Burning Heart qui
arrivent à la quarantaine vont être ravis…
J. NeWSovski
Morceau préféré : Wish
I Could Remember
mercredi 24 octobre 2018
Clip - Incisions
Incisions, qui vient de signer chez TNS rds pour son premier album a mis en ligne War In Your Head, un titre percutant durant lequel ils se sont bien amusés...
lundi 22 octobre 2018
KALEB STEWART – Tropical Depression
KALEB STEWART – Tropical
Depression
Sound of subterrania / No Reason Records
7.5/10
Kaleb Stewart est un artiste de Floride, de Gainesville, haut lieu du rock
américain qui a vu naître des groupes comme Hot Water Music, Against
Me ! ou Less Than Jake. Il
a joué auparavant dans As Friend Rust
groupe d’émo punk qui m’avait laissé un bon souvenir il y a 15-20 ans. Il
officie désormais en solo.
Tropical Depression est son deuxième album. Le premier
se voulait introspectif et teinté folk alors que celui-ci est marqué
politiquement notamment par les événements de Ferguson (avec le meurtre d’un manifestant noir par un flic blanc).
Il y a chez Kaleb Stewart quelque chose qui me
rappelle Franck Turner. Un mélange
de folk indie marqué par les influences punkrock. Il est extrêmement plaisant à
écouter, plein de douceur et de mélancolie et diffère des autres albums solos
de chanteurs par un backing band qui évite la redondance. On a donc une
batterie, une chanteuse qui fait certains chœurs, un piano, une basse et une
guitare électrique.
L’ensemble
des 10 titres est homogène, aucun morceau ne se dégage vraiment et c’est
peut-être ce qui manque au final mais c’est tout de même un bel album qui
s’écoute et sait se faire apprécier. Un titre comme 8th and 3rd est rythmé et c’est juste un délice
à écouter quant à No Angel il fait preuve d’une belle mélancolie et d’une jolie douceur. D’ailleurs
Kaleb tente d’apporter du rythme ou
tout du moins de casser une certaine routine en alternant un titre posé et un
plus doux mais le ton apaisant de sa voix peine à cadencer l’ensemble.
On notera pour finir la pochette bien décalée (rappelant Romeo Elvis) qui marquera d’une empreinte durable cet album.
J. NeWSovski
Morceau préféré : Warzone
dimanche 21 octobre 2018
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