NDLR : Pour
ce nouvel épisode d'A-t'il Bon Goût ? j'ai choisi de demander au Forsaken
Shadow de nous présenter son compère Kévin chanteur du groupe qui monte qui
monte : The Decline ! mais aussi chanteur et guitariste du projet
folk/punk/country : Slim Wild Boar & the Forsaken Shadow.
Je vais être
franc : j'ai accepté de faire cette intro parce-que le mec des Rêveries est
plus grand que moi !
Présenter
Kevin, un ami avec qui j'ai partagé autant d'aventures, c'est pas facile ! De
la fraude dans le métro moscovite devant la police (avec un visa expiré tant
qu'à faire) aux pérégrinations nocturnes dans Bucarest... Et si je commençais
par le commencement ? (ouais, fastoche la formule !)
The Decline ! n'est encore qu'une chanson de NOFX, et le plus long voyage que j'ai dû faire pour un concert, c'est un aller-retour Rennes-Guingamp !
Un dimanche de soleil radieux, on est quand même mieux enfermés à l'intérieur à se prendre la tête sur le fonctionnement de ce 4 pistes !
L'étui guitare en guise de grosse caisse, et un trousseau de clé pour le contre-temps, on enregistre une reprise de Johnny Cash (au ukulele !) et un traditionnel irlandais.
Deux mois plus tard, le Slim Wild Boar & his Forsaken Shadow faisaient leur premier concert, sonorisé par leur idole locale Orville Brody, sur du matos volé (bon ok, le matos c'est du mytho, c'est pour la légende). L'histoire aurait pu s'arrêter là, j'étais déjà content !
5 ans maintenant, et pourvu que ça dure ! Mon tavernier dit souvent « à un moment donné on va arrêter de se dire merci ! », alors un dernier quand même avant la prochaine route : merci !
The Decline ! n'est encore qu'une chanson de NOFX, et le plus long voyage que j'ai dû faire pour un concert, c'est un aller-retour Rennes-Guingamp !
Un dimanche de soleil radieux, on est quand même mieux enfermés à l'intérieur à se prendre la tête sur le fonctionnement de ce 4 pistes !
L'étui guitare en guise de grosse caisse, et un trousseau de clé pour le contre-temps, on enregistre une reprise de Johnny Cash (au ukulele !) et un traditionnel irlandais.
Deux mois plus tard, le Slim Wild Boar & his Forsaken Shadow faisaient leur premier concert, sonorisé par leur idole locale Orville Brody, sur du matos volé (bon ok, le matos c'est du mytho, c'est pour la légende). L'histoire aurait pu s'arrêter là, j'étais déjà content !
5 ans maintenant, et pourvu que ça dure ! Mon tavernier dit souvent « à un moment donné on va arrêter de se dire merci ! », alors un dernier quand même avant la prochaine route : merci !