vendredi 29 novembre 2019

Clip - MEMORIES OF A DEAD MAN

Après 5 années d'absence les parisiens de Memories Of A dead Man sont de retour. Il s'accompagne de l'arrivée au chant de Maya.

La suite en janvier.


mercredi 27 novembre 2019

Clip - Anti-Flag

Anti-Flag est de retour avec le titre Hate Conquers All

lundi 25 novembre 2019

THE MENZINGERS – Hello Exile




THE MENZINGERS – Hello Exile
Epitaph
7.5/10

Encore sous le charme de leur précédent album After The Party qui m’avait permis de découvrir le groupe, je m’étais plongé avec beaucoup de curiosité et d’appétence dans les précédents albums dont les très bons On the Impossible Past et Rented World, ainsi j’attendais ce nouvel opus avec l’impatience d’un enfant avant Noël.


Et je dois avouer qu’après la toute première écoute j’ai senti comme une arrière-goût amer liée à une certaine déception. Peut-être attendais-je trop de The Menzingers ? Mais dans ce Hello Exile à aucun moment je n’ai été charmé comme j’ai pu l’être dans le passé.  Pourtant il y a des morceaux qui fonctionnent bien, dès le début avec America (you’re freaking me out), qui sert d’ouverture, et Anna, qui enchaîne, ils font bien le boulot et on attend dès lors la montée en puissance dans l’album qui, hélas, ne vient pas. Les autres titres se révélant plus classiques qu’autre chose.


Sur les nombreuses écoutes en boucle qui ont suivi je pourrai comparer cet album au dernier Flatliners (que j’avais placé dans les meilleurs albums de l’année en 2017) dans le sens où il place son énergie de façon différente, sans montées en puissance mais plutôt en cherchant des mélodies intéressantes. Pour les Flatliners j’avais trouvé l’exercice fichtrement bien réussi, par contre ici je trouve que Hello Exile devient alors assez classique un peu indie-rock, un peu collège-rock et très légèrement punkrock perdant au passage cette touche pertinente qui caractérisait le groupe. Pour illustrer ça il suffit de tendre l’oreille sur London Drugs, Hello exile, I can’t stop drinking, Last to know, strawberry Mansion


Et puis le vibrato de Greg Barnett est moins présent, apporte moins de sensibilité. On perçoit moins de contraste entre la douceur et la rage contenue et même si High School Friend tend à laisser un espoir, cet album, sans être mauvais, déçoit par les attentes que JE lui avais fixées.


J. NeWSovski


Morceau préféré :                                    High School Friend






samedi 23 novembre 2019

Clip - Petrol Girls

Ces chers Petrol Girls chers à l'ami Denis viennent de mettre en ligne le morceau No Love For A Nation

jeudi 21 novembre 2019

Clip - VERSUS YOU

Your only song par les Luxembourgeois de Versus You. Ma petite révélation punk mélo de ces dernières années.

mardi 19 novembre 2019

COOL LAGOON – At least Now… Maybe Tomorrow too ? (EP)




COOL LAGOON – At least Now… Maybe Tomorrow too ? (EP)
Autoproduction

Certains auront reconnu dès la pochette le style visuel de Bikinis & Icecream et effectivement c’est Mathieu, aussi membre de ces derniers, qui s’est lancé dans un projet solo où il a enregistré toutes les parties. Il s’est donc chargé de tous les instrus, paroles, chant, enregistrement, mixage et même pochette. Un vrai projet DIY.

On retrouve dans Cool Lagoon des mélodies, le côté pop et davantage de rythme avec un style vraiment très poppy-punk qui n’est pas sans rappeler parfois les Ramones ou Teenage Bubblegum (Really Fucked up). Parfois proche du collège rock, les mélodies rappellent aussi les vieux Green Day, les très vieux du style 39/ smooth, et même si elles sont parfois faciles (Undecided) elles restent ancrées donc, on peut dire qu’elles sont efficaces.
J’apprécie particulièrement If forever was just an hour, c’est le morceau qui conjugue le mieux je trouve l’énergie, le côté fun et les mélodies.

Ceux qui aiment bien le côté pop du punkrock façon Blink 182 sauront apprécier ce projet qui a le mérite en plus d’être totalement construit par une seule personne.


J. NeWSovski




dimanche 17 novembre 2019

Clip - Jimmy Eat World

Voici 555 par Jimmy Eat World, clip surprenant.

vendredi 15 novembre 2019

PENSE - Realidade, Vida E Fé



PENSE - Realidade, Vida E Fé
Mud Cake Records

J’ai rarement l’occasion d’écouter des groupes de punkrock brésiliens et je profite de la réédition de cet album de 2018 par Mud Cake Records pour parler de Pense.

Le groupe s’est formé en 2007 à Belo Horizonte, Realidade, vida E Fé est leur 3ème album. Musicalement on a le droit à du punkrock mélodique très rapide et assez agressif qui n’est pas sans me rappeler les excellents Baxter de Bressuire qui avaient sorti un album chez Eternalis et Free Edge il y a déjà quelques années.

Le quintet brésilien aime donc jouer vite et fort et le chant en brésilien passe plutôt bien, certaines sonorités accrochent plus que d’autres mais dans l’ensemble c’est assez plaisant à écouter. Le groupe aime aussi tirer des mélodies (Levanta e vai) et pousser de la voix déjà bien éraillée (Existencia). Il n’y a rien de révolutionnaire mais on peut louer l’efficacité de l’ensemble.

J’aime aussi beaucoup la pochette et son effet visuel qui me rappelle l’excellente série Westworld.


Il y a donc un côté assez exotique chez Pense qui, durant les 11 titres de cet album ne ménagera jamais ses efforts pour distribuer une grosse dose d’énergie.



J. NeWSovski



mercredi 13 novembre 2019

Clip - KADAVAR

Jamais avares en clip, le trio allemand revient avec le morceau Demons In My Mind.

lundi 11 novembre 2019

SORDID SHIP – Vague digitale (EP)



SORDID SHIP – Vague digitale (EP)
Autoproduction
3.5/5

Quel bel artwork pour cet EP des Lorientais. L’image est superbe et poursuit parfaitement leur thème de la mer avec, à chaque fois, la couleur bleue présente.

Sordid Ship possède son style bien particulier qui mélange punkrock et surf-punk et l’ensemble est plutôt plaisant. Le chant français utilisé depuis le précédent opus fait son petit effet, j’étais plutôt réservé au départ mais force est de constater qu’il est plutôt efficace notamment sur l’énergique Place Rouge. Même si, parfois on frôle un peu trop la redondance notamment sur le débit et le ton qui sont trop proches, à mon goût, sur la plupart des chansons.

Il y a de bons morceaux qui feront leur effet sur scène Sous les palmiers, au phrasé digne de MC Circulaire ou le très bon O.D.F. rapide et rythmé.

Sordid Ship continue son petit bonhomme de chemin, prend du plaisir à jouer, impose son style et sort des productions intéressantes. Celle -ci mérite une écoute plus qu’attentive.


J. NeWSovski







samedi 9 novembre 2019

Clip - DEMON VENDETTA

Petite vague de surf-punk en ce moment, on commence par Demon Vendetta . La suite dans quelques jours !

jeudi 7 novembre 2019

clip - FRUSTRATION

Pour aller dans le sens de la chronique de l'album voici le clip de When Does A Banknote start to burn par Frustration

mardi 5 novembre 2019

FRUSTRATION - So Cold Streams



FRUSTRATION - So Cold Streams
Born Bad Records
9 sur 10

Trois ans après l'excellent "Empire of the Shame", les vieux routiers parisiens de FRUSTRATION sont de retour avec un très attendu 5ème album "So Cold Streams". Force est de constater que le fer de lance de Born Bad Records brille toujours de 1 000 feux et que son post-punk est toujours aussi imparable. 


FRUSTRATION fait toujours du FRUSTRATION mais le groupe a l'intelligence de ne jamais faire du surplace pour autant et d'élargir un peu le spectre. Le chant en français sur 2 des 9 morceaux de "So Cold Streams" constitue l'évolution la plus significative du groupe. La longue introduction robotique d'"Insane" donne le ton avant que la voix familière de Fabrice Gilbert ne se mette en route. Le rythme martial, la dissonance des synthés et les chœurs graves donnent une sonorité indus à ce premier titre. Mais FRUSTRATION revient vite à une formule qui a fait maintes fois ses preuves avec l'efficace et punk, "Pulse". Riff tranchant, basse métronomique et refrain scandé, le morceau est taillé pour la scène. D'autres titres nerveux et explosifs sont faits du même métal comme l'expéditif "When Does a Banknote Starts to Burn" ou l'enragé "Pepper Spray". Mais ce post-punk parfaitement maitrisé, les cinq FRUSTRATION ne s'en contentent plus. L'effet de surprise est même garanti sur "Slave Markets", titre coloré d'orient et marqué par la participation surprise du SLEAFORD MODS Jason Williamson. Construit sur un faux rythme et une ligne de basse entêtante, ce morceau phare se conclut en apothéose avec le titre scandé à l'envi par tout le groupe. FRUSTRATION continue de sortir de sa zone de confort avec l'anxiogène "Brume", titre revendicatif chanté en français. "Some Friends", single en puissance, met en avant tout le savoir-faire cold-wave synthétique et mélodique des Parisiens. Fabrice Gilbert, qui a récemment pris des cours de chant, nous fait vibrer sur le doux, atmosphérique et mélancolique "Lil' White Sister" qui convoque d'illustres ainés comme JOY DIVISION, the FALL ou encore the CURE. FRUSTRATION nous convie finalement pour "Le Grand Soir", autre morceau révolté balancé dans la langue de Molière, qui voit la basse de Pat faire de nouveau des merveilles.



Si le grand soir n'est sans doute pas pour tout de suite, le quintet accouche surtout d'un grand album. A 50 ans passés, les FRUSTRATION ont vraiment de la ressource et poursuivent avec panache un parcours discographique remarquable depuis leur début.


Mr Caribou


Morceau préféré :                                    Brume






dimanche 3 novembre 2019

Clip - BLOODHYPE

Aujourd'hui Bloodhype avec Hate candidate, groupe allemand qui ne distille pas du gros hardcore comme leur nom le suggère mais un pop-rock indie plutôt bien senti.

vendredi 1 novembre 2019

Les Cold Reading ont-ils bon goût ?

Cold Reading est un groupe Suisse, de Lucerne, récemment passé en quintette, qui bouleverse nos habitudes en sortant une trilogie d'EP dont on a pu découvrir les deux premiers volets Through the woods et Present Tense.

Belle occasion pour les inviter à ATIBG !


L'album que vous avez le plus écouté ?

Arthur : Certainement Peripheral Vision de Turnover. Les paysages sonores qu'ils ont explorés sur cet album m'ont vraiment sorti de la musique pop-punk habituelle dans laquelle j'étais à l'époque. Cela peut paraître banal, mais c'est comme ça!