Quand Lars n'écume pas les concerts il aime bien aller voir des matchs de foot.
jeudi 31 août 2017
mercredi 30 août 2017
Clip - Sons Of O'Flaherty
Sons of O'Flaherty est un groupe Rennais aux références celtiques. Voici le clip de Red Wine Teeth avec la participation de l’exceptionnel François Rollin.
lundi 28 août 2017
BLANK SLATE – Minamata (démo)
BLANK SLATE – Minamata
(démo)
Autoproduction
4/5
4/5
C’est par le
plus grand des hasards que mes oreilles se sont heurtées à Blank Slate, un jeune groupe de Périgueux. Minamata
est juste une démo, elle a plus d’un an mais je me sens dans l’obligation d’en
parler tant j’ai été charmé et bluffé.
Minamata, le morceau qui donne son nom à la
démo transpire les Descendents et me
rappelle Suburban
Home,
un coté mélodique assumé, un son brut, une voix rappeuse et une rythmique
simple. Les ingrédients d’un morceau prenant. On retrouve d’ailleurs la recette
sur New World
Order, titre tout aussi intéressant.
Static Reaction
envoie davantage d’énergie façon hardcore oldschool des années 80. Efficace à
souhait. Hand’s Up
dégage le même potentiel avec des petits passages de guitare assez sympa.
Belle découverte que Blank Slate dont
il sera impératif de suivre l’évolution. Pour une démo, le son est en plus très
bon, je vous conseille un tour sur le bandcamp pour la rapatrier, son prix est
libre. Vivement la suite !
J. NeWSovski
dimanche 27 août 2017
Clip - At The Drive In
Dans la lignée esthétique du précédent clip voici Call Broken Arrow tiré du dernier album In-ter a-li-a
vendredi 25 août 2017
ROPOPOROSE - Kernel, foreign moons
ROPOPOROSE - Kernel, foreign moons
Yotanka
8 sur 10
Il y a deux
ans, ROPOPOROSE, le juvénile duo
français (guitare et voix pour Pauline,
batterie pour son frère Romain)
avait sorti un premier album prometteur et réussi ("Elephant love"), réhabilitant avec succès l'indie pop
noise des années 90. Sur la seconde production "Kernel, foreign moons", la recette reste la même :
toujours la même fraicheur et ce son lo-fi attachant mais avec désormais une
maturité croissante et une production plus précise.
ROPOPOROSE a le chic pour balancer (parfois
dans le même morceau comme sur "Faceless
man") entre la pop un peu catchy et
les envolées plus bruitistes et agressives. L'opposition entre la voix
enfantine de Pauline (rappelant de
plus en plus celle de Kazu Makino de
BLONDE REDHEAD) et les fulgurances
soniques fonctionne par exemple à merveille sur un titre comme "Spoutnik".
Ce 2ème opus avait démarré pourtant en douceur avec l'entêtant "Horses", reposant sur une rythmique solide avant que la batterie martiale de Romain ne fasse complètement décoller le morceau. Ce titre inaugural rappelle les excellents Américains de DEERHOOF ou les regrettés the BISONS. La 2ème chanson "Holy Birds" met toujours en avant le côté pop du duo de Vendôme avec cette fois-ci l'intégration judicieuse d'un clavier. Les fans de la première heure seront rassurés ensuite avec "Guizmo" qui retrouve la veine plus noisy et les riffs efficaces du premier album. "Moon" renoue ensuite avec la fragilité et la délicatesse.
ROPOPOROSE a l'art de varier les ambiances au sein de titres le plus souvent courts et concis. La voix de Romain se mêle à celle de Pauline sur "Skeletons, jolie ballade sur fond de banjo et de nappes de synthé. La guitare rêche de Pauline reprend ses droits sur des morceaux comme "Fishes are love" avant que l'album ne se clôture subitement par un "Electric" répétitif et envoutant.
Ce 2ème opus avait démarré pourtant en douceur avec l'entêtant "Horses", reposant sur une rythmique solide avant que la batterie martiale de Romain ne fasse complètement décoller le morceau. Ce titre inaugural rappelle les excellents Américains de DEERHOOF ou les regrettés the BISONS. La 2ème chanson "Holy Birds" met toujours en avant le côté pop du duo de Vendôme avec cette fois-ci l'intégration judicieuse d'un clavier. Les fans de la première heure seront rassurés ensuite avec "Guizmo" qui retrouve la veine plus noisy et les riffs efficaces du premier album. "Moon" renoue ensuite avec la fragilité et la délicatesse.
ROPOPOROSE a l'art de varier les ambiances au sein de titres le plus souvent courts et concis. La voix de Romain se mêle à celle de Pauline sur "Skeletons, jolie ballade sur fond de banjo et de nappes de synthé. La guitare rêche de Pauline reprend ses droits sur des morceaux comme "Fishes are love" avant que l'album ne se clôture subitement par un "Electric" répétitif et envoutant.
Avec sobriété et une belle économie
de moyens, les deux membres de ROPOPOROSE ont enfanté d'un 2ème album
qui fourmille de bonnes idées. On attend la suite avec sérénité.
Une
chronique de Mr Caribou
Morceau préféré : Spoutnik
jeudi 24 août 2017
Clip - NIGHTWATCHERS
Scum, issu de l'album Good Kids Obey des Toulousains, petite vidéo sur les violences policières.
mardi 22 août 2017
7YEARS – Lifetime
7YEARS – Lifetime
Morning Woods Records
7.5/10
Puisant son
nom dans un des meilleurs titres d’Undeclinable
Ambuscade, 7Years est un groupe Italien qui balance du punkrock mélodique
dans la pure tradition Epitaph des années 90.
Les 13
titres sont assez homogènes, mais j’en retiendrai tout de même quatre :
Tout d’abord
DIY or
Die, un titre vif qui fait mouche sur ce
début d’album et dont le refrain, accrocheur à souhait, est un délice. Quelque
part je pense à The Donots, pour
l’efficacité et la capacité à créer des chansons simples mais efficaces.
Never Down
voit le featuring prestigieux de Joey
Cape que l’on entend rarement en dehors des projets persos. Je ne sais pas
comment la connexion s’est faîte avec les Italiens mais s’attacher les services
de M. Lagwagon est un sacré coup, un
peu comme lorsque les espagnols de Gas Drummers avait réussi à chopper M.Propagandhi sur leur dernier opus.
Punk Rock
Daddy rythmé rappelle les Ramones, Cooper et Hagfish, il
dégage un coté fun et décomplexé s’en dégage.
Et puis le
morceau d’ouverture Lifetime qui, en moins de
trois minutes, arrive à résumer le style de 7Years : incisif, mélodique et rappelant de nombreuses
pointures.
On tiquera sur le manque
d’originalité mais il faut cependant aussi louer le fait que le groupe joue
bien, propre et que ça marche.
Morceau préféré : DIY
or Die
J. NeWSovski
lundi 21 août 2017
samedi 19 août 2017
SLOWDIVE - Slowdive
Dead Oceans
8,5 sur 10
SLOWDIVE,
parrain du shoegaze avec MY BLOODY
VALENTINE, avait disparu des radars depuis plus de 20 ans et 3 albums
cultes n'ayant malheureusement jamais rencontré le succès public qu'ils
méritaient. Sa reformation via quelques concerts laissait perplexe tant les come-back
débouchent le plus souvent sur une déception. L'album éponyme qui signe le
grand retour des Britanniques n'appartient pas à cette catégorie.
Les désormais
quadragénaires livrent un album réussi en reprenant globalement le son
réverbéré qui faisait leur marque de fabrique mais avec une production plus
actuelle et musclée. Progressif et planant, "Slomo"
donne le ton avec les lignes de voix qui s'entrechoquent. "Star Roving",
un des moments forts de Slowdive, se fait plus rapide et noisy avec un riff de
guitare imparable.
Les Anglais maitrisent à
merveille l'empilement de textures sonores qui fait l'essence du shoegaze /
dream pop. Les deux morceaux suivants, "Don't
know why" et "Sugar
for the pill", plus fragiles et hypnotiques, lèvent le pied
sur la pédale de distorsion et font la part belle à la mélodie.
Le mur du son, la
réverbération et les voix toutes en échos sont de retour sur la doublette
"Everyone knows" et surtout l'excellent "No longer making time".
L'album se termine dans le calme et l'apaisement avec le long "Falling ashes", trituré autour de
quelques notes de piano.
S'inscrivant dans un revival shoegaze remarqué depuis
quelques années, SLOWDIVE signe un retour gagnant avec ce 4ème album soigné et
percutant. A noter que les Anglais seront à l'affiche du festival angevin
Levitation France à la mi-septembre.
Une
chronique de Mr Caribou
Morceau préféré : Star
Roving
vendredi 18 août 2017
Clip - 7Years
On parlera dans quelques jours de l'album des Italiens de 7Years mais en attendant voici le clip de Here and Now.
mercredi 16 août 2017
PAPERTANK – Playground
PAPERTANK – Playground
Division Records
8/10
Ah la Suisse !...
J’ai l’impression que les groupes s’y sont multipliés ces dernières années,
mais au-delà du nombre ce sont surtout des groupes de qualité qui apparaissent
désormais.
Papertank ne
déroge pas à cette règle et même si son sang est moitié français, la bête reste
un bel exemple de puissance. L’originalité réside aussi dans sa composition,
juste batterie, basse et chant. Et cette
composition envoie du lourd.
Papertank transpire
le punk et le gros rock. Et ça accroche super bien comme sur God Bless you, wicked, le morceau mis en
clip il y a quelques semaines, qui se révèle délicieux avec un refrain
détonnant. Playground révèle sur son ensemble une grosse débauche d’énergie, on
citera notamment Virus aux sonorités stoner
ou le mélodique Banshee. Mais le trio sait
aussi se montrer intense et touchant sur The Flower &
The Earth.
Au final c’est une belle surprise mais aussi une
sacrée prouesse d’envoyer un tel album sans guitariste. Avec un bassiste qui s’emploie
sans retenue bien épaulé par un batteur propre et efficace et un chanteur qui
sait pousser et moduler, Papertank mérite plus que du respect.
Morceau préféré : God
bless you, wicked
J. NeWSovski
mardi 15 août 2017
Vidéo - Justin(e)
Les Nantais de Justin(e) nous offre une petite publicité / trailer pour la future sortie de 06 72 43 58 15 en octobre prochain.
dimanche 13 août 2017
Clip - D16
Premier groupe grec de punkrock que je connaisse, Life pattern est un clip / vidéo lyrics issu de leur EP
vendredi 11 août 2017
mercredi 9 août 2017
lundi 7 août 2017
Clip - Time for Energy
Bad Jokes Never Die est extrait de Gang of Losers qui devrait sortit cet automne
samedi 5 août 2017
Clip - Descendents
ça faisait quelques semaines que les Descendents ne nous avaient pas gratifiés d'une vidéo. Chose faîte avec Without love issu du dernier opus.
jeudi 3 août 2017
mercredi 2 août 2017
mardi 1 août 2017
Vacances !!
Un peu de repos en ce début de mois d'Août, retour prévu le 15.
En attendant je vous ai prévu quelques clips à vous mettre sous la dent distillés régulièrement.
Et puis un petit coup de la playlist histoire de garder l'oreille affûtée.